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Jour : 28 février 2022
Présidentielle 2022 : il ne vous reste plus qu’une semaine pour vous inscrire sur les listes électorales
Attention, il ne reste plus que quelques jours pour s’inscrire sur les listes électorales.
L’élection présidentielle approche. Le premier et le second tour auront lieu le 10 et le 24 avril prochains. Cependant, pour pouvoir voter, il faut être inscrit sur les listes électorales et une date butoir est fixée.
En effet, vous pouvez vous inscrire en ligne sur les listes électorales jusqu’au mercredi 2 mars. Si vous optez pour le formulaire papier, vous avez jusqu’au vendredi 4 mars. Pour ce faire, vous devez renseigner ce formulaire, puis le transmettre, avec les documents justificatifs, à la mairie. Pour cela, vous pouvez : soit l’envoyer par courrier, pour que la mairie le reçoive le 4 mars au plus tard (la date de réception faisant foi), soit le déposer sur place, le 4 mars au plus tard.
Il est possible de vérifier votre inscription électorale, connaître l’adresse de votre bureau de vote ou votre numéro national d’électeur grâce à ce service en ligne.
L’inscription sur les listes électorales est automatique pour les jeunes de 18 ans (sous certaines conditions) et pour les personnes obtenant la nationalité française après 2018. Si vous vous trouvez dans une autre situation (déménagement, recouvrement de l’exercice du droit de vote…), vous devez faire la démarche de vous inscrire.
Quels sont les documents demandés pour s’inscrire ?
Si vous vous inscrivez en ligne, vous devez fournir la version numérisée d’un justificatif d’identité et d’un justificatif de domicile de moins de 3 mois.
Si vous vous inscrivez en mairie, il vous sera demandé un justificatif d’identité, un justificatif de domicile de moins de 3 mois, ainsi qu’un formulaire cerfa n°12669.
Solidarité. De Paris à Tbilissi, les manifestations en soutien aux Ukrainiens fleurissent
Des rassemblements ont eu lieu partout en France, ce samedi. À Paris, des milliers de personnes se sont réunies, place de la République. Les organisations progressistes étaient présentes, tout comme la diaspora, venue en nombre.
« J’ai envoyé de l’argent et je suis ici. De toute façon, il n’y a que cela que je peux faire. » Comme des milliers de ses compatriotes, Yaroslav était présent, samedi, sur la place de la République à Paris. Arrivé avec plus d’une heure d’avance, comme une trentaine d’autres ressortissants, ce doctorant en physique témoigne : « Ma famille va bien. Ils ont vu des soldats russes mais la ville, Dnipro, près de Kiev, tient bon pour le moment ». Un peu plus loin, une jeune femme, à genoux et les larmes aux yeux, tient une pancarte et accuse : « World don’t stop Poutine ! » (Le monde n’arrête pas Poutine !). Au troisième jour de l’invasion russe, la communauté ukrainienne en France est encore sous le choc. Ils étaient plusieurs milliers à s’être rassemblés devant la statue de la République pour conjurer la communauté internationale d’agir. Continuer la lecture de Solidarité. De Paris à Tbilissi, les manifestations en soutien aux Ukrainiens fleurissent
Moscou souffle le chaud, le froid et l’atomique
Tandis que les pays européens promettent des armes à Kiev, Vladimir Poutine agite le spectre de la dissuasion nucléaire.
Plus les jours passent depuis le début, jeudi matin, de l’offensive militaire russe contre l’Ukraine, plus les vertiges de la mort saisissent le monde entier. Dimanche après-midi, Vladimir Poutine a franchi un nouveau palier dans l’escalade : au cours d’un entretien retransmis à la télévision avec son ministre de la Défense et ses chefs d’état-major, le président russe leur a ordonné de « mettre les forces de dissuasion de l’armée russe en régime spécial d’alerte au combat ». Un statut qui, insistent les dirigeants russes dans la foulée, renvoie à une possible « utilisation d’armes nucléaires ».
Le Kremlin justifie cette décision par les « déclarations belliqueuses de l’Otan », mais également par les sanctions « illégitimes » prises à l’encontre de la Russie. Continuer la lecture de Moscou souffle le chaud, le froid et l’atomique