Bataille de chiffres : l’Humanité a calculé pour vous

Les résultats du premier tour des législatives fournis par le ministère de l’Intérieur donnent la gauche derrière la Macronie. Des données que la Nupes conteste fermement, revendiquant la première place. À raison.

AFP

C’est une histoire de nombres, de virgules et de décimales qui concerne pourtant plusieurs dizaines de milliers d’électeurs. Pas de quoi remettre en cause le rapport de forces global des législatives mais qui change totalement la façon de présenter les résultats. Qui de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) ou de la coalition macroniste Ensemble ! est arrivé en tête au soir du premier tour ? Qui a gagné ? Théoriquement, c’est le ministère de l’Intérieur qui fournit les chiffres officiels des élections. Et Beauvau annonce qu’Ensemble !, avec 25,75 % des suffrages, devance de peu la Nupes et ses 25,66 %.

Ce que contestent fermement les principaux responsables de la gauche unie. Le directeur de campagne de Jean-Luc Mélenchon à la présidentielle, Manuel Bompard, évoque une « manipulation de Gérald Darmanin (…) pour faire apparaître artificiellement le parti de Macron en tête ». Selon l’insoumis, « la Nupes totalise 6 101 968 voix, soit 26,8 % ». Continuer la lecture de Bataille de chiffres : l’Humanité a calculé pour vous

Pas de député(s) RN dans le 82 (PCF82)

Unie, la gauche a porté dans le débat les 650 propositions d’un programme ambitieux et nécessaire pour l’avenir de notre pays, pour nos concitoyens-nes. Le premier tour a porté un nombre inédit de candidats-es de la transformation sociale au second tour. Il est possible dès le mois prochain d’amorcer une nouvelle politique sociale et écologique, par une augmentation des salaires, la retraite à 60 ans ou le développement des services publics.

Dans le Tarn et Garonne la situation est également inédite.

Sur la première circonscription Mme Rabault arrive en tête face à un candidat RN qu’elle devance de 5000 voix. Sur la deuxième circonscription du 82 c’est la candidate du RN qui arrive largement en tête de ce 1er tour des Législatives. Avec 9272 voix, Mme Manchado (NUPES) arrive en 4ème position.  La droite en la personne de M. Astruc a supplanté Mme Pinel, députée PRG sortante.

Les forces de la haine et de l’exclusion sont ainsi présentes au second tour sur les deux circonscriptions. Cette configuration nous rappelle avec force que jamais un(e) député(e) d’extrême droite ne doit accéder à l’Assemblée Nationale dans notre département.

C’est donc sans ambiguïté que nous appelons les forces républicaines, les électeurs et électrices à tout faire pour combattre les candidats RN et ce dès dimanche 19 juin, en utilisant dans la 1ère comme dans la 2ème circonscription les seuls votes utiles.

Stéphane SIROT : « Pouvoir d’achat », une notion piège

Publié le par FSC

« Pouvoir d’achat » ! De quoi parle-t-on ? De pouvoir ? De consommation ? De revenus ? De nécessaire augmentation des salaires ? De prix ? Pour décrypter cette formule utilisée à toutes les sauces dans la campagne électorale à l’heure où l’inflation s’envole, nous avons interrogé Stéphane Sirot, historien et auteur d’un dictionnaire de la novlangue managériale édité en décembre dernier.

Avec le retour de l’inflation, les revendications salariales sont à l’origine de nombreuses grèves. Dans le même temps, la notion de « pouvoir d’achat » sature l’espace politique, médiatique et même syndical.

Pourquoi cette formulation ne va-t-elle pas de soi ? Continuer la lecture de Stéphane SIROT : « Pouvoir d’achat », une notion piège

POURQUOI le silence sur ORADOUR SUR GLANES, le poète n’a plus raison en FRANCE, pourquoi ?

Alors qu’aujourd’hui nous aurions dû voir de multiples reportages sur le massacre d’Oradour, rien… Rien sur ce quI s’est passé ce jour-là, rien sur la division Das Reich qui s’est livrée au massacre d’enfants et de leurs parents, faut-il s’en étonner vu qu’au même moment les héros que la FRANCE se donne sont les régiments néo nazis qui revendiquent leurs liens avec cette sinistre division qui depuis huit ans massacre les populations civiles dans le Donbas sans que cela n’émeuve plus que cela “nos âmes nobles” et les blondes hyènes ukrainiennes qui sévissent sur nos chaînes médias en continu et dont certaines en d’autres temps exhibaient fièrement les drapeaux d’Hitler.

Rien sur les néonazis à l’œuvre en Ukraine qui ont repris à leur compte l’idéologie et l’insigne de cette sinistre division SS.

« Martyrs d’Oradour, nous ne vous oublierons jamais » dit Aragon et nous avec lui. Triste mois de Juin 2022….

Malheureusement le poète n’a plus toujours raison et la FRANCE ne chantera pas avec ARAGON cette chanson:

 

CHANSON DE LA CARAVANE D’ORADOUR

 

Nous n’irons plus à Compostelle

Des coquilles à nos bâtons

A saints nouveaux nouveaux autels

Et comme nos chansons nouvelles

Les enseignes que nous portons

 

Que nos caravanes s’avancent

Vers ces lieux marqués par le sang

Une plaie au cœur de la France

Y rappelle à l’indifférence

Le massacre des Innocents

 

Vous qui survivez à vos fils

En vain vous priez jour et nuit

Que le châtiment s’accomplisse

Et la terre en vain crie justice

Le ciel lui refuse la pluie

 

Ô mamans restées sans amour

Sur les tombes de vos héros

La même lumière du jour

Baigne les ruines d’Oradour

Et les yeux vivants des bourreaux

 

Aux berceaux d’Oradour demain

Pour qu’on ne revoie plus la guerre

Semer la mort comme naguère

Dans le monde entier se liguèrent

Près d’un milliard de cœurs humains

 

Que la paix ouvre enfin ses vannes

Et le peuple dicte ses lois

Nous les faiseurs de caravanes

T’apportons Oradour-sur-Glane

La colombe en guise de croix

 

ARAGON, Juin 1949

La santé à l’école (en morceaux) In Caf. Péda. + le contenu de la revue Sèvres

Existe-il des convergences entre les systèmes éducatifs sur la santé à l’école ? La question pourrait sembler urgente puisqu’on sort (?) d’une pandémie mondiale particulièrement sévère. Le nouveau numéro de la Revue internationale d’éducation de Sèvres (n°89) n’apporte pas vraiment de réponses. Mais il laisse deviner des évolutions mondiales tant en ce qui concerne la médicalisation croissante des difficultés scolaires des élèves que le rapprochement (timide) entre professionnels de santé, parents et enseignants.

Frustrations

Quand on interroge des enseignants sur la question de la santé à l’école, remontent les mêmes questions. Comment le covid est-il été géré et particulièrement son impact sur les élèves et le système éducatif ? Que sait-on de la santé des enseignants ? Où en est la médecine scolaire ? Voilà trois questions restées sans réponse dans ce numéro de la Revue internationale de Sèvres (n°89). Les coordinateurs du numéro, Hélène Buisson Fenet et Yannick Tenne, ont fait le choix de ne pas les traiter. On n’aura pas plus d’écho des statistiques mondiales sur le bien être à l’Ecole. Coté frustrations ça fait beaucoup ! Continuer la lecture de La santé à l’école (en morceaux) In Caf. Péda. + le contenu de la revue Sèvres

Macron et « l’inévitable » privatisation de l’École in Caf. Péda.

Pour Emmanuel Macron, l’évolution de l’Ecole est visiblement une priorité. Après sa visite marseillaise du 2 juin, il est revenu sur la question scolaire dans un entretien publié par la presse régionale le 3 juin. Présentée comme une « révolution culturelle » pour l’Ecole à l’aide d’une « réorganisation nationale », la réforme macronienne devrait être de plus grande ampleur que ce qui semblait. Avec la réélection d’E Macron, sauf surprise aux législatives, la France va entrer dans le mouvement qui emporte les pays occidentaux dans une privatisation accélérée des systèmes éducatifs.

Liberté, flexibilité

Liberté, flexibilité : E Macron a répété ces mots à propos de l’Ecole le 2 juin à Marseille. « Quand je dis on inverse la pyramide… c’est ça la révolution culturelle. Le mot a été prononcé au début de notre table ronde, c’est une révolution culturelle », répète-il le 2 juin. Il parle aussi de « réorganisation nationale ». Des propos qui auraient pu faire réagir son ministre. Mais tout le monde a pu constater le 2 juin que le vrai ministre habite l’Elysée…

Que sait-on de cette révolution culturelle ? E Macron veut « généraliser » l’expérimentation marseillaise. Il la définit ainsi. D’abord plus de liberté : « des enseignants qui soient plus libres… des chefs d’établissements qui sont plus libres de proposer, d’innover… La possibilité pour les directrices et directeurs d’établissement (sic) de s’assurer qu’on partage un projet qu’il porte et où il y a aussi plus de liberté qu’on va essayer de donner aux enseignants ». Continuer la lecture de Macron et « l’inévitable » privatisation de l’École in Caf. Péda.

Salaire, prix, profit, une bataille sans précédent

Si le gouvernement croit calmer le mécontentement des salariés par des primes sensées compenser les pertes de pouvoir d’achat, une nouvelle fois il se trompe. Les 26Mds d’€ qu’il compte mobiliser dans la « loi pouvoir d’achat » n’y feront rien. Le retour de l’inflation accompagné de la revendication d’augmentation des salaires marque une nouvelle phase de la crise qui affecte notre économie et son mode de gestion libérale.

Alors que la hausse des prix en tendance annuelle était voisine de zéro, la voilà qui oscille à présent entre +4% et +8 %. Les causes immédiates sont les prix du gaz et du pétrole, les cours des produits agricoles de base, les conséquences des affrontements guerriers qui se multiplient, de l’Ukraine à l’Afrique. En rester à une explication purement conjoncturelle, occulte la signification de ce retour de l’inflation qui signe comme jamais la faillite du capitalisme financiarisé.

Le point de départ se situe en 1982. Le gouvernement Mauroy-Delors met fin à l’indexation des salaires sur les prix, mesure qui a coïncidé avec le début d’une longue croissance du prix des actifs 1. Les ménages modestes, douloureusement affectés par une austérité sans précédent étaient censés retrouver dans la baisse des prix des produits de consommation ce qu’ils avaient perdu en salaires. Un marché de dupes ! La politique de stabilisation de la monnaie dont se prévalait le capitalisme financiarisé cachait de fait un gonflement spéculatif sans précédent du prix des actifs financiers et de l’immobilier. Les « bulles financières » se sont succédé, bulle internet, bulle immobilière…L’appétit de profit augmentant en proportion du gonflement de la Bourse, les financiers ont imposé un partage de la valeur ajoutée défavorable aux salariés afin de s’assurer la valorisation de cette immense accumulation.

Ceci ne suffisant plus, la hausse des prix fait son retour avec fracas, façon parmi d’autres de gonfler des profits déjà obtenus. Et voilà toutes les conditions réunies pour le développement d’un mouvement qui s’entretient de lui-même, une véritable « boucle prix- profit » Les autorités monétaires entendent s’attaquer à cet emballement inflationniste en augmentant les taux d’intérêt. Mais cette augmentation ralentit l’activité économique, et ne fait que peser négativement sur la situation des salariés, leur condition d’emploi, grignotant leur épargne de précaution placée sur des livrets à taux fixe comme le Livret A.

Dans l’immédiat la bataille pour le partage de la richesse produite, non seulement se poursuit mais se durcit. Et il n’a pas fallu bien longtemps pour que l’on nous explique que l’augmentation des salaires – sûrement souhaitable – n’était plus possible sinon à engendrer une « dangereuse spirale inflationniste ». Sous-entendu, les majorations de salaires entraineraient une nouvelle augmentation des prix.

La hausse des prix ne s’interrompt pas, et si l’exigence de ré indexation des salaires sur l’évolution des prix est plus que justifiée, la qualité de l’indice de prix de référence en l’état de la production statistique actuelle ne permet guère d’appréhender l’évolution réelle du cout de la vie.

Si le blocage des prix, par décision politique se justifie sur certains produits soumis à une pression spéculative comme les produits agricoles de base que nous cultivons, un blocage administratif des prix ne peut suffire à enrayer la spirale inflationniste. La mise en œuvre d’une réforme fiscale imposant les profits spéculatifs permettrait de s’attaquer à la formation des marges par les entreprises dominantes. Un droit de regard approfondi doit être donné aux syndicats et aux salariés sur la fixation des marges tant dans la production que dans la distribution. Un arsenal de mesures qui nous éviterait de tomber dans une grave récession.

1 Le CAC40 principal indice de la bourse de Paris, voit sa valeur multipliée par six en 30 ans alors que la croissance du salaire (réel par unité de consommation) est divisée par six.

Boris Cyrulnik, «l’arme de la dictature, c’est le conformisme»

Dans sa quête de compréhension des malheurs du monde, le neuropsychiatre de renom Boris Cyrulnik analyse la tentation confortable de céder au dangereux aveuglement de l’embrigadement et lui oppose la pensée guidée par l’expérience sensible et le questionnement, l’esprit libre de ceux qui creusent leur propre sillon. Brûlant d’actualité.

Le père de la résilience, concept surexploité à l’insu de son créateur, poursuit sa quête de vérité : comment donner un sens à l’insensé ?

Surtout connu pour avoir développé le concept de résilience, le neurologue et psychanalyste, qui, à 7 ans, a échappé à la mort que lui promettait une idéologie meurtrière, poursuit son exploration des mécanismes de la psychologie humaine. Dans son dernier ouvrage, « le Laboureur et les Mangeurs de vent », il tente d’expliquer les mécanismes qui conduisent certains à se repaître de rassurants discours totalitaires jusqu’à l’aveuglement, au meurtre ou au génocide, tandis que d’autres s’emploient à penser par eux-mêmes, portés vers l’heuristique et l’empathie.

Quand et comment vous est apparue la distinction entre ceux qui ont une pensée ancrée dans le réel et ceux qui adhèrent à des discours préfabriqués ?

Boris Cyrulnik

Neuropsychiatre

C’est un problème que je me pose depuis mon enfance. Je me demande pourquoi certains parmi nous peuvent avoir des idées complètement coupées de la réalité. J’ai subi la guerre de 1940 et j’ai connu celle d’Algérie. J’ai pu constater à chaque fois qu’il y a deux manières d’aborder ces crises majeures. On peut les comprendre parce que l’on connaît l’autre, on le rencontre, on débat avec lui. C’est ce qu’Hannah Arendt appelle le récit enraciné. Au contraire, on peut aussi adhérer à un récit coupé de la réalité sensible. C’est ce que j’appelle aujourd’hui le délire logique. Le mot « délire » se décompose ainsi : « de » privatif, qui signifie « sans », et « lira », qui est « le sillon creusé dans la terre ». Et j’ajoute « logique », puisqu’il s’agit en général de discours très cohérents et qu’il n’est pas nécessaire d’être psychotique pour être délirant. Continuer la lecture de Boris Cyrulnik, «l’arme de la dictature, c’est le conformisme»

À Montargis, le collectif Ibiza se jette à l’eau pour la Nupes

Campagne L’Humanité a décidé de suivre la confrontation entre Bruno Nottin et l’ex-ministre de l’Éducation nationale, à Montargis, dans le Loiret.

samir maouche

Montargis (Loiret), envoyé spécial.

Une petite foule s’est rassemblée sur les gradins qui bordent le canal de Briare, en plein cœur de Montargis, pour le meeting de Bruno Nottin, candidat PCF-Nupes pour les législatives. Et soudain, devant eux surgit… Jean-Michel Blanquer lui-même ! Le ministre défroqué – au sens littéral du terme puisque sous sa veste de costume il porte un simple caleçon de bain – toise le public avec mépris puis lance un tonitruant : « Bonsoir les gauchistes ! » Et tout le monde éclate de rire.

Car tous savent déjà que ce Blanquer-là est en réalité « Jean-Michel Planquer », ou Nour Durand-Raucher dans la vraie vie, conseiller EELV de Paris mais surtout parfait sosie du vrai Blanquer et âme du collectif Ibiza. Ce groupe informel de militants s’est fait connaître en dansant en maillot­ de bain en plein mois de janvier sous les fenêtres du ministère de l’Éducation nationale, afin de dénoncer ce ministre en vacances à Ibiza à la veille d’une rentrée sous la menace d’une nouvelle vague de Covid. Continuer la lecture de À Montargis, le collectif Ibiza se jette à l’eau pour la Nupes

Comité de Défense du CHIC: Le grand oral!

Une quarantaine de personnes présentes et 3 candidats-tes aux législatives qui répondent présents pour un jeu de questions/réponses avec un public attentif sous l’égide du Comité de Défense du CHIC et M. Gilles Neupont en M. Loyal pour la bonne cause.

C’est M. Astruc accompagné de Mme Baulu qui ouvriront les débats, suivi par Mme Pinel et M. Deprince pour qu’enfin les candidats de la Nupes, Mme Manchado et M. Petitou puisse s’exprimer. Le premier s’est appuyé sur son expérience à la tête du département et sur la « confiance » que lui a accordé le gouvernement de M. Macron s’attribuer la construction du nouvel hôpital, laissant Mme Baulu fustiger une fois de plus le manque de médecin. Le duo LR/LREM est bien au point!

Mme Pinel, forte de 2 législatures a rappelé les propositions de loi sur la santé et le numérus clausus pour lesquelles elle est intervenue, utilisant souvent le travail fait par la région pour l’embauche de médecins salariés-es. Il faudra attendre l’intervention de la NUPES pour avoir enfin quelques éléments d’avenir et de mise en perspective de propositions concrètes pour la prochaine législature.

Débutés par la question des Centres de Santé Publics (et non des centres de santé pluridisciplinaires différents des Maisons de santé du même nom qui sont libérales) avec le salariat des médecins, les échanges devenus confrontations traitaient du manque de personnels, des urgences et services fermées, des déremboursements de médicaments (Homéopathie), des EHPAD, des difficultés à se soigner, puis enfin des questions de prévention, de la médecine du travail, scolaire et des addictions…

Chaque fois, seule la NUPES alignait des propositions.

Même si le débat fut un peu atone, il fallut attendre un temps avant que ne soit rappelé par M. Petitou, le rôle primordial de la sécurité sociale, son financement par les cotisations du travail (salariés-es et patrons). A l’heure des appétits voraces des assurances et du détricotage de la Sécu, ce rappel était salutaire sans pour autant faire ciller les 2 autres binômes présents (Le RN et Z ont préféré s’abstenir… Ils étaient les hôtes de M. Lopez au tournoi international de Basket minime de Moissac).

Il manquait cependant, au cours des échanges, l’affirmation de plus de services publics de santé et d’un accès égal pour toutes et tous à un parcours de santé gratuit, accessible et de qualité.

Bref une fin d’après-midi fructueuse (au creux d’un week-end prolongé), même si nous pouvions regretter le manque d’appétence de nos concitoyens-nes pour leurs droits à la santé! Une expérience à renouveler et pas forcément qu’en période électorale…