Le constat alarmant du Secours populaire : 1 Français sur 3 a subi une perte de revenus à cause du Covid

Le baromètre de la pauvreté, réalisé par Ipsos pour le Secours populaire, est présenté par l’association, ce mercredi. Le constat est alarmant. Avec le coronavirus et la crise économique qui en découle, beaucoup de Français ont basculé dans la précarité. Lueur d’espoir parmi ces indicateurs bien sombres : de plus en plus de bénévoles s’engagent dans le combat contre le creusement des inégalités.

Elle a ruminé pendant longtemps. Et elle s’est dit que, non, c’était pas normal de vivre comme ça. Claire (*le prénom a été changé) habite à Auxerre et élève seule sa fille de 20 ans depuis de longues années. Les galères, les fins de mois difficiles, elle ne connaît que trop bien. Surtout depuis 2016. Après deux licenciements économiques, elle enchaîne les missions d’intérim et le chômage, pour se retrouver aujourd’hui au RSA. Mais, depuis le confinement, plus rien. Même pas une mission de quinze jours.

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La venue de R. Ménard à Montauban est une insulte à notre ville et à ses habitants. Montauban Citoyenne

Communiqué de Montauban citoyenne

La venue de R. Ménard à Montauban est une insulte à notre ville et à ses habitants.

Barèges invite un maire d’extrême droite dont les paroles et les actes sont incompatibles avec les principes de notre démocratie. Mais sommes-nous réellement surpris par cette invitation? Pendant ces vingt dernières années nous avons assisté à Montauban à ce glissement progressif de la gestion de la ville vers la droite extrême. Autoritarisme, refus du débat démocratique, main mise sur la culture, casse du tissu associatif, rejet des syndicats. Une politique et des réalisations loin des véritables besoins du plus grand nombre. L’absence de solidarité, le rejet des plus démunis et des étrangers… Comme R. Ménard, B. Barèges se fait régulièrement remarquer par des propos outranciers.

Avec cette invitation, B. Barèges affiche clairement et sans complexe sa position idéologique. Les barrières et les masques tombent. Le débat qu’elle organise sur les questions municipales n’est qu’une façade. En arrière plan se prépare l’alliance des droites dans la perspective des prochaines échéances électorales, régionales dans un premier temps.

Contre la venue de R. Ménard à Montauban et pour marquer notre rejet de l’extrême droite, nous invitons à participer au rassemblement à l’initiative de nombreuses organisations, jeudi 1er octobre à partir de 12h devant la mairie.

 


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Montauban – Béziers. Les loups sortent-ils du bois ?

Montauban – Béziers, le 24 septembre 2020

Le maire d’extrême-droite de Béziers, Robert Ménard, sera à Montauban, le 1er octobre prochain sur invitation de Brigitte Barèges pour participer à un débat intitulé « les Maires en 1ère ligne ». Nous ne sommes pas dupes des raisons de cette invitation alors que l’on sait depuis longtemps les collusions de Brigitte Barèges avec l’extrême droite d’une part pour des raisons politiciennes et électoralistes mais d’autre part et surtout parce qu’elle est pleinement en accord avec l’idéologie ultra libérale, les idées racistes et homophobes. De la même manière, comment de pas voir dans le déplacement de Robert Ménard, promoteur de « l’union des droites », une nouvelle étape dans ses ambitions démesurées régionales et nationales ?

Quelle hypocrisie de voir deux édiles, de la droite-extrême et de l’extrême-droite, animer un débat sur les difficultés des Maires, quand ils sont eux-mêmes les dispensaires locaux des politiques ultra-libérales qui les engendrent !

Robert Ménard pratique depuis 6 ans une politique semblable en tous points à celle portée par Brigitte Barèges, s’articulant sur une gestion austéritaire des finances publiques au détriment du nécessaire développement des services publics municipaux, un mépris de classe permanent et une lutte idéologique des plus réactionnaires pour toujours plus diviser la population.

La droite de Mme Barèges rompt ainsi les dernières digues républicaines, déjà bien minces à Montauban, pendant que Robert Ménard continue sa croisade incitant l’extrême-droite à créer le rassemblement des ambitieux, réactionnaires et partisans de la casse sociales tout azimut.

Les communistes des fédérations de l’Hérault et du Tarn et Garonne, ainsi que leurs élus, unissent leurs forces et parlent d’une seule voix pour dénoncer le danger que représentent ces droites qui, au-delà de distiller un discours de rejet et de haine, s’unissent pour mieux servir les intérêts d’une finance toujours plus avide de profit au détriment du bien commun.

Catherine PHILIPPE

Secrétaire départementale

Nicolas COSSANGE

Secrétaire départemental

Rodolphe PORTOLES

Conseiller municipal à

du PCF 82 du PCF 34 Montauban
  Conseiller municipal à Béziers


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Budget : L’Education nationale n’est pas une priorité in Caf. Péda.

Alors que les dépenses de l’Etat explosent à nouveau en 2021, l’Education nationale ne sera pas plus à la fête qu’en 2020. Elle le sera même moins. Si 2000 emplois seront créés dans le 1er degré, autant seront supprimés dans le second. Le bilan est même négatif. 400 millions sont prévus pour la revalorisation des personnels mais dans des conditions qui restent à préciser.

Rigueur à l’Education nationale dans un Etat qui se lâche

Le gouvernement a présenté le 28 septembre le projet de loi de finances 2021, notamment la partie enseignement scolaire. Alors que le déficit de l’Etat s’envole pour la seconde année, l’Education nationale n’en a que les miettes.

Donnons quelques chiffres pour cadrer ceux de l’Education nationale. En 2020, le déficit budgétaire a plus que doublé et s’établit à 195 milliards. En 2021 il sera de 153 milliards, malgré un rebond du PIB (et donc des recettes fiscales) espéré à hauteur de 8% (après une chute de 10% en 2020). Les dépenses de l’Etat vont se maintenir à hauteur de 450 milliards en 2021.

Où va cette manne ? Pour une grosse partie en allègements fiscaux pour les entreprises, dans un plan de relance qui subventionne les emplois et par un relèvement des dépenses des ministères évalué à 10 milliards. Continuer la lecture de Budget : L’Education nationale n’est pas une priorité in Caf. Péda.

Jusqu’où ira Mme Barèges ? Les masques républicains tombent-t-il  ?

Le CODEX 82 est un collectif regroupant des associations (la Ligue des Droits de l’Homme, Montauban Citoyenne, RESF, …) des syndicats (CGT, FSU et Solidaires) et des partis politiques (PCF, NPA, …). D’autres organismes en font également partie et soutiennent les actions. 

Partie de la droite qui se disait gaulliste quand cette étiquette avait le double avantage d’attirer des suffrages tout en assurant de se faire adouber par un puissant appareil politique, Mme Barèges a progressivement évolué vers des positions toujours plus droitières. Elle annonce maintenant vouloir discuter des problèmes des maires avec M. Robert Ménard, élu grâce au soutien d’un rassemblement national qui veut s’implanter dans la région.

Mme Barèges est connue pour des prises de positions publiques proches de celles de l’extrême droite. Elle a mené une politique qui a renforcé les inégalités à Montauban en matière de logement et de service public notamment. L’opposition de la ville a vu ses moyens se réduire comme ceux des associations un peu trop militantes à son goût.

Après ses déclarations sur le mariage homosexuel ou sur les migrants, après son refus d’accepter à la cantine les enfants de familles en attente de régularisation, Mme Barèges tombe le masque en invitant R. Ménard.
Pour bien montrer la couleur de son pouvoir, Mme Barèges vient de « récupérer » la Maison du Peuple, lieu historique de défense des droits des travailleu.rs.ses et lieu de rencontre, de mixité sociale en plein centre-ville.
Dans la ville de Béziers également, le maire entend favoriser une certaine partie de ses administré.e.s dans le centre-ville et reléguer à la périphérie, le plus loin possible de leurs droits, les autres, celles et ceux qui ne ressemblent pas à « sa » France idéalisée.

La venue de Robert Ménard permet à Mme Barèges de développer une stratégie : briser les résistances qui demeurent dans la partie de la droite politique qui n’a pas le désir de soutenir ouvertement le gouvernement actuel. La réunion publique du 1er octobre à Montauban augure-t-elle d’un rapprochement plus étroit entre des élu.e.s LR et le RN en Occitanie ? Le collectif départemental contre l’extrême droite (CODEX 82) voit dans cette rencontre une tentative pour mobiliser des troupes dans ce sens.

Nul doute qu’une partie de la presse en quête de visibilité se fera le relais d’une petite phrase, d’un petit mot qui s’écartera de ce que ces deux élu.e.s appellent le « politiquement correct », mais que nous appelons les valeurs républicaines. Car, ces deux personnalités politiques s’attaquent régulièrement aux repères de la vie citoyenne, la tolérance et le respect des différences en même temps qu’ils glosent autour d’une crise économique et sociale qu’ils n’ont jamais combattue et qu’ils ne combattront jamais car elle sert leurs intérêts et ceux de leurs amis.

Le rassemblement des droites est un projet funeste pour la démocratie. Il sonne l’entrée de l’extrême droite dans l’arène des partis au pouvoir. Notre collectif qui catalyse des énergies républicaines plurielles appelle en conséquence les citoyennes et citoyens à partir de 12h, devant la mairie de Montauban, à venir manifester leur rejet du projet que Mme Barèges veut faire germer à Montauban. Nous nous déplacerons vers la Maison du Peuple (vers 13h) et finirons notre action devant la Préfecture du Tarn-et-Garonne.


Ensemble, solidaires et déterminé-e-s pour promouvoir et défendre les valeurs humanistes.

 

Contact :    Guillaume Mangenot (au nom du CODEX 82)       06-82-30-11-88         fsu82@fsu.fr

 

 


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Éducation. « Nous exigeons des actes, pas de la compassion ! »

Un an après le suicide de la directrice d’école, le collectif Christine Renon organisait, samedi, une marche pour ne pas oublier et défendre le service public d’éducation en Seine-Saint-Denis.

Manteau noir, cheveux attachés dont le vent agite quelques boucles folles autour de son visage masqué, Laurence n’est pas très grande, ni très costaude. Mais elle s’accroche à sa pancarte, qui paraît énorme. Dans le vent qui balaie les rues de Pantin (Seine-saint-Denis), samedi après-midi, on se demande presque laquelle tient l’autre. Sur la planche de bois, la dernière phrase de Christine Renon, dans la lettre qu’elle avait laissée derrière elle, ajoute son poids symbolique : « Je ne pensais pas que ce travail que j’ai tant aimé pourrait m’amener à ça. » Continuer la lecture de Éducation. « Nous exigeons des actes, pas de la compassion ! »

Vous avez dit République ? par Patrick Le Hyaric

Patrick Le Hyaric

Il semblerait désormais, selon le ministre de l’éducation nationale, qu’il faille aller chercher la République entre le nombril et le décolleté des jeunes filles… Le mot « République » est devenu dans la bouche du pouvoir un « mot gourdin », que l’on assène sur la tête des classes populaires au fur à mesure que l’on assèche ses principes.

Un mot pour filer droit et mettre au pas, un mot pour surveiller et punir, un mot pour maquiller les propos xénophobes, un mot pour cacher la destruction méthodique de tous les fondements de la République démocratique et sociale érigée il y a 228 ans et fortifiée par le mouvement socialiste et communiste, un mot pour protéger le pouvoir.

Quelle farce d’hurler « République ! » quand l’éducation nationale est laissée à la merci de la concurrence d’officines privées et affaiblie dans ses missions, quand le Parlement est bâillonné, quand les services publics sont privatisés, quand le pouvoir dit « républicain » pactise avec la finance, devançant toutes les aspirations du capital, contre les retraites, les droits sociaux, la sécurité sociale.

Quelle blague de prétendre défendre l’unité républicaine quand les territoires sont laissés à l’abandon au profit de métropoles portées vers les rivages du capital mondialisé, quand la sécession des plus riches est entretenue, quand un sabir « globish » est imposé partout par les pouvoirs économiques et politiques, quand des élites corrompues adossent la France et l’Europe à l’empire états-unien.

Certes, le concept de République embrasse large.

Raison de plus pour définir le sens que l’on veut lui donner. Il n’y a pas besoin d’aller chercher bien loin. L’histoire de notre pays et les principes constitutionnels arrachés contre la réaction ne demandent qu’à être défendus, travaillés et approfondis. L’émancipation individuelle et collective ne sera le fruit que d’une République garante des libertés, démocratique, sociale et laïque. Tisser à nouveau ce fil, en rehaussant le débat et non en le maintenant au niveau du nombril, voilà l’urgence.


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Covid : Incompréhensions dans l’éducation 

In café Pédagogique

Après les nouvelles mesures de durcissement prises par Olivier Véran le 23 septembre pour freiner la diffusion du virus, les allègements de protocole dans les écoles semblent encore plus irréalistes. Sur Twitter des enseignants manifestent leur incompréhension. Des syndicats aussi.

Et du coup rien sur les écoles…

Comment peut-on interdire tout rassemblement de plus de 10 personnes dans une zone et en même temps autoriser l’entassement dans une salle exigüe de plus de 25 personnes toute la journée ? Comment peut on interdire tout rassemblement temporaire de plus de 1000 personnes et réunir régulièrement plus de 1000 élèves et professeurs dans des centaines de lycées ? Ces questions sont posées par des enseignants sur les réseaux sociaux. Continuer la lecture de Covid : Incompréhensions dans l’éducation 

Tarn-et-Garonne Habitat : le projet de fusion repoussé

« NDLR de MAC: Les communistes ont joué un rôle majeur dans cet échec en dénonçant les manœuvres en cours. Dimanche, les grands électeurs pourraient s’en souvenir puisqu’élus-es dans leur ville et village ils sont sensibles à la création de logements locatifs en votants pour Guy Daimé et Catherine Philippe, candidats du PCF82. »

La construction de logements marque le pas dans le département.
La construction de logements marque le pas dans le département. Photo DDM, archives.

C’est un coup dur et un échec qu’ont essuyé, hier matin, à Montauban, les représentants de la majorité du conseil départemental. Maryse Baulu, la présidente de Tarn-et-Garonne Habitat (TGH) en tête. Comme nous l’avons révélé, dans notre édition d’hier, le conseil d’administration devait se prononcer sur la proposition de créer une société anonyme de coordination qui rassemblerait, sous le même toit, en quelque sorte, les structures de bailleurs sociaux du Tarn-et-Garonne, du Gers, du Lot, du Tarn et de l’Aveyron.

Une suite de la loi ELAN qui invite à la mutualisation.

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Des enseignants qui se tiennent sages… 

 » Il faut rester vigilant car l’intention de limiter la liberté d’expression est réelle ». Enseignant à Lodève, Sébastien Rome bénéficie du retrait de la lettre d’admonestation qu’il avait reçu suite à un article dans Le Monde et une intervention sur une radio. Mais la pression hiérarchique continue à peser sur les enseignants comme le montre, entre autre, l’affaire de Melle.

On se rappelle l’article 1 de la loi BLanquer et le devoir « d’exemplarité » que le ministre a tenté d’imposer aux enseignants, menace de licenciement à la clé. Si les enseignants ont obtenu un atténuation de la rédaction de cet article et une grosse victoire sur les regroupements école – collège, le ministre n’a pas changé comme le montrent trois affaires récentes.

A Lodève, Sébastien Rome avait osé donner son avis sur la loi Blanquer dans Le Monde et sur une radio locale. Cela lui a valu une lettre d’admonestation de son supérieur hiérarchique inscrite dans son dossier administratif. Selon Le Midi libre, il vient d’obtenir le retrait de cette lettre de son dossier. « Nous déplorons que demeure l’idée qu’un enseignant puisse subir une sanction pour avoir exprimé de manière mesurée ses convictions de citoyen », dit son avocat. « Aucun enseignant ne peut être inquiété parce qu’il exprime, en dehors de son service, ses opinions et participe, comme quiconque, au débat public ».

Il faudrait passer le mot au recteur de Lyon.

Selon Les stylos rouges, il a envoyé en date du 7 septembre une « mise en garde » à une professeure certifiée. CE qui lui est reproché ? « Vous avez publiquement exprimé vos désaccords sur les décisions prises par l’Etat dans la gestion de la crise sanitaire et également mis en cause la personne du président de la République. Cela s’est traduit par le déploiement de banderoles aux fenêtres de votre domicile et par des déclarations dans la presse locale ». Et le recteur de faire appel à une « obligation de réserve qui s’applique pendant et hors du temps de service ».

Un cran au dessus, l’affaire de Melle.

Quatre enseignants vont passer en conseil de discipline pour avoir participé au mouvement de contestation contre les E3C.  » Le droit de revendiquer, de se réunir, de manifester ne sont pas négociables. Dans bon nombre d’académies, des enseignantes et enseignants, des militants syndicalistes, se sont vus inquiétés et poursuivis pour fait de grève. La répression doit cesser », écrit une intersyndicale Cgt, FO, Snes Fsu et Sud dans une lettre au ministre datée du 17 septembre.

S’il n’a pas obtenu d’inscrire dans la loi le « devoir d’exemplarité » qu’il voulait, JM Blanquer continue de menacer les enseignants qui osent s’exprimer. S’il n’a pas étouffé toute contestation, on mesure au quotidien la pression sur les enseignants.

F Jarraud

Dans Le Midi libre

Sur l’affaire de Melle

Sur l’article 1