Soutiens de TEMS: Montauban en commun 2020 solidaire de la liste TeMS à Moissac

Montauban en commun 2020 : soutien à la liste TeMS à Moissac
Au vu de la situation électorale du second tour des municipales à Moissac, le collectif Montauban en Commun apporte son soutien à la liste Territoires et Moissac Solidaires (TeMS) menée par Estelle Hemmami.
Cette liste citoyenne porte en effet des valeurs proches des nôtres, notamment sur le plan social et écologique. De même au niveau du fonctionnement du collectif : la mise du citoyen au cœur des réflexions ou la transparence des actions revêtent une même importance dans nos deux formations.
Nous estimons que chacun sait ce qu’il veut, pour lui, pour ses enfants, pour son lieu de vie.
La ville dans laquelle nous vivons est notre environnement proche, elle rythme notre quotidien. Il est important alors que ceux qui y prennent des décisions soient au mieux représentatifs des citoyens qui la composent, qu’ils sachent écouter les habitants et prendre en compte leurs problématiques. La liste Territoires et Moissac Solidaires entend fonctionner ainsi et a d’ailleurs construit son programme sur la base des échanges et des propositions faites par les Moissagais-es lors des rencontres publiques que  le collectif à l’initiative de cette liste a organisées régulièrement depuis 2015. 
Moissac est une ville forte d’une mixité culturelle qui, loin d’être le « fléau » que l’on veut bien nous faire croire, nous enrichit et nous permet d’apprendre les uns des autres. Le bien vivre ensemble devra être encore développé, c’est ce à quoi la liste TeMS propose de s’atteler.
Le vote est un droit, un acquis social obtenu de haute lutte, et le seul moyen de s’exprimer actuellement. Se rendre aux urnes afin de continuer à le faire valoir devient alors un devoir.
Votre vote est votre voix, faites-vous entendre.

Soutiens de TEMS: Pour nous, Vox Bigerri, Moissac est synonyme d’ouverture à la culture.

« Entà nosautis, Vox Bigerri, Moissac qu’ei sinonim d’aubrida a la cultura. Dens l’encastre deu « Festival des voix, des lieux, des mondes » avem avut la parat de crotzar, encontrar artistes jessits de culturas pluraus. Qu’avem tanben avut l’astre d’encontrar e tribalhar dambe mainatges e adultes de Moissac, eths tanben venguts de culturas divèrsas. Moissac ei ua ciutat de vita, de passatge, un centre d’encontres, d’escambís e de borbolh culturau a l’endavant. Açò dèu contunhar. Qu’ei en pr’amor d’aquò que sostenem l’aubrida aus autes e l’escambi interculturau. »

Vox Bigerri,
Bastien, Fabrice, Régis, Pascal

« Pour nous,Vox Bigerri, Moissac est synonyme d’ouverture à la culture. Dans le cadre du « Festival des voix, des lieux, des mondes » nous avons eu la chance de croiser, rencontrer des artistes de cultures très variées. Nous avons aussi eu la chance de rencontrer et de travailler avec des enfants et des adultes de Moissac, eux aussi aux cultures diverses. Moissac est une ville de vie, de passage, un centre de rencontres, d’échange et de bouillonnement culturel formidable. Cela doit continuer. C’est pourquoi nous soutenons l’ouverture aux autres et l’échange interculturel. « 

Vox Bigerri,
Bastien, Fabrice, Régis, Pascal

Soutiens de TEMS: Pour notre ville de Moissac (Arène Théâtre)

ARENE THEATRE Compagnie théâtrale

Pour notre ville de Moissac
Le Dimanche 28 juin pour le second tour des municipales, les Moissagais devront choisir entre le Collectif TEMS et sa candidate Estelle Hemmami face à Romain Lopez soutenu par le Rassemblement National.
Au-delà de nos différentes sensibilités, nous en appelons à l’unité, à l’humanisme et au civisme de tous les Moissagais pour que la cité uvale ne devienne pas la ville de l’extrême droite en Midi-Pyrénées.
La démocratie n’est jamais parfaite mais l’abstension est sa pire ennemie. Pour que Moissac reste une ville des Justes, une ville de cultures, d’art et d’histoire, c’est avec le TEMS que nous pourrons être ensemble, vivre ensemble, dans la tolérance et l’intérêt de tous.
Eric Sanjou, Christophe Champain et l’équipe de l’Arène Théâtre.

Soutiens de TEMS: Moissac ne doit pas se faire voler son avenir. (M. Piqué)

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Attachée aux valeurs républicaines de la France, ce pays dans lequel mes parents ont posé leurs valises alors qu’ils fuyaient le fascisme espagnol, je tiens aujourd’hui, en tant que Vice-présidente de la Région Occitanie, en charge des solidarités, des services publics, de la vie associative et du logement, à apporter tout mon soutien à la liste Territoires et Moissac Solidaires, et sa tête de liste Estelle Hemmami, qui porte l’émergence d’un nouveau modèle économique et social pour cette commune historique du Tarn et Garonne, en termes de gestion municipale, fondée sur la solidarité, le service public et la citoyenneté.

Les valeurs d’une gauche unie, progressiste, à l’image de ce que la majorité régionale a bâti autour de la Présidente Carole Delga, peuvent permettre à Moissac d’envisager l’avenir en matières de bien vivre ensemble, de transition écologique, d’économie locale et d’emploi.

Face à la crise économique et sociale qui touche notre région, il s’agit désormais d’oeuvrer pour un travail alternatif, d’union et solidaire, par la mise en place d’une dynamique de participation citoyenne. Ateliers, questionnaires et temps de rencontres ont permis la mise en avant de propositions progressistes, modernes et engagées dans la transition écologique, économique et sociale. Aux côtés de personnalités issues de divers horizons politiques et sociaux divers, il est important d’offrir aux Moissagais la possibilité de construire une ville axée sur le bien-vivre et l’économie sociale et solidaire, alliant professionnalisme et engagement de transparence politique. C’est cette sincérité trop souvent galvaudée en politique qui doit désormais guider l’action des élu.e.s. Bien plus encore, il ne faut surtout pas laisser cette commune rurale devenir un laboratoire de l’extrême droite aux idées les plus insupportables. Moissac, dont l’esplanade des Justes rappelle le courage silencieux de ses habitants qui pendant la seconde guerre mondiale ont sauvé plus de 500 enfants juifs, ne doit pas se faire voler son avenir. Face à une idéologie qui n’a plus sa place à notre époque, le 28 juin, votez, et faites voter, Estelle Hemmami et pour le projet de Territoires et Moissac Solidaires.

Marie Piqué Vice Présidente Communiste du Conseil Régional

La mort de Zeev Sternhell, historien antifasciste + attaques contre le site MAC

NDLR de MAC: Une actualité brulante après les attaques contre le site de MAC!(1)

AFP

Dimanche, 21 Juin, 2020

(Mise à jour le 21 juin 2020). Le quotidien Haaretz annonce la mort, à 85 ans, de Zeev Sternhell. Historien israélien, spécialiste de l’histoire du fascisme, membre de l’Académie israélienne des sciences et lettres, professeur à l’université hébraïque de Jérusalem, Zeev Sternhell nous avait accordé cet entretien le 3 mai 2018, entretien que nous republions, revenant sur un certain pourrissement de la société israélienne, marqué par la colonisation des territoires occupés et un régime d’apartheid.

HD. Comment réagissez-vous aux événements qui ont lieu dans la bande de Gaza ?

Zeev Sternhell. La réponse israélienne face à cette « marche du retour » a été bien trop violente… Il faut la condamner. Mais cette idée du retour des réfugiés peut être comprise par les Israéliens comme si les Palestiniens n’acceptaient pas non seulement les résultats de la guerre de 1967, ce qui est normal, mais la fin de la guerre de 1948-1949, ce qui est totalement inacceptable. Cela fait cinquante ans qu’on est là. Cinquante ans que, depuis la guerre des Six-Jours, Israël occupe la Cisjordanie. Et cela peut durer encore cinquante autres années. C’est donc une situation inextricable, sans solution. Bien évidemment, la riposte de l’armée israélienne est trop brutale.

HD. Pourquoi n’y a-t-il pas eu davantage de mobilisation en Israël pour dénoncer ce qui se passe à Gaza ?

Z. S. La société israélienne s’est révoltée au sujet du problème des réfugiés. En ce qui concerne les Palestiniens et l’occupation de la Cisjordanie, une majorité d’Israéliens pensent qu’il n’y a pas de solution. Ce qui est dramatique, car elle existe. Mais il faut une volonté politique d’acier pour y parvenir. La solution des deux États n’est pas encore impossible. On peut encore y arriver, si une volonté politique existe, avec une majorité gouvernementale. Mais c’est une illusion de penser que nous le ferons tout seuls. Nous avons besoin de l’aide et de l’intervention des États-Unis et de l’Europe. Il faudra aussi compter avec la Russie, qui est désormais un acteur important dans la région, en Syrie notamment. Ce pays ressemble à un protectorat russo-iranien. La Russie aura donc son mot à dire dans le dossier israélo-palestinien. Mais plus le temps passe et plus cela devient compliqué. L’Israélien moyen, si on lui laisse le choix entre une guerre avec les Palestiniens et se lancer dans une guerre civile qui serait le produit du retrait de la Cisjordanie, fera rapidement son choix. Car, en Cisjordanie, se trouvent plus de 350 000 colons. L’opinion publique israélienne a une bonne raison de ne pas bouger. Mais la responsabilité essentielle de cet échec des négociations de paix est bien la nôtre, en tant que puissance occupante.

HD. Alors, comment relancer le processus de paix  ?

Z. S. La politique gouvernementale est aujourd’hui très claire : gérer la situation sans bouger. Donc, quel que soit le résultat d’une démarche dynamique, cela ne peut pas être pire que la situation actuelle. Depuis une décennie, les dirigeants israéliens ne font rien car ils estiment que c’est ce qu’il y a de mieux. Je n’ai jamais compris pourquoi l’ancien président des États-Unis Barack Obama, avec toute son intelligence, n’avait pas réalisé que Benyamin Netanyahou se moquait de lui, en entretenant faussement le processus de paix. John Kerry a passé près d’un mandat dans un avion entre Washington et Tel-Aviv. L’idéal pour les dirigeants israéliens est de laisser les choses en place, sous couvert d’une situation temporaire. Après tout, comme c’est temporaire, ils n’ont pas besoin de faire avancer le processus.

Mais je suis persuadé que, si on présentait un projet de paix réaliste à la société israélienne, la droite serait battue. Mais les Palestiniens devraient abandonner leur idée de droit au retour, accepter les frontières de 1948-1949 et discuter sur la Cisjordanie et du problème des colonies, en échange de compensations. Faut-il envisager qu’une partie du Sinaï égyptien soit rattachée à la Palestine ? Les possibilités d’un accord existent encore. Il faut une volonté politique. La société israélienne ne bougera pas tant qu’un vrai projet ne lui sera pas présenté. Elle ne se lancera pas dans l’aventure.

HD. La gauche, les partis progressistes peuvent-ils faire évoluer cette situation complètement bloquée que vous décrivez ?

Z. S. Le problème est qu’ils ne proposent aucun véritable projet auquel les Israéliens pourraient adhérer. Ils n’arrivent pas à se faire entendre. Le Parti travailliste, qui est de centre gauche, fait l’erreur depuis quarante ans de croire que, en se rapprochant de la droite, il aura davantage de chances de remporter les élections. Ce parti ne formule aucun projet, ni sur le conflit israélo-palestinien, ni en ce qui concerne la politique économique et sociale. C’est un non-sens et une erreur stratégique. À l’exception du parti Meretz, qui demeure la seule formation réellement de gauche en Israël, tous les autres n’ont aucune politique alternative au gouvernement. Ils ne parlent pas des territoires occupés. Et, forcément, les électeurs ne leur font pas confiance, car ils s’attendent à subir la même politique, quel que soit le gouvernement. Aujourd’hui, il est vrai que, pour ces partis, il leur faudra une coalition pour gouverner, et compter avec diverses formations religieuses. Le moins pire qu’on puisse espérer en Israël, c’est une politique moins dure que celle de la droite. Pour obtenir une politique totalement différente, alors il faudra une intervention des Européens et des États-Unis. Lors des dernières années de son deuxième mandat, l’administration Obama a compris que Netanyahou ne bougerait pas. Seulement, il était déjà trop tard.

La vérité, c’est que le conflit israélo-palestinien n’intéresse plus. Ni les Français, ni les États-Unis, ni les Britanniques ne s’en soucient. Alors, qui va s’en occuper ? L’Italie, l’Allemagne ? Du point de vue de l’Élysée, de la Maison-Blanche ou du 10, Downing Street, on se préoccupe davantage de la Syrie. Et déjà ils n’osent pas y intervenir, alors, pour quelques Palestiniens… Quel pays, quel gouvernement va prendre le risque d’un échec pour 50 morts palestiniens ? Pour eux, ce n’est plus important, et les Palestiniens n’ont rien à offrir. Même les pays du Golfe ne s’intéressent pas à leur sort. Il n’y a aucune charte de solidarité entre les pays arabes à leur égard. Et, finalement, les seuls qui s’intéressent à eux, ce sont les Israéliens. Et, en attendant, la colonisation et l’occupation pourrissent notre société.

HD. Que voulez-vous dire avec cette expression de « pourrissement de la société » ?

Z. S. Les gens s’habituent à tout. Et le nationalisme israélien, le nationalisme juif, se durcit depuis de longues années. Mais il y a eu une nette accélération, lors de ces dernières années, qui est le produit de l’occupation. Il y a un sentiment de supériorité ethnique qui se développe au sein de la droite israélienne. Cela n’a jamais existé par le passé. Jamais le mouvement sioniste n’avait développé un quelconque sentiment de supériorité envers les Arabes. Aujourd’hui, on parle de droits sur la terre fondés par la parole divine. Nous sommes les maîtres du pays. Et, dans le meilleur des cas, les ­Palestiniens n’auraient que la possibilité d’y vivre ou d’y survivre, plus exactement. Toute la question des droits de l’homme, du droit à l’indépendance, à la souveraineté, à la justice, n’est ancrée dans aucune réalité. C’est ce que la droite aujourd’hui dit ouvertement. Il y a vingt ans, elle ne faisait que le penser. Désormais, elle l’applique avec ce gouvernement. En même temps, elle s’emploie à modifier les structures institutionnelles. Cette démarche est antidémocratique et antilibérale, mais la droite la met en œuvre lentement et progressivement. Comme nous n’avons pas de Constitution écrite, le Parlement peut désormais légiférer en contournant la Cour suprême. Car le Parlement représente la souveraineté nationale face à une institution non élue. Il y a une infériorité de la troisième branche du pouvoir face à l’exécutif et au législatif. Cette démarche présentée par la droite se veut démocratique. C’est totalement faux ! La démocratie n’est pas restreinte à la loi de la majorité. Les droits de l’homme, la séparation des pouvoirs garantissent son fonctionnement. La société comprend mal ce statut de droits de l’homme et beaucoup mieux la loi de la majorité. C’est un élément fondamental que produit la colonisation. En territoires occupés, c’est le régime de l’apartheid qui prévaut. Et cela suinte sur la société israélienne. Car, ce système de colonisation est au bout de notre rue.

HD. Ce pourrissement de la société israélienne explique-t-il une immigration plus importante ?

Z. S. Cela a toujours existé. La situation à Tel-Aviv n’est pas insupportable, ni à Jérusalem. On n’y voit pas ce qui se passe de l’autre côté de la rue. Cela n’intéresse personne aussi longtemps que la situation économique reste bonne, que le chômage reste faible et qu’on assure aux classes défavorisées des satisfactions d’ordre moral. Aussi longtemps que le nationalisme remplace la justice sociale, les gens sont contents. Il ne faut pas se faire d’illusions. Les choses ne changeront pas du jour au lendemain.

HD. Le nationalisme en Israël résonne-t-il avec celui qui progresse aussi en Europe et dans les sociétés dites occidentales ?

Z. S. En effet, la droite israélienne est contente de voir qu’elle dispose de relais un peu partout et de mouvements proches d’elle en Europe, comme en Autriche, en Hongrie, en Pologne… Le nationalisme dur fait partie intégrante de notre culture et de notre civilisation. On pensait que l’Union européenne favoriserait les idées de la social-démocratie. Mais force est de constater que le nationalisme n’a pas été balayé en 1945, après la guerre. Il fait partie du paysage idéologique et intellectuel européen. En période de crise, il progresse et peut prendre des formes diverses, culturelles, économiques, sociales. Il n’y a pas de hasard. Le nazisme n’a pas commencé avec Hitler, mais à la fin du XIXe siècle. Le régime de Vichy n’est pas tombé du ciel et s’inscrit dans la suite du boulangisme et de l’affaire Dreyfus. C’est toujours là et toujours présent. En Israël, les cinquante années d’occupation ont développé des problèmes qui étaient relativement marginaux. Hélas, ils sont désormais au centre de notre espace culturel et politique.

entretien réalisé par vadim kamenka

Citations de Zeev Sternhell :
  • « En Israël, il n’existe qu’une seule droite, la droite extrême, nationaliste et raciste. » Tribune dans « le Monde » du 12/03/2018.
  • « En Israël, pousse un racisme proche du nazisme à ses débuts. » Tribune parue dans « le Monde » du 18/02/2018.
  • « Si on ne stoppe pas l’occupation, ce sera tout simplement la fin de l’État d’Israël. »  Entretien du 21 novembre 2014 sur www.humanite.fr.
Ouvrages
« Aux origines d’Israël : entre nationalisme et socialisme », traduit de l’hébreu par Georges Bensimhon avec le concours de l’auteur, Paris, Fayard, 1996 ; Paris, Gallimard, « Folio Histoire », 2004.

« Les Anti-Lumières : une tradition du XVIIIe siècle à la guerre froide », Fayard, « L’espace du politique », 2006 ; Gallimard, coll. « Folio Histoire » (édition revue et augmentée), 2010.


le post qui circule dans la fachosphère:

Soutiens de TEMS: Ils n’apportent que divisions et replis… (C. Bourdoncle/J. Gonzalez)

Nous, Cathy Bourdoncle et José Gonzalez Élus au Conseil Départemental apportons notre ferme soutien à l’équipe menée par Estelle Hemmami qui représente l’avenir de Moissac face au candidat du Rassemblement National.
Moissac reconnue ville de Justes oubliée, ne mérite pas d’être dirigée par les négationnistes «LePennistes» qui ne sont pas l’avenir de nos territoires.
Ils n’apportent que divisions et replis, abîmant la mémoire de ceux trop nombreux qui ont perdu la vie pour préserver nos libertés.
Le 28 juin votez pour le collectif TEMS pour Moissac, pour le Tarn et Garonne.

 

 

NDLR de MAC: de plus en plus de personnes nous demande comment soutenir TEMS et Estelle Hemmami face au RHaine. Outre les déclarations que nous publions chaque jour, faire en sorte qu’il y ait le moins d’abstentionnistes et former cet arc républicain pour que Moissac ne soit pas demain le laboratoire des idées les plus rétrogrades.


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Lettre ouverte à André Angles, liste « Tous pour Castelsarrasin »

Bonjour André,

Tu permets que je te tutoie comme nous le faisons dans la vraie vie puisque jusqu’à présent j’appréciais ton côté démocrate et républicain.

Je dis bien » j’appréciais », car même si nous sommes fondamentalement à l’opposé toi et moi des propositions et solutions que nous pourrions mettre en œuvre pour notre ville ou nos territoires, nous avions encore la possibilité d’échanger et de confronter nos visées respectives avec respect l’un pour l’autre, du moins je veux bien le croire.

Tu le sais pour ce 2ème tour des élections, je me garde bien de prendre parti pour l’un ou l’autre des 3 candidats restants, fidèle à la ligne et à l’appel que nous avons lancé avec la liste citoyenne pour laquelle j’ai milité au cours du 1er tour des municipales.

Pour autant je t’avoue avoir longtemps ruminé tes propos dans le Journal de la Dépêche du 30 Janvier dernier et c’est là ou le bat blesse. Que tu dissertes auprès du journaliste sur l’école Ducau ou sur les commerces du centre-ville est ton droit le plus strict, que tu essaie de faire oublier que tu as été dans la majorité précédente, c’est de bonne guerre mais là ou tu as dérapé, c’est sur la question de Moissac.

Je t’ai entretenu à ce sujet dernièrement car nous n’avions pas eu l’occasion de nous croiser avant et je réitère mon propos, cette fois publiquement: Quel intérêt as-tu à décerner un label d’honorabilité à M. Lopez, représentant le Rhaine qui est aux portes de la commune de Moissac? Faute politique? Désir de récupérer les voix du RN de Castelsarrasin?

Pour le coup, élever M. Lopez au rang de personne fréquentable est une erreur manifeste qui ne te ressemble pas et qui doit mettre le doute sur la bonhommie que tu affiches habituellement. Je t’ai interpellé sur cette question pensant, peut-être naïvement, que tu reviendrais sur ton propos et je constate que je me suis trompé d’où cette lettre ouverte aux citoyens-nes de Castelsarrasin.

Nous, démocrates, citoyens-nes, respectueux de la république et des valeurs « Liberté, Fraternité et Egalité » inscrites au fronton de notre mairie, nous fervents partisans de la Laïcité, nous dont les pères de nos pères ont combattu parfois au prix de leur vie les hordes nazies, nous ne pouvons accepter que l’on banalise le Rassemblement National et ses idées nauséabondes.

Alors, cher André, je te le demande une dernière fois, prends le temps de la réflexion et ressaisis toi pour rappeler combien les valeurs prônées par le RN sont loin d’être honorables, qu’elles ne sont pas compatibles avec la République et encore moins avec l’histoire de Moissac, ville de justes, encore moins avec Castelsarrasin, haut lieu de la résistance ouvrière en Tarn et Garonne!

Avec mes salutations républicaines,

Maximilien Reynès-Dupleix, citoyen Castelsarrasinois

Soutiens de TEMS: Aux urnes citoyens! (Thierry Hamelin)

Aux urnes citoyens!

Nous élus ou anciens élus ou ex candidats du Tarn et Garonne refusons que Moissac devienne le Beziers Tarn et Garonnais.

Dans cette terre radicale, humaniste, républicaine et solidaire, dans cette commune de justes ayant bravé le fascisme, sa xénophobie, son racisme et son intransigeance, comment pouvons nous être insensibles au danger qui nous menace tous, retraités, actifs, enfants. Quel avenir possible pour un fleuron du Tarn et Garonne de s’inscrire dans une démarche du mal vivre ensemble et de la suspicion de l’autre?

Comment donner les clés d’une ville à un porteur de valeurs non républicaines prônant clivage et ségrégation. Réveillons nous, élus tarn et garonnais, ayons le courage de nous engager pour la République et ses valeurs, faisons face au populisme et au rejet de l’autre, pour vivre ensemble, pour que perdurent nos valeurs démocratiques sur notre département, appelons à massivement participer aux élections municipales de Moissac et à faire barrage au rassemblement national.

 

NDLR de MAC: de plus en plus de personnes nous demande comment soutenir TEMS et Estelle Hemmami face au RHaine. Outre les déclarations que nous publions chaque jour, faire en sorte qu’il y ait le moins d’abstentionnistes et former cet arc républicain pour que Moissac ne soit pas demain le laboratoire des idées les plus rétrogrades.


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Soutiens de TEMS: On ne vote pas contre, on vote pour! (D. Sardaing Rodriguez)

La liste TEMS, menée par Estelle Hemmani, mérite un fort soutien des moissagaises et des moissagais et de tous ceux qui défendent les valeurs de progrès, de solidarité, pour une ville ancrée dans son temps et son environnement dans le respect de celui ci.

Il ne suffit pas de dire que la ville ne doit pas tomber aux mains du Rassemblement National.

On ne vote pas contre, on vote pour!

POUR le programme que l’équipe de TEMS travaille et peaufine depuis déjà plusieurs années car c’est ce dont Moissac a besoin. Et au delà c’est une vision utile à la communauté de communes Terres de Confluences et à notre département. C’est ce dont nous avons tous besoin.

Alors dimanche 28 juin, moissagaises, moissagais, mobilisez vous, venez voter pour la liste de Estelle Hemmani, votre avenir, celui de Moissac est entre vos mains.

 

Dominique Sardaing Rodriguez Conseillère départementale du Canton de Montech

Présidente du groupe PS et apparentés au CD82

 

NDLR de MAC: de plus en plus de personnes nous demande comment soutenir TEMS et Estelle Hemmami face au RHaine. Outre les déclarations que nous publions chaque jour, faire en sorte qu’il y ait le moins d’abstentionnistes et former cet arc républicain pour que Moissac ne soit pas demain le laboratoire des idées les plus rétrogrades.


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