- 24 mai 2019
- Par Paul Alliès
- Blog : UNE AUTRE REPUBLIQUE EST POSSIBLE
Ce genre de séquence devrait tourner à la confusion de l’imbécile heureux de son ignorance, qui tient ce genre de propos. Ce n’est plus tellement sûr. D’où ma décision, inhabituelle, de publier ici un texte qui n’aurait pas du s’y trouver. Il s’agit du discours de réception de la remise du diplôme de Docteur Honoris Causa que je recevrai dans les prochains jours de et à l’Université d’Oradea, en Roumanie à l’ouverture d’un colloque sur « La tolérance dans l’Union Européenne. Le combat contre la nouvelle xénophobie« . Il porte sur la biographie de Georges Politzer qui est né à Oradéa avant de devenir un intellectuel très connu du Parti Communiste Français dans les années Trente. Il fut l’organisateur du premier réseau de résistance universitaire, arrêté par la police française et fusillé au Mont Valérien le 23 mai 1942. C’est ma contribution à la lutte contre tous les oublis, révisionnismes et négationnismes passés et présents.
(Le texte est publié dans son intégralité. Si on est pressé on peut se reporter à la 3° partie et à la conclusion.)
Engagement partisan et lutte contre la xénophobie : Georges Politzer, Oradea-Paris (1919-1942).
Georges Politzer incarne une des figures les plus remarquables de l’antifascisme intellectuel de l’entre-deux guerres, donc de la lutte contre la xénophobie et l’antisémitisme. Son itinéraire est prototypique du milieu de l’intelligentsia d’Europe centrale de cette période, confronté à la chute de l’Empire Austro-Hongrois. Continuer la lecture de Politzer, un communiste contre le nazisme

« Le principe de neutralité du service public interdit au fonctionnaire de faire de sa fonction l’instrument d’une propagande quelconque […] L’obligation de réserve est particulièrement forte pour les titulaires de hautes fonctions administratives en tant qu’ils sont directement concernés par l’exécution de la politique gouvernementale », rappelle la Fsu du Tarn.






