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Face au refus de la première ministre d’abroger la réforme des retraites, les syndicats ont coupé court à leur réunion. Le gouvernement s’enfonce dans une stratégie « violente » et « irresponsable », dénoncent-ils.
Qui aurait pu prédire que la réunion entre Élisabeth Borne et l’intersyndicale, ce mercredi matin, se solderait par un échec ? Les représentants des salariés avaient anticipé l’obstacle, et prévenu avant leur entrée dans la cour de Matignon que tout refus de la part du gouvernement de retirer la réforme des retraites entrainerait la fin de leur rencontre. Le déroulé des évènements n’a pas donné tort à leurs prédictions. « La première ministre nous a opposé une fin de non-recevoir et nous a renvoyé dans la rue », a dénoncé Sophie Binet, nouvelle secrétaire générale de la CGT, pointant du doigt une « stratégie violence et jusqu’au-boutiste » du gouvernement. Continuer la lecture de L’intersyndicale claque la porte d’Élisabeth Borne
Si la nomination de Pap Ndiaye avait pour but de renouer contact entre le président de la République et les enseignants, il semble que les illusions de cette ouverture à gauche se soient envolées. La recomposition gouvernementale lancée après le dernier 49.3 se fait vers une droite qui a décidé de faire de l’éducation son terrain de bataille. Dans cette nouvelle configuration, quelle place pour Pap Ndiaye ?
Dorénavant trop assimilé à son prédécesseur par les enseignants, le ministre de l’éducation nationale reste une cible pour la droite qui dépose contre lui une proposition de loi qui sera examinée le 11 avril. Pap Ndiaye n’est il plus que la trace d’un épisode politique dépassé ?
L’échec de l’ouverture vers les enseignants
Malgré une ultime condamnation de l’ONU, l’Assemblée nationale a adopté, mardi 4 avril, la loi Kasbarian, qui criminalise les locataires et ceux qui se réfugient dans un local vide.
Pendant la bataille contre la réforme des retraites, la chasse aux pauvres continue. Malgré l’opposition généralisée des associations de défense des locataires et des mal-logés, la levée de boucliers des instances consultatives des droits de l’homme, les députés macronistes et leurs alliés de droite et du Rassemblement national, ont adopté, avec 385 voix pour et 147 contre, mardi 4 avril, la loi dite Kasbarian, du nom de son rapporteur, le député Renaissance d’Eure-et-Loir. Continuer la lecture de Locataires endettés, la chasse est ouverte

Mon opinion n’est pas celle d’un membre du parti communiste, alors que ce dont je fais état relève d’abord des militants communistes, mais j’ai été longtemps membre de ce parti, j’en demeure sympathisante et je suis convaincue qu’il joue ou peut jouer un rôle essentiel dans la situation très grave que nous traversons. On peut d’ailleurs remarquer à ce propos que Fabien Roussel a le mérite au moins de ne pas fuir ce rôle central et souvent avec beaucoup de talent.
Donc commençons par l’essentiel de l’événement du jour : je ne suis certes pas choquée par l’affirmation que la NUPES n’est pas le cadre qui convient pour un pacte de gouvernement, et cette position me parait largement partagée par les communistes comme par une grande partie de la populations française. Continuer la lecture de A propos de la déclaration de Fabien Roussel sur la NUPES par D. B.