Les Irlandais ont approuvé à une majorité écrasante la libéralisation de l’avortement lors d’un référendum historique.
Auteur/autrice : moissacaucoeur
« Marée populaire » : des milliers de personnes dans la rue en Occitanie

Une soixantaine de syndicats, partis politiques, associations et mouvement citoyens appellent à marcher main dans la main, ce samedi, contre la politique menée par Emmanuel Macron.
Les principales forces politiques de gauche et anti-libérales sont présentes. La France Insoumise, bien sûr, mais aussi le NPA, le PCF, le mouvement de Benoît Hamon Génération.s., EELV ou encore les altermondialistes d’Attac mais pas le Parti socialiste. Les syndicats seront également de la partie, notamment la CGT.
4500 à 8000 personnes à Toulouse
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Pour la défense de la Poste et de son service public… In DDM
Social – Congrès CGT FAPT 82
Le congrès CGT des activités postales et télécommunications en Tarn-et-Garonne (FAPT 82) s’est déroulé les 18 et 19 mai, à Saint-Porquier, en présence de «Cathy» Jacomet, de la fédération; Jean-Pierre Garrigues, de l’union régionale, et Mireille Riol, de l’union départementale.
Lors de ce congrès, le syndicat a présenté la rétrospective de son activité depuis le congrès de 2015. Beaucoup de luttes, notamment à la Poste, ont fait partie intégrante de cette activité. Plusieurs combats de postières et postiers ont permis d’éviter une délocalisation des bureaux, comme celui de Lafrançaise en octobre 2015, de Lauzerte en janvier 2016 ou d’Auvillar en juin 2017.
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Les salariés de l’usine Villeroy et Boch en grève.. in DDM
NDLR de MAC: dés 7h45, le secrétaire de section du PCF, Maximilien Reynès-Dupleix venait apporter le salut et la solidarité des communistes. La FSU 82 communiquait aussi sur place sa solidarité aux travailleurs de Villeroy en lutte pour leur dignité et la reconnaissance de leur travail.

Près de 90 % des salariés de l’usine Villeroy et Boch, à Valence-d’Agen, sont en grève aujourd’hui. Ils sont plus d’une cinquantaine à s’être réunis, tôt ce matin, devant le site tarn-et-garonnais du groupe allemand pour marquer leur mécontentement. L’usine, spécialisée dans la fabrication de receveurs de douche et d’éviers en céramique, devrait donc tourner au ralenti toute la journée.
Un cahier de revendications remis à la direction
Les salariés, soutenus par la CGT, seul syndicat représentatif, ont rédigé ce jeudi matin un cahier de revendications remis à la direction dans l’après-midi. « Aujourd’hui, on dénonce le management de la direction et attendons un certain nombre de mesures, explique Franck Cimpello, délégué syndical CGT de l’usine. Tout d’abord, on demande l’embauche d’un directeur à plein temps pour remplacer le directeur intérimaire que nous avons en ce moment. Ensuite, on attend depuis l’année dernière maintenant, un nouvel accord concernant la classification des salariés. Des entretiens ont eu lieu, des promesses ont été faites, mais à l’heure actuelle, rien n’a bougé. »
Près de 90% des salariés sont en grève./ Photo DDM, Michel Bony

Ces classifications permettent aux salariés de monter en grade, en fonction de leurs compétences, tout en augmentant leurs salaires. « Une procédure judiciaire a été enclenchée par le syndicat à ce propos. » Les salariés dénoncent également une « politique de la sanction menée systématiquement par la direction ». « Nous avons un cadre et un employé qui ont été menacés de licenciement à cause de faute mineure. On essaie d’être dans le dialogue, la recherche de solution. Mais la direction n’entend rien. »
La direction affirme que le dialogue n’a pas été rompu
Du côté de la direction justement, on se refuse à tout commentaire concernant les revendications des salariés. En revanche, le directeur des ressources humaines ainsi que le directeur actuel, M. Bourgeois, soutiennent que « le dialogue n’a pas été rompu. » « Nous regrettons ce mouvement de grève qui paralysie bien entendu l’activité de l’usine. On espère pouvoir sortir du conflit, dans la mesure du possible. On œuvre pour le développement de cette usine, pour voir vers l’avenir. Cela va dans ce sens », indique la direction.
Une rencontre doit donc avoir lieu ce jeudi après-midi entre salariés, syndicats et membre de la direction. S’ils n’obtiennent pas satisfaction, certains menacent de maintenir le mouvement de grève. Pour rappel, l’usine de Villeroy et Boch de Valence-d’Agen embauche 200 salariés. Elle est implantée localement depuis 1973. Une institution localement.
Professionnel : Le Snuep alerte sur l’avenir de l’enseignement professionnel
A quelques jours des annonces ministérielles sur la réforme de l’enseignement professionnel, attendues le 28 mai, le Snuep Fsu alerte sur la « déstructuration » de l’enseignement professionnel. La question du financement des LP revient aussi dans le débat.
« Les contenus du projet de loi… visent essentiellement à disqualifier la voie professionnelle scolaire pour mieux servir les intérêts des organisations patronales dans leur volonté de faire main basse sur l’enseignement professionnel au sein de l’École », écrit le Snuep Fsu en réaction au projet de loi sur la formation professionnelle. « L’apprentissage est utilisé pour remettre en cause l’enseignement professionnel scolaire ».
Le Snuep démolit le discours gouvernemental. « Les déclarations médiatiques convergent pour ressasser que le taux d’insertion professionnelle des apprentis est meilleur par rapport à celui des élèves des lycées professionnels. Mais la mise en avant de ces données, dans le projet de loi, est faite essentiellement pour dénigrer l’enseignement professionnel sous statut scolaire. En effet… ces chiffres ne prennent pas en compte les taux de rupture de contrats d’apprentissage qui restent très élevés (29 % pour les Bac pro et BP et 38,1 % pour les CAP et BEP). Imaginons un seul instant que le LP ne garde que les 2/3 de ses élèves dès la première année ! Ces taux d’insertion ne prennent pas en compte non plus la sélection ethnique, sociale et sexuée déjà opérée en amont de ce type de contrat. Pour rappel, selon le dernier rapport annuel de performance, si près de 72 % des jeunes entrant en CAP par voie scolaire obtiennent leur diplôme, ils et elles ne sont que 61 % par la voie de l’apprentissage. En baccalauréat professionnel, près de deux tiers des élèves entrant en formation obtiennent leur diplôme alors qu’un seul apprenti sur deux l’obtiendra ».
Le Snuep dénonce aussi le futur mode d’affectation de la taxe d’apprentissage. » Le projet de loi propose la création d’une nouvelle contribution pour “favoriser le développement des formations initiales technologiques et professionnelles, hors apprentissage, ou l’insertion professionnelle“. Pour le SNUEP-FSU, cette nouvelle contribution additionnelle doit compenser la totalité de la part Hors quota actuelle et sa collecte doit être assurée par l’État et reversée d’une manière équitable aux différents établissements… Il est hors de question de jeter la responsabilité de la collecte de cette taxe sur les établissements et les collègues ».
Manifestation des fonctionnaires ce mardi dans la région

Salaires, effectifs, réformes en cours… les mécontentements s’accumulent chez les fonctionnaires, qui se mobilisent ce mardi lors d’une journée de grève et de manifestations, la troisième depuis l’arrivée au pouvoir du président Emmanuel Macron.
Entre 130 et 140 manifestations sont prévues partout en France, à l’appel unitaire des syndicats de la fonction publique, qui n’avaient pas lancé un tel appel unitaire depuis une dizaine d’années.
Entre 400 et 1200 fonctionnaires à Montauban
À Montauban, le rassemblement était fixé à 10h30 devant la gare SNCF de Villebourbon, en ville basse. Là, les responsables syndicaux ont pris la parole, peu avant 11 heures, pour dénoncer la « casse du service public engagée par le gouvernement et la suppression de 120 000 fonctionnaires ».
Les manifestants ont ensuite pénétré dans le hall de la gare, pour montrer « leur solidarité envers leurs collègues cheminots ».Une partie d’entre eux s’est postée sur les voies où de rares trains circulent, à la veille d’un nouvel épisode de la fameuse grève perlée des cheminots. Le défilé, avec entre 400 personnes (sources policières) et 1200 personnes (syndicats), s’est élancé à 11h30 sur l’avenue Jean-Jaurès. Il s’est poursuivi par le passage du Pont-Vieux, a fait escale à l’Hôtel de Ville et la préfecture. Il s’est terminé à 12h30 sur la place Prax Paris. La manifestation s’est terminée au son de l’Internationale.
Une partie des manifestants sur les rails à la gare de Montauban./ Photo DDM Florent Duprat

De 1400 à 2200 manifestants à Tarbes
Entre 1.400 manifestants selon la police et 2.200 manifestants selon les syndicats ont défilé dans les rues de Tarbes ce matin à la manifestation pour la défense des services publics « menacées par la politique de Macron ». C’est moins que la dernière journée de mobilisation le 22 mars dernier.
Gilles Verdier du Sgen-CFDT fait état de 29 % de grévistes dans les écoles du département, autant que le 22 mars. Les agents du Parc national des Pyrénées qui arborent un brassard « espèce menacée » ont participé massivement à la manifestation. « 17 postes sur 86 ont déjà été supprimés en six ans. Rien que sur la zone protégée du val d’Azun, nous ne sommes plus que trois alors que nous étions six il n’y a pas si longtemps. Nous n’avons plus les moyens de faire nos métiers, explique Etienne Farand un garde du Parc national. Il y a moins d’agents pour la surveillance. Nous avons abandonné le suivi de certaines espèces protégées comme l’aigle royal. Nous n’avons plus le temps de faire des animations sur Tarbes ou des sorties accompagnées ».
Les syndicats de la fonction publique hospitalière sont toujours vent debout contre « les fermetures de lits, le manque de personnel au service des urgences ». Gérald Murat secrétaire régional de FO santé n’est pas opposé au principe d’un hôpital commun « mais ce qui nous inquiète c’est qu’il va s’accompagner d’une baisse de moyens ». Le syndicat se bat toujours pour les EPHAD (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) qui manquent cruellement de personnel.
Environ 2 000 manifestants ont défilé dans les rues de Tarbes./ Photo DDM, Sophie Loncan

700 à 1200 personnes à Foix
Quelques gouttes de pluie ont accompagné le cortège qui est parti de la gare de Foix à l’appel d’une intersyndicale large pour la défense des services publics. Les manifestants – 1200 selon les syndicats, 700 selon la police – ont défilé dans les rues de Foix jusqu’aux allées Villote où ont eu lieu les prises de parole. Une réunion publique est prévue à 14 heures, dans la salle Jean-Jaurès de la mairie de Foix.
« Assez des hôpitaux qui ferment, des services publics qu’on attaque sans arrêt. Assez de cette chasse aux sorcières contre les fonctionnaires. Nous sommes 1200, ça n’est pas rien rapporté au nombre de fonctionnaires en Ariège. Soyons fiers de notre mobilisation », s’est exprimé le speaker de la CGT, alors que le cortège convergeait vers les allées Villote.
Une mobilisation dont se félicite également Antoine Loguillard, de l’Unsa : « Les chiffres de grévistes sont supérieurs aux fois précédentes. Dans l’éducation, nous sommes à 40% aujourd’hui en Ariège, alors que nous étions entre 20 et 30% la dernière fois. Je pense que si la manifestation n’avait pas jouxté le week-end de Pentecôte, nous serions plus nombreux ».
Au-delà de l’affluence, l’unité des syndicats, largement réunis, est saluée par Guillaume Estalrich, du SNUipp-FSU : « Cette unité, nous la lisons comme une marque d’urgence par rapport au devenir de la fonction publique. Au niveau national, les neuf organisations syndicales se retrouvent sur la même plateforme, et disent toutes la même chose : la fonction publique est en danger, le bien commun de nos concitoyens est en danger. Il va falloir le défendre dans les semaines à venir ». Pour Daniel Mémain : « L’unité doit être dans la lutte, mais aussi dans les établissements, dans la rue. Elle doit être vraiment générale car en face de nous, nous avons un pouvoir ultra-libéral qui, lui, est uni dans ses revendications » dit le délégué Sud Solidaires, dont le syndicat a, pour sa part et à l’image de la CGT, appelé à la convergence des luttes du public et du privé, un point de vue qui n’est pas forcément partagé par l’ensemble de l’intersyndicale.
700 à 1200 personnes ont défilé à Foix./ Photo DDM Mathieu Fontaine

Opération escargot des policiers à Toulouse
Le syndicat de policiers Alliance a réalisé une opération escargot ce mardi matin, de 10 heures à 10h30, sur le périphérique intérieur de Toulouse.

A 14 h30 une manifestation de tous les fonctionnaires s’est élancée de Saint-Cyprien, devant le musée des Abattoirs, pour rejoindre le monument aux morts via les boulevards. Derrière la banderole de tête unitaire, neuf syndicats sont rassemblés. Dans le cortège on retrouve des professeurs, des agents des finances publiques, des hôpitaux, des collectivités, etc. L’intersyndicale annonce 20 000 manifestants, soit le même nombre que lors de la dernière manifestation de la fonction publique le 22 mars dernier.
Tête de cortège à Toulouse./ Photo DDM, Jean-Noël Gros


2000 personnes dans les rues d’Albi
A Albi, selon les syndicats, 2 000 personnes ont manifesté (1000 à 1200 personnes selon la police). Huit syndicats appelaient à cette action. Le défilé est parti de la place du Vigan et a traversé le centre-ville. A midi, les manifestants ont symboliquement encerclé la préfecture pour protester contre le refus du préfet de les recevoir en personne. La manifestation s’est déroulée dans le calme.
Ce mardi matin dans les rues d’Albi./ Photo DDM, Emilie Lauria

Entre 600 à 700 manifestants à Auch
La manifestation de ce mardi matin à Auch a rassemblé 600 à 700 personnes. A noter que la CFDT appelait à la grève mais pas à manifester.
Défilé à Auch./ Photo DDM, Sébastien Lapeyrère

Environ 600 personnes à Agen
Quelque 600 personnes ont participé entre 10 heures et 13 heures à la manifestation à Agen.
Le cortège des manifestants est parti de la place Armand-Fallières (devant la préfecture de Lot-et-Garonne), et il est passé par le Gravier, le boulevard de la République et la rue Montesquieu. À noter que l’union syndicale était de mise aujourd’hui, avec la présence de la CGT, de FO, de la CFDT… pour sept organisations au total.
Prochain rendez-vous social à Agen : samedi 26 mai, avec à 10 heures un appel à manifester émanant des cheminots de la CGT. Un défilé partira de la place du Pin pour rejoindre le Gravier via la gare SNCF.

L’ONU appelle « à la plus grande retenue » au Sahara occidental
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a appelé samedi dans un communiqué « à la plus grande retenue » au Sahara occidental, en mettant en garde contre une modification du « statu quo ».
Les salaires, chaînon manquant de la reprise
Alternatives Economiques n°379 – 05/2018
Confirmée à chaque nouvelle prévision d’activité, la reprise de l’économie mondiale semble fermement enclenchée et bénéficie depuis l’an passé d’un redressement marqué de l’investissement privé et du commerce mondial. Principal indicateur de l’état du marché du travail, le taux de chômage se situe, dans un nombre croissant d’économies développées (Etats-Unis, Royaume-Uni, Japon, Allemagne, Autriche, Belgique, Pays-Bas, Canada, Suisse, Suède), à proximité de son niveau plancher des vingt dernières années.
Si des accélérations nominales sont parfois perceptibles, comme aux Etats-Unis, au Royaume-Uni ou aux Pays-Bas, elles sont largement gommées par l’augmentation des prix
Parallèlement, les taux d’emploi*, qui s’étaient fortement affaissés au cours de la Grande Récession de 2008-2009, sont désormais, à l’exception notable des Etats-Unis, supérieurs à leurs niveaux d’avant-crise. Principale ombre au tableau, les salaires ne décollent pas.
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Appel « Marée populaire » le 26 mai + liste cosignataires
Un constat s’impose, Emmanuel Macron, son gouvernement et le Medef sont décidés à imposer coûte que coûte une restructuration en profondeur de la société française : politique d’austérité, destruction des droits des salarié.es, introduction de la sélection à l’entrée de l’université, casse des services publics, aggravation du sort des sans emplois, réorganisation aggravant les inégalités en matière d’accès à la justice, réforme fiscale favorable aux plus riches, loi répressive contre les migrant.es, priorité donnée au secret des affaires contre le droit à l’information, introduction de l’état d’urgence dans le droit commun, répression des mouvements sociaux et des jeunes des quartiers populaires, utilisation de l’égalité femmes-hommes comme simple outil de communication, sans moyens financiers, alors que les femmes sont les premières concernées par les régressions sociales… sans oublier une politique militariste au niveau international.La multiplication des mesures prises avec brutalité sur tous les fronts a un objectif, celui de créer un effet de sidération et espérer ainsi empêcher toute riposte. Le patronat profite de la situation pour multiplier les restructurations et rester sourd aux revendications du monde du travail. En s’en prenant aux personnels à statut, en particulier aux cheminot.es, Emmanuel Macron espère, s’il l’emporte, casser tout esprit de résistance.
Ce coup de force peut échouer, car les mobilisations se multiplient dans le pays, chacune avec sa spécificité : journée nationale d’action, grèves, occupation d’universités, manifestations… Il appartient évidemment aux organisations syndicales de décider, avec les personnels concernés, de leurs formes d’action. Chacune d’entre elles a, a priori, des ressorts différents, mais au-delà de tel ou tel aspect, ce dont il est question concerne la nature même de la société dans laquelle nous voulons vivre. Voulons-nous vivre dans une société où les droits sociaux seraient réduits à néant, où les services publics et la sécurité sociale auraient disparu, où l’inégalité de traitement des territoires serait la règle, où l’accès à l’université serait de plus en plus réduit, où les lanceuses et lanceurs d’alerte et journalistes seraient bâillonnés, où les défis écologiques seraient soumis aux intérêts de la finance, où le logement, les HLM et les locataires seraient marchandises,où la lutte contre les discriminations se réduit à des discours ? Ou, au contraire, voulons-nous une société plus juste, plus solidaire, plus démocratique, plus égalitaire avec un meilleur partage des richesses ? Tel est l’enjeu.
Le gouvernement espère que ces mobilisations sectorielles restent isolées et qu’il pourra les défaire les unes après les autres en tenant bon, en les laissant s’épuiser ou en les réprimant. Affichant sa détermination, il espère ainsi nous décourager. Il se trompe, comme le montre la multiplication des collectifs citoyens en lien avec les salarié.es, les retraité.es et les étudiant.es ainsi que le succès de la solidarité aux grévistes, notamment à ceux de la SNCF. Il s’agit maintenant d’aller plus loin et, toutes et tous ensemble, d’affirmer dans la rue que des alternatives existent, que nous ne nous résignons pas au sort que nous promet ce gouvernement. Il fait la sourde oreille, il faut le forcer à nous entendre et à retirer ses projets.
Dans le respect de nos champs d’interventions respectifs,nous voulons aller au-delà de toutes les mobilisations positives qui existent déjà et rassembler toutes les forces sociales, syndicales, associatives, politiques pour construire et réussir ensemble un grand rendez-vous citoyen. Partout en France organisons le samedi 26 mai une marée populaire pour l’égalité, la justice sociale et la solidarité.
Signataires :
Act-Up Paris
Alternative et autogestion
Alternative Libertaire
Association Nationales des élu.e.s communistes et républicains
Association républicaine des anciens combattants et victimes de guerre
APEIS
ATTAC
Climat social
Confédération Nationale du Logement
Collectif des Associations Citoyennes
Collectif National pour les Droits des Femmes
Collectif La Fête à Macron
Confédération Générale du Travail
Coordination nationale de défense des hôpitaux et maternités de proximité
Convergence nationale de défense des services publics
DIDF
DIEM25
Droit au Logement
Ecologie sociale
Europe Ecologie Les Verts
Les Effronté.es
Ensemble !
Femmes Egalité
Fondation Copernic
France Insoumise
Gauche Démocratique et Sociale
Génération.s
MJCF
Mouvement Ecolo
Mouvement National des Chômeurs et Précaires
Mouvement de la Paix
Nouvelle Donne
Nouveau Parti Anticapitaliste
Parti Communiste Français
Parti de Gauche
Parti Ouvrier Indépendant Démocratique
PCOF
PCRF
République et Socialisme
Résistance Sociale
Snesup-FSU
SNPJJ-FSU
SNETAP-FSU
SNUITAM-FSU
Solidaires
Syndicat des Avocats de France
Syndicat de la Magistrature
UEC
UNEF
UNL
Union juive française pour la paix
Retrouvez la liste des mouvements locaux en cliquant ici
22Mai toutes et tous en grêve!

Manifestation à 10h30 devant la gare de Montauban (jusqu’à l’Esplanade des Fontaines)
Fragiliser le statut des fonctionnaires entraînerait une dégradation de la qualité du service public, les deux étant étroitement liés. Comment bien faire son travail, faire réussir ses élèves dans un système qui n’apporterait plus ces garanties ou recruterait à tour de bras des contractuels sans statut ?
Pour le SNUipp-FSU, la grève du 22 mai, c’est pour la Fonction publique, pour les services publics, c’est pour l’école et l’éducation.Fragiliser le statut des fonctionnaires entraînerait une dégradation de la qualité du service public, les deux étant étroitement liés. Comment bien faire son travail, faire réussir ses élèves dans un système qui n’apporterait plus ces garanties ou recruterait à tour de bras des contractuels sans statut ? Pour le SNUipp-FSU, la grève du 22 mai, c’est pour la Fonction publique, pour les services publics, c’est pour l’école et l’éducation.
Visite de « chantiers » : voici les plans du gouvernement … quelles tuiles il nous prépare Continuer la lecture de 22Mai toutes et tous en grêve!




