Soutiens de TEMS: Quand l’essentiel est en jeu… Arnaud Hillion

 Moissac, ville des justes, riche de son histoire, de sa culture et de son patrimoine est ce dimanche à la croisée des chemins.

Cette ville ne doit pas devenir le symbole d’une idéologie qui ne s’inscrit pas dans la longue tradition d’ouverture de la cité uvale.

Face à ce danger, à cet isolement potentiel dans le territoire d’un fleuron de notre département, il y a une voie alternative fondée sur l’écoute, le travail collectif de fond, l’humanisme portée par TEMS et sa tête de liste Estelle Hemmami.

Comme à Montauban, ce vaste rassemblement réunit depuis longtemps diverses sensibilités et personnalités unies autour de valeurs communes et représentant un espoir pour son territoire.

Ce groupe a travaillé pour bâtir un projet cohérent et réaliste qui offre la possibilité là-bas aussi, de faire entrer la ville dans le monde d’après en prenant la mesure des enjeux sociaux, économiques et écologiques avec un logiciel politique neuf.

J’apporte au nom de L’alternative pour Montauban, un soutien clair à Estelle Hemmami et à son équipe et je suis certain que dès le 29 juin nous pourrons travailler ensemble au maillage indispensable de nos territoires.

Front républicain. Dans le Languedoc, les leçons de la lutte contre l’extrême droite

Les candidats RN Robert Ménard et Louis Aliot exploitent la stratégie de l’union des droites. Matthieu Rondel/Hans Lucas/AFP

Les candidats RN Robert Ménard et Louis Aliot exploitent la stratégie de l’union des droites. Matthieu Rondel/Hans Lucas/AFP
 

À Perpignan, Sète ou Frontignan, comme dans de nombreux villages, l’extrême droite façon Ménard tente de s’étendre. Avec des fortunes diverses cependant. Pour quelles raisons ? Reportage sur le littoral languedocien.

L’ombre qui plane depuis quelques années déjà sur les briques rouges du Castillet semble cette fois ne pas se dissiper. Voici Perpignan, et ses 122 000 habitants, cible principale du Rassemblement national, à l’occasion de ce second tour des municipales. Mais dans la région languedocienne, la force de l’implantation de l’extrême droite et sa volonté d’extension ne datent pas d’hier. Depuis Béziers, où il a été réélu en mars dernier, Robert Ménard tente d’exporter son modèle d’union des droites, dans une région où les frontières sont poreuses. À Perpignan ou dans l’Hérault (Sète, Frontignan, Lunel), cette stratégie a eu un retentissement national, parfois avec une « déformation des médias nationaux », se désole Sébastien Denaja, ex-député socialiste et candidat à Sète.

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