SOS dépannage, ce qu'il faut savoir pour pas se faire avoir

DGCCRF/DIRECCTE

Vous faites appel à SOS dépannage ou à un pro de l’entretien ou de la réparation, soyez vigilant pour ne pas vous faire arnaquer.

Fuite d’eau, panne d’appareils y compris d’ordinateurs, serrure grippée, chauffe-eau out, toilette bouchée, vitre cassée etc., difficile de faire autrement que d’appeler d’urgence un dépanneur (artisan, entrepreneur, prestataire de service, plombier, ramoneur etc.). Or dans l’urgence et le soulagement d’être dépanné, on est moins vigilant voire regardant sur la réparation et surtout la note.
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CETA : le Parlement européen défend un libre-échange dévastateur

La lutte contre le CETA a donné lieu à une très fort mobilisation citoyenne et politique. Quelques minutes après le vote en faveur du CETA, suivez le décryptage avec trois députés européens, en direct du Parlement européen de Strasbourg, Michèle Rivasi (Verts-ALE) , Eric Andrieu ( Socialistes et Démocrates ) et Patrick Le Hyaric (GUE-GVN). Un débat animé par Jean-Jacques Régibier.

Mise au point par Patrick Le Hyaric, directeur de l’Humanité.

Mercredi, 15 Février, 2017
L’Humanité

Hier matin, la secrétaire générale du Syndicat national des commissaires de police a gravement mis en cause notre journal à propos d’un article signé par Rosa Moussaoui dans un dossier concernant les actes de torture et de viol dont a été victime le jeune Théo. Nous respectons la police, ses agents, ceux qui les encadrent et leurs représentants syndicaux. Notre journaliste n’a fait que son travail d’enquête : révéler des éléments importants sur le passé du commissaire divisionnaire ayant autorité à Aulnay-sous-Bois, utiles à la compréhension des événements. La représentante syndicale a qualifié l’information publiée par notre journal et relayée par un nombre important de nos confrères de « mise en danger de la vie d’autrui ».

Il s’agit d’une atteinte grave et inacceptable à la liberté de la presse. L’actuel commissaire, promu dans ses fonctions à Aulnay après une grave condamnation pénale, par définition publique, n’a pas besoin de l’Humanité pour sortir de l’anonymat puisqu’il intervient sous son nom et à visage découvert dans des vidéos disponibles sur Internet. On peut évidemment discuter du contenu des articles de l’Humanité.

Mais que l’on mette en cause l’intégrité et le professionnalisme d’un ou d’une de nos journalistes, je ne l’accepte et ne l’accepterai pas. L’Humanité est un journal sérieux qui vérifie ses sources et n’accepte pas les menaces.

L’Humanité n’accepte ni les contrôles au faciès ni les violences envers les jeunes de banlieue comme il condamne les agressions envers les policiers.

Patrick Le Hyaric, Directeur de l’Humanité

Debout pour la justice et l’égalité

Texte collectif. Combien de Théo souffrirons-nous encore ? Parce que ça ne peut plus durer, parce que rien ne se fera sans implication citoyenne, nous lançons aujourd’hui cet appel : Debout pour la justice et l’égalité !

Un témoignage nous hante depuis le 2 février : celui d’un jeune travailleur aulnaysien hospitalisé depuis lors, Théo Luhaka. Les constats médicaux sont dramatiquement clairs : le jeune homme est blessé au niveau du visage et du crâne, porte « une plaie longitudinale du canal anal » et a subi une « section du muscle sphinctérien », ce qui a nécessité une prescription de 60 jours d’incapacité totale de travail. Une matraque l’a atteint gravement sur une dizaine de centimètres, ce qui pourrait entraîner une infirmité permanente. Nul doute que la vie de Théo Luhaka est bouleversée à jamais.
Qui est responsable de ce crime abject, de ce viol intolérable ? Le témoignage de Théo Luhaka, appuyé par de nombreuses vidéos, est sans appel : des fonctionnaires de police, chargés d’assurer la sécurité de notre peuple, sont accusés. Et remontent ces mots d’Émile Zola : « La France a sur la joue cette souillure » (« J’accuse »). Assurément, on ne saurait sombrer dans les amalgames visant à faire penser que tous les policiers du pays sont des violeurs en puissance ou des complices malfaisants. Cependant, 12 ans après la mort de Zyed et Bouna fuyant des forces de police perçues comme des agresseurs à Clichy-sous-Bois, quelques mois après celle d’Adama Traoré dans le Val-d’Oise, nul ne pourra plaider le « dérapage d’individus isolés », le nuage égaré dans un ciel serein.
La situation est grave et appelle une réaction.
En premier lieu, la justice doit faire son travail, tout son travail, avec la fermeté qui s’impose.
Le viol n’est pas une anecdote, un malentendu, un accident. Il est, selon l’article 222-23 du Code pénal, « tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui par violence, contrainte, menace ou surprise ». On le sait, le sentiment d’impunité face au viol et aux violences sexuelles en général est massif. Il est difficile d’en parler, d’être pris au sérieux par les autorités lorsqu’on se décide à porter plainte, a fortiori quand l’accusé est un agent des forces de l’ordre dans l’exercice de ses fonctions. Nous saluons le courage de Théo et nous mettons en garde tous ceux qui minimisent ce crime qu’est le viol : banaliser le viol nous met en danger toutes et tous.
Le racisme n’est pas une anecdote, un malentendu, un accident. Un fonctionnaire de police, en aucun cas, quelles que soient les circonstances, quelle que soit la personne à laquelle il s’adresse, ne peut proférer d’injures racistes. Non, « bamboula », ça ne reste pas « à peu près convenable » comme l’a prétendu un policier du syndicat Unité SGP Police. Ces paroles qui minimisent et justifient l’intolérable sont une honte pour ceux qui les prononcent et pour ceux qui ne les condamnent pas ; elles disent aussi la profondeur du problème raciste qui concerne, on est contraint de le constater, plus que quelques individualités policières marginales. Le racisme est une arme de destruction massive : quand on est au service de la République, on ne le minore pas, on le combat avec la dernière des énergies.
L’homophobie n’est pas une anecdote, un malentendu, un accident. Des humoristes en quête d’audience croient utile à leur carrière de faire rire sur ce drame et de donner dans une homophobie tranquille, associant viol et relation homosexuelle. C’est abject. Théo a été victime de sévices et d’insultes (« fiotte », « salope ») qui n’ont rien d’une relation homosexuelle mais tout d’un sadisme phallocratique.
La discrimination n’est pas une anecdote, un malentendu, un accident. Comment ne pas constater que ces abominations ne concernent pas indistinctement tous les habitants de notre pays ? A-t-on jamais entendu qu’un vieux banquier du 7e arrondissement de Paris avait eu l’anus accidentellement ravagé par une matraque policière lors d’un contrôle d’identité impromptu ?
Ça suffit ! Ne laissons pas faire. Le peuple de France a fait 3 Révolutions, a fait surgir la Commune de Paris, a lutté dans la Résistance et mené tant de combats pour que ce mot figure au plus haut : l’égalité.
Ce chemin révolutionnaire et républicain, tout montre que nous nous en sommes écartés. Il est grand temps de le reprendre. C’est un nouveau contrat qu’il faut forger, entre la police républicaine et notre peuple, entre les citoyens de ce pays quels que soient leur passé, leur couleur, leur sexe, leur lieu de vie, leur classe. C’est urgent et ça ne se fera pas sans notre implication déterminée : debout pour la justice et l’égalité !
Premiers signataires :
Guillaume Roubaud-Quashie (professeur d’histoire-géographie, directeur de La Revue du projet), Gilles Dehais (président de SOS Homophobie), Augustin Grosdoy (coprésident du MRAP), Emmanuelle Piet (présidente du Collectif féministe contre le viol), Suzy Rojtman (coporte-parole du CNDF), Louis-Georges Tin (président du CRAN), Abdelkrim Branine (rédacteur en chef de BEUR FM), Frédéric & Guillaume Coyère (graphistes), Didier Daeninckx (écrivain, prix Goncourt de la nouvelle 2012), Seloua Luste Boulbina (philosophe), Alain Ruscio (historien), Alice Zeniter (écrivaine, prix littéraire de la Porte Dorée 2010), Malik Zidi (acteur, César 2007), Éliane Assassi (sénatrice de Seine-Saint-Denis), Hélène Bidard (maire adjointe de Paris), Sidi Dimbaga (maire adjoint de Bagneux), Camille Lainé (SG MJCF), Denis Ömur Öztorun (maire adjoint de Bonneuil-sur-Marne), Philippe Rio (maire de Grigny).

Oui à la 6° République, mais laquelle?

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Par Paul Alliès  Blog : UNE AUTRE REPUBLIQUE EST POSSIBLE

Un sort étrange semble frapper l’idée d’une 6° République. Elle est une revendication commune aux trois candidats de gauche : Benoit Hamon, Yannick Jadot, Jean-Luc Mélenchon. Pour autant elle ne constitue pas à ce jour un programme commun.

Son contenu varie selon une logique de catalogue propre à chaque candidat. Son mode d’instauration reste incertain.  Elle n’est pas l’objet d’un débat véritable.

Le catalogue des propositions varie du plus simple (Yannick Jadot) au plus ambitieux (Jean-Luc Mélenchon) en passant par le plus controversé (Benoit Hamon). On dispose ainsi d’un corpus qui mêle la constitutionnalisation de l’écologie, la réduction d’un nombre de députés au mandat limité dans le temps, élus en plus ou moins grand nombre à la proportionnelle,  la reconnaissance du vote blanc et de votations  pouvant aller jusqu’au tirage au sort dans des jurys citoyens ou des assemblées. Sans oublier la révocation d’élus ou l’abrogation de lois par un vote populaire.

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Scandale dans le 18ème arrondissement de Paris !

NDLR de MAC: une info destinée, non pas à attiser les rancœurs mais bien à poser les enjeux politiques d’une stratégie de FI mortifère sur des circonscription tenues par des sortants Front de Gauche et ou gagnables!

Scandale dans le 18ème arrondissement de Paris !

Paris 18ème l’initiatrice de la pétition contre la loi travail, Caroline de Haas se présente contre El Khomri avec le soutien du PCF et d’EELV. Mais il y aura aussi contre elle, un candidat Force Insoumise, Paul Vannier et Sabrina Ali-Benali sa suppléante.

Si la FI ne retire pas ses candidats pour la soutenir vous aurez la réponse concernant ses objectifs pour ceux qui s’en posent encore ! Veulent-ils faire élire El Khomri ?

Front de Gauche 18ème

Alexander Van der Bellen : «Ensemble, nous sommes plus forts que quand nous sommes seuls.»

Devant le Parlement européen, Alexander Van der Bellen, le nouveau président autrichien élu en décembre dernier après avoir battu l’extrême-droite, a fustigé tous les populistes et a appelé à l’unité de l’Europe contre toutes les tentatives, externes et internes, pour la diviser.
Ce n’est pas un hasard si pour sa première visite à l’étranger depuis son élection le 4 décembre dernier, le nouveau président de la République d’Autriche a choisi de se rendre devant le Parlement européen de Strasbourg. « C’est l’Europe qui m’a motivé, » dit-il pour expliquer sa victoire face à son challenger d’extrême-droite, Norbert Hofer.

Les violences conjugales n’ont rien de « passionnel » : ce n’est pas l’amour qui tue

La Saint-Valentin célèbre les couples et l’amour, mais dans une relation, même en 2017, il est parfois encore question de violences plus que d’amour.

Les violences conjugales n’ont rien de « passionnel » : ce n’est pas l’amour qui tue

À l’occasion du 14 février, la fête des amoureux, un collectif féministe agissant en soutien au site ilsnoustuent.org s’est réuni ce matin devant le palais de justice à Paris, pour rappeler que l’amour n’est pas une circonstance atténuante… d’un meurtre.

En 2014, en France, 118 femmes sont mortes à la suite des violences conjugales, 122 en 2015 et au moins 119 en 2016, soit une femme qui meurt des mains de son compagnon tous les trois jours.

À lire aussi : Mon amie est morte sous les coups de son conjoint — Témoignage

Derrière ces chiffres, des noms, des personnes et des situations différentes mais un constat qui lui ne bouge pas.

Quand les violences faites aux femmes sont décrites de manière glamour, façon « crime passionnel »

A l'offensive, des rencontres enrichissantes

Tout au long de cette semaine, les militants du Front de Gauche, PCF, Associatifs, Syndicalistes se retrouvent sur les marchés de notre circonscription pour réaffirmer leur volonté de vote pour Jean Luc Mélenchon et pour débattre avec les citoyens de possibles convergences des forces alternatives pour un rassemblement clair de la gauche de transformation sociale, écologique et démocratique en rupture avec le modèle capitaliste.

Ce matin, c’est avec Françoise Tardin, leur candidate et Maximilien Reynès-Dupleix, son suppléant, que les valencinois-ses avaient l’occasion d’évoquer le futur politique. Des discussions parfois âpres teintées de désillusions et d’amertumes pour cette « gôche » qui termine un mandat pauvre en avancées sociales, avec en prime, sur ce marché, l’impression d’avoir été « roulés dans la farine » par les caciques locaux qui se sont vendus pour des ministères.

Malgré un marché clairsemé en cette période venteuse et pluvieuse, Françoise Tardin était saluée à maintes reprises par d’anciens élèves, des amis et anciens collègues qui la félicitaient pour un engagement dont il ne doutaient pas de la portée et de l’incidence, y compris sur la vie locale. Le contenu des propositions du front de gauche alimentait de belles et enrichissantes rencontres pour des instants que nous avons hâte de  renouveler.