Nouvelle Commission Européenne : petits arrangements entre amis libéraux

La nouvelle Commission Européenne vient d’être officiellement élue hier à Strasbourg par une majorité de députés de droite, libéraux (macronistes) et socialistes. Alors que partout en Europe les peuples se mobilisent pour la justice sociale et climatique, pour la démocratie et contre la corruption, aucun sursaut démocratique ne transparaît dans la composition de la commission européenne.

La connivence entre les commissaires et les multinationales n’est pas nouvelle, mais la nouvelle Commission s’annonce être encore plus liée aux bourgeoisies européennes. La présidente de la Commission elle-même, la conservatrice allemande Ursula von der Leyen, a été l’objet d’une enquête dans son propre pays pour corruption et gaspillage d’argent public. Quant au commissaire français au Marché intérieur, Programme spatial et Industrie militaire, Thierry Breton, il possédait jusqu’à il y a quelques semaines 45 millions euros d’actions dans l’informatique, la défense et la sécurité. Au total, un tiers des nouveaux commissaires ont des liens directs avec le monde de la finance.

Sur le fond, la feuille de route reste la même. La volonté affichée d’un « modèle d’économie sociale de marché à la hauteur des nouvelles ambitions d’aujourd’hui » masque mal la vieille recette : toujours plus de mise en concurrence pour les peuples, toujours plus de privilèges pour quelques-uns.

Le PCF dénonce ces « petits arrangements », entre amis, libéraux, conservateurs et socialistes qui ont permis la validation de la Commission Européenne et les liens structurels de celle-ci avec les lobbys et la finance.

Face à l’Europe de l’argent, il est plus que jamais temps de construire une alternative permettant la construction d’un espace de coopération et de développement mutuel entre les peuples et les nations libres, souveraines et associées. Les Français et les Européens pourront compter sur l’engagement permanent des communistes et de leurs alliés de gauche dans ce chemin.

Moissac: Réservez votre soirée du 11 décembre !

Le collectif TEMS vous convie à une rencontre publique

à 19h, à l’hôtel du Chapon Fin,

place des Récollets à Moissac.

 

Pour les représenter à l’élection municipale de mars 2020, les membres du collectifs TEMS ont choisi la personne qui mènera leur liste.
Elle se présentera en compagnie de quelqu’un de ses colistiers.

Nous parlerons ensemble de (vraie) démocratie locale :

  • Comment garder le lien entre élus et citoyens  ?
  • Quels dispositifs participatifs faut-il mettre en place pour donner la parole à tous les citoyens ?
  • Comment organiser le fonctionnement du conseil municipal pour que la décision soit collective et que le maire puisse réellement déléguer des pouvoirs aux autres élus ?

Venez débattre et proposer : nous vous accueillerons avec grand plaisir !

L’adresse mail : tems@territoires-et-moissac.fr
Terriroires Et Moissac Solidaires (TEMS)

MOISSAC 82200

France

Santé au travail : Le ministre supprime l’Observatoire de la sécurité des établissements 

 » Dans le contexte actuel – de l’ incendie d’une usine classée « Seveso » à Rouen, de la pollution au plomb autour de la cathédrale Notre-Dame, des problèmes liés à la présence d’amiante dans de très nombreux établissements scolaires, de l’importance des procédures de sécurité dans les ateliers dans la voie professionnelle et technologique, de la sécurité des installations sportives sans compter la montée des risques majeurs de causes naturelles liées au dérèglement climatique – la suppression de cet observatoire est irresponsable », écrit la FSU. Le ministre a décidé la suppression de l’Observatoire national de la sécurité et de l’accessibilité des établissements d’enseignement. Cet organisme indépendant était un des rares lanceurs d’alarme de l’éducation nationale. C’est lui par exemple qui a donné en 2016 une première estimation du risque lié à l’amiante dans les établissements scolaires. En supprimant cet observatoire, en supprimant aussi les CHSCT, ce sont toutes les protections des fonctionnaires et des usagers en matière de santé qui disparaissent. Là aussi c’est une rupture historique qui se produit dans une relative apathie.

 

Communiqué du Snptes

Le risque amiante

Le dernier rapport de l’ONS

 

 

Par fjarraud , le jeudi 28 novembre 2019.

Municipales : reconstruire un récit collectif (NDLR: et non individuel ou egocentré!)

Dans son rapport, Pierre Lacaze rappelle le caractère inédit des municipales 2020 (crise sociale, recomposition politique, paysage communal marqué par l’intercommunalité) ; il analyse les objectifs communistes et l’état des discussions à gauche. (Extraits)

« Dans nos listes et nos projets, nous voulons mettre en avant un objectif d’égalité sociale et territoriale, contre-pied de la compétitivité, au plus près des exigences populaires, pour peser aussi sur les politiques nationales, contre l’austérité. Tendre vers la gratuité pour les transports, les cantines, les loisirs… Un objectif de rassemblement de toutes celles et tous ceux qui veulent donner de la force aux valeurs de gauche et faire de ces élections une étape importante dans la construction d’une véritable dynamique porteuse d’un nouveau projet de gauche pour la France. Dans cette optique, il est cohérent d’affirmer notre stratégie de large rassemblement à gauche autour de politiques municipales offensives pour les égalités et les solidarités. Sur trois objectifs affirmés dans nos résolutions : l’enjeu social et écologique au cœur de la ville et des villages de demain ; la démocratie communale ; la justice fiscale. (…)

Au-delà du secteur Élections et de l’exécutif, nous avons associé les élus, les maires, les secrétaires de section et secrétaires départementaux. Nous avons tenu plusieurs CN sur cette question et nous referons un dernier point en février. Nous avons rencontré l’ensemble des départements et échangé plus précisément avec les 10 à 15 départements ayant le plus d’élus. Deux réunions du secteur Élections élargi ont eu lieu, nous en proposons une prochaine en décembre. Nous avons mis en place une bibliothèque numérique et, avec le secteur organisation, il y aura un envoi régulier de fiches de références sur les questions administratives ou politiques. La question des municipales est traitée dans CommunisteS chaque semaine. Depuis le vote de notre résolution, nous avons beaucoup travaillé, nous allons continuer à mettre en place le maximum d’accords favorables à nos maires et élus et à l’ensemble de la gauche. »

L’orateur fait état des rencontres à gauche.

« Nous avons rencontré, lors d’une dizaine de réunions, le PS, Génération.s, GRS, Ensemble et EELV et nous poursuivrons, à partir de nos objectifs de rassemblement. Dans les départements, nous sommes en contact localement avec toutes les forces de gauche dans 90 % du territoire, y compris avec FI, qui n’a pas répondu aux demandes de rencontres nationales. »

« Chacun sent bien que ces élections locales peuvent prendre une dimension nationale forte. La droite LR joue, en lien avec sa majorité sénatoriale, son avenir politique souligné par l’entrée en lice sur la question présidentielle de François Baroin, et sur sa capacité à conserver les principales métropoles et grandes villes. Nous avons donc à agir pour qu’au bout ces élections ne soient pas bonnes ni pour l’exécutif ni pour l’extrême droite ou les autres forces de droite. C’est ainsi que, partout dans le pays, nous avons abordé la question du rassemblement à gauche ; au-delà du maintien des villes à direction communiste, partout nous cherchons à préserver les majorités de gauche et à battre la droite sur la base de projets portant les enjeux sociaux et écologiques, avec une stratégie claire vis-à-vis de toutes les forces de droite, y compris quand elles sont représentées par les transfuges de gauche vers la République en marche. Nous parlons à toutes les forces de gauche avec une démarche qui n’oppose pas rassemblement citoyen et rassemblement des partis politiques, qui refuse de manière très majoritaire le tout sauf le PS ou la stigmatisation d’autres forces politiques de gauche. Nous sommes, dans beaucoup d’endroits, ceux qui permettent le lien. Dans des situations que nous laissons ouvertes au rassemblement jusqu’au bout.

EELV a décidé de faire de ces municipales un enjeu politique pour affirmer un leadership supposé après le résultat des européennes et s’inscrit aussi dans une perspective présidentielle. Il revendique la tête de liste partout sans contrepartie, tendant la main mais dans un discours ambigu sur le rapport gauche-droite, ne cherchant pas vraiment le rassemblement mais systématiquement la première place, quitte à empêcher ou à faire éclater les rassemblements. Le PS cherche à se réorganiser et à échapper aux tentatives de prises de guerre de LREM et à son affaiblissement important, mais il s’appuie sur son maillage territorial de loin le plus fort à gauche. C’est la force politique avec qui nous discutons le plus de par son implantation et le nombre de ses élus et du fait que dans des centaines de villes nous dirigeons ensemble. La FI est en grande difficulté avec une faiblesse politique qui ne la met pas du tout en avant dans la quasi-totalité des villes mais elle cherche à accentuer un pouvoir de nuisance plus qu’une capacité à rassembler et s’adapte selon les endroits. Elle se situe dans une démarche de listes citoyennes mais où se retrouvent toutes les configurations. Dans cette dernière période, elle cherche à placer des élus avec nous ou EELV, voire le PS, étant en difficulté sur sa capacité à conduire ou faire des listes. Génération.s, le NPA, GRS, Ensemble et LO représentent une dimension très faible nationalement et sont des interlocuteurs sur quelques villes. (…)

La question des gratuités, de l’aide aux plus fragiles, la prise en compte de la question de la sécurité, du maintien des services publics, des emplois, de la jeunesse, des femmes et des familles monoparentales, des seniors et du vieillissement, des enjeux du numérique comme de la mobilité ou du logement, de la culture et du sport et, bien sûr, de l’enjeu démocratique marquent nos propositions.

Nous aurons aussi un sujet majeur et commun à ces municipales : l’égalité territoriale.

Il y a dans les communes de France une vitalité, une solidarité, une richesse sociale et humaine exceptionnelle dont témoigne un tissu associatif résilient, malgré les coups terribles qui lui sont portés.

Nous ne gagnerons pas en étant les meilleurs gestionnaires du monde, nous ne gagnerons pas en faisant de la proximité sans contenu politique, de la démocratie participative sans enjeu. Nous gagnerons en donnant tout son sens à notre action municipale et à notre démarche politique, en montrant qu’elle participe d’un récit collectif. Il faut reconstruire un récit collectif. Et dans ce récit les questions d’égalité, de liberté et de fraternité pour rompre l’isolement, les replis sur soi, les communautaristes ou le clientélisme sont essentielles. Nous avons bien travaillé à préparer le Parti à cette échéance. Beaucoup reste à faire et notamment dans le plus grand nombre de petites villes et de villages. Nous avons, dans la période d’ici janvier, à donner à voir la dimension nationale pour le PCF dans ces municipales. C’est ce qui est attendu de nos travaux et qui contribuera, avec notre action locale, à atteindre nos objectifs politiques, pas seulement arithmétiques, pour ces élections. »

Amiante : Urgence dans l’éducation nationale 

« On aimerait que le ministre prenne la mesure de la situation ». Le 26 novembre, le collectif Urgence Amiante Ecoles, avec 11 associations ou mouvements (Fsu, Cgt, Fcpe, Sud, Unl, Andeva, Ava, etc.), a tiré la sonnette d’alarme. Rapport officiels à l’appui, le collectif montre que le risque d’exposition à l’amiante est très sous estimé dans l’éducation nationale. Il n’y a pas de suivi des personnes exposées et seulement la moitié des écoles dispose d’un dossier technique amiante pourtant légalement exigible. Le collectif demande un diagnostic public accessible sur Internet, un suivi médical des personnels et des investissements pour l’éradication du risque.

60 enseignants malades de l’amiante par an

« Il est possible d’être malade du fait de l’amiante dans un établissement et d’en mourir », rappelle Cyril Verlingue, enseignant et président du collectif Urgence Amiante Ecoles. D’après un rapport de Santé Publique France de juin 2019, on compterait 60 cas de malades enseignants par an sur la période 1998-2017. En l’absence de suivi médical sérieux des enseignants, ce chiffre a été calculé par Santé Publique France par extrapolation.

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À Moissac, la fronde contre la suppression du poste de chirurgien à l’hôpital in DDM

NDLR de MAC: Le 3CSP82 s’est exprimé en la personne de son président et nous pouvons regretter que l’attente des réponses de l’ARS prévaut sur une action plus visible et plus percutante. Toutefois, il a été proposé de participer à la manifestation du 5 décembre… Rendez vous maintenant à Castelsarrasin lundi 2 décembre à la salle Jean Moulin… à suivre!

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L’infirmière Sonia Vanhullebus, entourée de nombreux élus, dont les maires de Moissac, Castelsarrasin et Lizac./Photo DDM

Les organisateurs* espéraient mobiliser « 300, peut-être 400 personnes ». Pari gagné. Près de 500 citoyens opposés à la suppression du poste permanent de chirurgien viscéral à l’hôpital de Moissac se sont rassemblés hier soir dans la salle Confluences, pour une première réunion publique qui en appelle d’autres. « Cette action collective, massive, est importante pour faire fléchir l’administration », lance Jean-Paul Nunzi, président du Comité de défense de l’hôpital, visant la direction de l’hôpital et l’agence régionale de santé. La salle applaudit à tout rompre. La nouvelle organisation du service – un chirurgien à temps partiel appuyé par une « fédération » de chirurgiens basée à Montauban qui effectue trois journées de permanence par semaine depuis la mi-octobre – fait l’unanimité contre elle.

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Oui, Monsieur le Président de la République, la précarité tue !

 

 C’est avec émotion que je m’adresse à vous, Monsieur le Président, avec l’espoir que vous serez sensible à cet appel. Émotion, mais aussi colère, à la suite du drame vécu par un enfant de la République dans notre France de 2019. Anas, étudiant de 22 ans à Lyon, s’est immolé aux portes d’un restaurant universitaire. Brûlé à 90 %, ce jeune homme est toujours « entre la vie et la mort ».

 Vous me connaissez suffisamment, Monsieur le Président, pour savoir qu’en exprimant ma colère je ne me livre pas à quelque instrumentalisation politicienne de cette terrible tragédie. Mais vous en conviendrez, ce drame ne relève ni du fait divers, ni de la fatalité. Au-delà de raisons intimes impénétrables, il s’agit d’un cri d’alarme générationnel dont la résonance est foncièrement politique. C’est l’étudiant lui-même qui le reconnaît dans un message qu’il a posté avant son acte de désespoir. C’est la dégradation de ses conditions de vie et sa situation de jeune précaire qui l’ont plongé dans l’abîme. Et c’est explicitement qu’il souligne la responsabilité du gouvernement et de tous ceux qui nous ont engagés sur la voie de la régression sociale.

 Vous devez entendre cette parole, Monsieur le Président. L’appel à la dignité et à la solidarité lancé par notre jeunesse mérite mieux que votre aveuglement. Votre silence inexplicable pendant près d’une semaine pourrait être interprété comme une marque d’indifférence. A moins que ce ne soit, pour reprendre Albert Camus dans « l’Homme révolté , « la sécrétion en vase clos d’une impuissance prolongée » ? Au cœur du mouvement des « gilets jaunes », n’aviez-vous pas déclaré ne pas sentir « une colère profonde » dans le pays ?

 La jeunesse est l’une des principales victimes de la violence sociale de votre politique. En témoigne votre décision, à peine arrivé au pouvoir, de baisser l’aide personnalisée au logement de 5 euros par mois (soit 60 euros par an, ce qui n’est pas rien pour un étudiant !). Parallèlement, vous avez également marqué l’ouverture de votre quinquennat par la suppression de l’ISF : une suppression à la fois symbolique et symptomatique. Symbolique, elle a été le péché originel de votre présidence, qui a fait de vous « le président des riches ». Symptomatique, elle a éclairé votre conception de l’équité et de la solidarité nationale, au détriment de nos jeunes concitoyens qui en payent le prix fort.

 À défaut de « ruissellement », votre politique en faveur des plus riches a produit des résultats implacables pour les plus vulnérables : les jeunes pauvres et précaires sont de plus en plus nombreux, y compris parmi les étudiants, avec pour eux de lourdes conséquences et des injustices intolérables dans la continuation de leurs études. Concrètement, l’appauvrissement des conditions de vie des étudiants et la multiplication des emplois précaires de jeunes pèsent lourdement sur leur capacité à payer leurs factures, leur loyer et leurs besoins élémentaires.

 Une dégradation des conditions de vie qui n’affecte pas que les plus jeunes : nos anciens, eux aussi, sont frappés de plein fouet par la cherté de la vie et la baisse continue de leur retraite.

 Je le redis, Monsieur le Président, vous devez entendre cette réalité. Et il n’est pas trop tard ! Rappelons-nous qu’en Tunisie, l’immolation de Mohammed Bouazizi, qui avait préféré « mourir plutôt que vivre dans la misère », fut l’événement catalyseur du soulèvement populaire qui a fait chuter le régime de Ben Ali. Aujourd’hui, partout dans le monde, du Chili au Liban, les peuples s’élèvent contre l’injustice et les inégalités sociales produites par les politiques néolibérales menées par des élites coupées des réalités.

 En France, le mouvement des gilets jaunes n’est pas éteint : ses racines profondes sont toujours au cœur de votre action. Cette histoire n’est pas terminée. Elle est toujours vivante et anime les forces vives de notre nation qui en appellent aujourd’hui au retour de nos valeurs fondamentales de justice et d’égalité.

 Monsieur le Président, écoutez notre peuple, changez de politique avant qu’il ne soit trop tard… ou l’Histoire vous jugera coupable de non-assistance à peuple en danger.

 Je vous prie de croire, Monsieur le Président, en l’expression de mes sentiments les meilleurs.

Lettre ouverte publiée dans le journal L’Humanité du vendredi 15 novembre 2019.

La vente de l’Humanité et l’Humanité Dimanche interdite par la police municipale de Montauban…PCF82

huma

Alors que depuis des dizaines d’années, les militants du Parti Communiste Français de Tarn et Garonne sont présents sur le marché de Montauban pour diffuser l’Humanité, l’Humanité Dimanche et les Nouvelles82, samedi dernier, ils se sont vus interpellés dans un premier temps par le placier du marché puis par la police municipale aux motifs de vente à la sauvette et d’occupation illégale de l’espace publique. 

Le marché, lieu de rencontre et de dialogue autour de ses journaux, chaque semaine, permet aux communistes d’échanger de commenter l’actualité avec les Montalbanais.es. C’est un exercice de démocratie hebdomadaire auquel le PCF82 est attaché. Continuer la lecture de La vente de l’Humanité et l’Humanité Dimanche interdite par la police municipale de Montauban…PCF82

Coût, délai, accès aux soins : 63 % des Français ont déjà renoncé à se faire soigner in DDM

NDLR de MAC: INSUPORTABLE en ce XXIème siècle…

Un patient chez le dentiste.
Un patient chez le dentiste. Photo Pixabay
l’essentiel Une large majorité de Français a déjà renoncé à se faire soigner en raison des coûts, des délais ou de l’accès aux soins. Les plus touchés sont les habitants de zones rurales, les personnes modestes et les jeunes.

La situation n’a rien de surprenant mais le constat est inquiétant. 63 % des Français ont déjà dû renoncer à se faire soigner en raison notamment de délais d’attente trop longs ou d’un reste à charge trop important. C’est le résultat d’un sondage BVA, publié par le Journal du Dimanche et commandé par France Assos Santé qui regroupe 85 associations de malades.

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