Voici en avant première le nouveau LOGO du collectif citoyen pour la Création de Centres de Santé Publics en Tarn et Garonne…
Un collectif qui ne demande qu’à se renforcer avant la grande initiative du Mardi 19 juin à Castelsarrasin avec la présence du Docteur May, président du syndicat des médecins de CSP et Marie Piqué, vice-présidente de la région Occitanie en charge des question de santé…
Un collectif qui espère aussi faire « tache d’huile » pour que le droit à la santé pour toutes et tous irrigue notre département…
Le grand tournoi annuel régional de mini-basket du premier mai est de retour à Moissac pour son édition 2018, et c’est un évènement. En effet, cette grande manifestation qui accueille plusieurs centaines de jeunes pousses (entre 6 et 11 ans, filles et garçons) licenciés dans les clubs de la région Midi-Pyrénées dont la genèse se perd dans la nuit des temps s’inscrit depuis 25 ans dans la semaine du mini-basket organisée par la fédération française de basket-ball. Rencontre avec Alain Manchado et Christian Garrigou, respectivement président et vice-président du Moissac Castelsarrasin Basket-Ball (MCBB) qui organise avec la section basket de l’amicale laïque de Saint-Nicolas-de-la-Grave (ALSN) cette grande rencontre demain mardi de 9 heures à 16 heures sur le parking de la Dérocade à Moissac.
Alain et Christian, depuis quand a débuté cette belle aventure ?
«En 1985, nous avons organisé le tournoi à Moissac pour la première fois. Ont suivi six autres éditions moissagaises, la dernière remontant à 2004, déjà sur le grand parking de la Dérocade. Cette année, notre candidature a été retenue par la ligue, et nous y travaillons avec nos amis du club de Saint-Nicolas de la grave depuis le mois de septembre.»
Vous citez Saint-Nicolas… La manifestation s’inscrit-elle dans l’intercommunalité ?
«Tout à fait ! Au départ, nous voulions l’organiser sur le site de la base de loisirs départementale du plan d’eau de Saint-Nicolas, mais cela n’a pas été possible pour des raisons techniques. Terres de Confluences nous soutient, ainsi que le Conseil Départemental, mais également la ligue Midi-Pyrénées de Basket-Ball et le comité départemental.»
La logistique lourde d’une telle manifestation ne vous a-t-elle pas effrayé ?
«Nous sommes rompus à de tels évènements. D’ailleurs, quelques jours plus tard, nous organisons notre traditionnel tournoi international U13. Il est vrai que recevoir 1 800 jeunes de toute la région, presque autant d’accompagnants, 150 arbitres et 200 bénévoles, c’est du boulot ! Nous remercions d’ailleurs vivement la municipalité et ses équipes, l’entreprise Laffont, la Satar, l’entreprise Valette et l’ensemble de nos partenaires pour leur soutien actif.»
Recueilli par notre correspondant local Christian Laguille.
Dans les luttes sociales, dans les assemblées et dans les têtes.
Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot Sociologues, directeurs de recherche au CNRS
Sur fond de mécontentements face à une politique injuste socialement et à un rétrécissement du débat, la recherche de ripostes et d’alternatives est à l’ordre du jour.
Avec Jacques Gaillot, Bertrand Gaufryau et Noël Mamère Citoyens d’ici et d’ailleurs Olivier Dartigolles Porte-parole du PCF Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot Sociologues, directeurs de recherche au CNRS
Une première lecture s’impose du plan de « bataille » proposé par le rapport de Jean Louis Borloo, élaboré avec des centaines d’élu.e.s de terrains, d’associations, de citoyen-ne-s : une nouvelle impulsion, à l’encontre de la politique libérale actuelle. doit être donnée par l’État pour les quartiers, les villages, les villes populaires.
Dans le cadre du combat que mènent les cheminots depuis plusieurs semaines, la CGT Cheminots de Montauban a organisé une conférence-débat autour du thème «De quelle SNCF avons-nous besoin demain ?». Une centaine de personnes a assisté à cette réunion en présence de Valérie Rabault, députée PS, Thomas Portes, syndicaliste CGT SNCF et Rodolphe Portoles, conseiller municipal PCF. Chacun a souligné l’importance de lutter pour un service public ferroviaire garant d’une présence partout et pour tous dans un souci de sécurité et d’aménagement du territoire équitable. Valérie Rabault a souligné que, «contrairement aux rumeurs, l’Europe permettait à l’opérateur historique SNCF de garder jusqu’à 2032 le monopole d’exploitant du réseau. D’après le gouvernement, le statut de cheminot coûterait trop cher, comparativement à leurs homologues allemands qui n’en ont pas. En réalité la différence de salaire n’est que de 10 €. Il s’agit là encore d’un faux débat, le statut du cheminot et la dette de la SNCF n’ayant aucun rapport. Depuis 25 ans, 100 000 emplois ont été supprimés.»
La Dépêche du Midi
APPEL
L’UD CGT82 organise samedi 27 avril à partir de 10h30 une initiative de soutien aux services publics et par là même de soutien au mouvement des cheminots. Cette initiative aura lieu sur le parvis de la gare SNCF de Villebourbon et qui se déroulera de la manière suivante :
– 10h30 – Prise de parole et débat « défendons le service public »
– 12h30 – Apéro et pique nique (avec possibilité de se restaurer sur place)
– 14h – Concert solidaire avec le groupe la Rustine
J’invite l’ensemble des communistes de Tarn et Garonne ainsi que toutes celles et ceux qui ont à cœur la défense de nos services publics à participer à cette initiative.
Plus encore que le soutien au mouvement des cheminots, il nous faut être dans la lutte et à leurs cotés afin de sauvegarder notre bien commun.
Il est de notre responsabilité en tant que communistes, progressistes de faire nombre partout où ont lieu des initiatives et des rassemblements de façon à montrer au président des riches et son gouvernement notre détermination à mener cette lutte.
Fraternellement.
Cathy Philippe/Secrétaire départementale
Fédération Tarn & Garonne
Parti Communiste Français
68 rue de la République
82000 Montauban
05 63 63 41 41
Le label bio français AB que l’on voit encore sur ne nombreux produits est aujourd’hui strictement identique au label bio européen, alors qu’il a été longtemps plus exigeant
Afp
Epilogue de 4 ans de négociations avec la Commission européenne et le Conseil, les députés européens ont adopté ce jeudi de nouvelles règles plus claires pour les produits bio, tout en s’engageant à soutenir le secteur et à renforcer les contrôles à l’importation.
Après plusieurs polémiques qui ont jeté le doute sur la validité des labels bio (1), la nouvelle réglementation européenne ambitionne d’abord regagner la confiance des consommateurs, en leur assurant que ce qui se cache derrière le fameux logo vert à étoiles blanches, est bien conforme à des normes de production strictes et vérifiées. L’enjeu économique est de taille. Le bio est en pleine expansion en Europe, il occupe désormais 6% des surfaces agricoles, et 50 000 nouveaux hectares passent chaque année au bio.
Mehdi Thomas Allal Maître de conférences à Sciences-Po
Avec Stéphanie Roza, historienne, initiatrice de l’appel « Combat laïque, Combat social », Éric Fassin, sociologue, professeur à l’université Paris-VIII Vincennes-Saint-Denis, Fabienne Haloui, responsable de la lutte contre le racisme et pour l’égalité au PCF.
Rappel des faits. Au sein de la République proclamant comme valeurs fondatrices l’égalité, l’universalisme et les droits humains, les atteintes sexistes et racistes doivent être combattues.
Repenser le racisme et l’antiracisme par Éric Fassin, sociologue, professeur à l’université Paris-VIII Vincennes-Saint-Denis
Le 19 mars, le gouvernement a présenté un plan de lutte contre le racisme et l’antisémitisme qui visait les discours de haine sur Internet. Or il s’agit là de la partie émergée de l’iceberg : le racisme, ce ne sont pas seulement les insultes racistes ; ce sont aussi les discriminations raciales. L’enjeu est important : il nous faut repenser le racisme.
Leurs concerts au Zénith de Toulouse, les 13, 14 et 15 avril, ont fait carton. Alors, Bigflo et Oli en ont rajouté un le 16 avril. Un concert particulier, puisque les deux jeunes rappeurs originaires de la Ville rose avaient promis qu’ils reverseraient l’intégralité des bénéfices au Secours populaire.
Un geste généreux et de solidarité envers l’association caritative, qui a ainsi reçu la somme de 100 000 euros que Florian et Olivio Ordonez, alias Bigflo et Oli, ont annoncée sur leurs réseaux sociaux : « 100 000 euros pour le Secours populaire. Grâce au quatrième Zénith, on a pu récolter tout cet argent, tout en passant une soirée inoubliable.
Merci, les Toulousains, ces concerts sont gravés à jamais dans nos cœurs et font partie des moments les plus forts de nos vies ! Merci Toulouse ! » En pleine tournée des Zénith, le duo toulousain remporte un grand succès grâce à un répertoire au flow facétieux qui séduit un large public, lequel ne se prive pas pour reprendre en chœur le titre Dommage, extrait de leur deuxième album, la Vraie Vie, qui leur a valu leur première victoire de la musique, en février.
Victor Hache
Journaliste, chroniqueur culturel à l’Humanité. En charge de la rubrique musiques actuelles.
La santé des personnels est un indicateur de la bonne santé du système scolaire. Or, les conditions de travail ne cessent de se dégrader et les problèmes de santé liés à l’intensité du travail, au bruit, aux mauvaises postures, aux pressions, comme les risques psychosociaux augmentent…
Agir sur les conditions de travail, prévenir les risques professionnels, garantir une bonne santé au travail, cela n’est possible qu’avec un service de médecine de prévention en capacité d’assurer toutes ces missions. C’est pourquoi la FSU et ses syndicats nationaux lancent avec vous une campagne pour réclamer plus de moyens pour la santé au travail. Ensemble, interpellons le ministère et les rectorats !
Monsieur le ministre, Monsieur ou Madame le recteur,
Je demande à pouvoir bénéficier d’une visite médicale quinquennale. Je demande à l’État employeur de tout mettre en oeuvre pour faire exister une véritable médecine de prévention et de surveillance médicale, aujourd’hui largement insuffisante.
Avec la FSU et ses syndicats nationaux, je réclame, en urgence, un véritable service de médecine de prévention.
Destinées aux familles des futurs élèves de 6e et de seconde, les portes ouvertes doivent permettre d’avoir un premier contact avec l’établissement. Toutes les informations demandées sont alors mises à la disposition des parents et des futur(e)s élèves. Mission réussie à la cité scolaire François-Mitterrand. Laurent Herbeth, principal du collège, se réjouissait du succès de l’opération : «La matinée n’est pas finie, et nous avons déjà reçu près de 150 familles». Outre les investigations concernant l’orientation, la vie de la classe ou les règles particulières de l’établissement, les familles peuvent aussi découvrir les autres métiers de la cité scolaire. C’est le cas de l’assistante sociale scolaire et de l’infirmière scolaire dont la présence dans l’établissement assure aux élèves une écoute particulière lorsqu’ils rencontrent des problèmes spécifiques : «Nous pouvons intervenir dans la relation parents adolescents, affirme Aïcha Amraoui, sur les questions d’hygiène ou celles liées à l’addiction». L’assistante sociale informe les jeunes et leurs familles sur leurs droits, envisage les actions à mettre en place pour surmonter les difficultés rencontrées, elle réalise un travail sur mesure adapté au cas de chaque élève en lien avec sa famille, l’équipe éducative et les partenaires extérieurs si besoin. Les parcours scolaires peuvent également être aménagés ou adaptés en fonction d’éventuelles pathologies. Jean-Michel Henryot, le maire, et Maïté Garrigues, adjointe à l’éducation ont montré leur intérêt pour la cité scolaire et ces journées portes ouvertes en venant s’entretenir avec les personnels et les familles.