Castelsarrasin – « L’Afrique aujourd’hui » avec Dominique Pagani

Castelsarrasin - « L'Afrique aujourd'hui » avec Dominique Pagani

Par PCF Tarn et Garonne, le 30 Avril 2024

Le prochain rendez-vous de l’université permanente de la section de Castelsarrasin, Moissac et du Pays de Serres du PCF aura lieu ce samedi 4 mai de 10h à 12h30 et portera sur l’actualité politique qui traverse le continent africain. Ouverte à tous, cette conférence sera animée par le philosophe Dominique Pagani. Ancien professeur de philosophie, musicologue, proche collaborateur de Michel Clouscard, il a dirigé le Centre de Formation et de Promotion Musicale de Niamey au Niger.

« Notre parti, historiquement internationaliste, a pour vocation de nourrir le débat politique, d’encourager la prise d’initiatives, d’instruire les analyses et positions des communistes sur les questions internationales. Notre action a toujours été profondément irriguée du combat pour la paix et la solidarité internationale. A ce titre, c’est un grand plaisir d’accueillir Dominique Pagani pour notre université permanente. Notre souhait est vraiment de permettre au plus grand nombre de bénéficier des enseignements de ce grand philosophe marxiste », explique Maximilien Reynes Dupleix, secrétaire de la section locale du PCF.

 

CHOIX DE LA DÉFAITE ET FASCISME FRANÇAIS : le grand capital dans les années 1930 (Conférence Vidéo)

par Annie LACROIX-RIZ

Un éclairage de la situation d’aujourd’hui en explorant les causes historiques de la montée du fascisme français dans les années 30 et d’une défaite annoncée de la France, voulue par un capitalisme à la manœuvre au mépris des peuples et de la démocratie comme de sa représentation.

Une exploration méthodique du rôle des élites françaises qui ont opté pour le camp de l’argent et du pouvoir aux côtés de la classe dirigeante allemande  (mais aussi des dirigeants américains, anglais…) et que l’on peut retrouver dans l’ouvrage éponyme de Mme Lacroix-Riz, disponible en version poche et donc abordable.

Annie LACROIX-RIZ est professeur émérite d’histoire contemporaine à l’Université Paris VII. Elle a publié « Les Origines du Plan Marshall » en octobre dernier. Ce livre montre, archives à l’appui, que le Plan Marshall n’avait pas pour but d’aider les pays d’Europe occidentale mais bien de les vassaliser.

Aujourd’hui, nous recevons Annie LACROIX-RIZ à l’occasion de la réédition augmentée de son ouvrage majeur « Le Choix de la défaite : Les élites françaises dans les années 1930 », qui sort en format poche ce 24 avril 2024.

00:00:00 : Présentation

00:01:51 : Pourquoi avoir écrit ce livre ?

00:32:11 : Le contexte économique international au début des années 1930

00:45:57 : Le capital financier dominait-il vraiment toute la politique française ?

01:10:56 : Le fascisme français

01:42:23 : La réconciliation franco-allemande et le choix de la défaite Références de l’ouvrage :

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La dette, la dette, la dette… Parlons-en ! (Video)


Le péril c’est la finance, pas la dette ! Une contribution de Frédéric Boccara

1. On répète en boucle qu’il faut absolument tailler dans nos dépenses publiques pour rembourser « la » dette publique.

Mais c’est la hausse des taux d’intérêt par la BCE qui vient de mettre à mal les finances publiques, pas la dette. Avec cette hausse des taux jusqu’à 4 %, la charge d’intérêt de la dette s’est accrue d’un coup de 18 Md€ en 2023. Elle est supérieure à 50 Md€ pour 2023 contre 33 Md€ en 2022. C’est autant qu’un second budget de l’enseignement scolaire (écoles + lycées !)… versé aux marchés financiers, c’est-à-dire à BlackRock, BNPParibas, Crédit Agricole Asset management, et avec notre argent.

2. On prétend qu’il faut dépenser moins pour aller mieux. Que la priorité doit être donnée au remboursement de la dette.

Donc on sabre dans les services publics. Mais ils sont déjà à l’os ! Nos hôpitaux sont exsangues, les médecins de ville se raréfient, la santé est de moins en moins bien remboursée. Dans l’éducation, les élèves, les profs et les parents sont révoltés. C’est tout l’avenir de notre pays qui est menacé. C’est comme si on nous disait : « Il faut se couper un bras pour être plus léger ». Or le sang va couler, les plaies sont terribles. Et il va nous manquer un bras et on ne prépare pas l’avenir !

3. Il faut au contraire se développer avec des avances massives, pour « avaler » la dette

C’est toujours comme cela qu’on a fait. Notamment après 1944-1945, pour financer les jours heureux, la sécurité sociale, la reconstruction de la France, l’expansion des services publics (santé, enseignement, recherche…), et progressivement durant les années 1950 on a « avalé » la dette et on s’est développés.

« Avaler la dette », cela veut dire : diminuer son poids dans le PIB, parce que le PIB augmente et parce que les taux sont à 0 %, et progressivement résorber les déficits. Mais ne pas faire de la résorption des déficits un préalable. Cela reviendrait à se tuer en prétendant qu’on pourra vivre demain ! En réalité, c’est faire le lit du fascisme.

Plutôt que de parler de « dette », qui porte un jugement moral, il faut parler « d’avances ». Donc : à quelles conditions (quel coût, notamment) ? Pour faire quoi ?

Le préalable, c’est de développer efficacement l’emploi et la formation, particulièrement dans les services publics. Ce sont des dépenses aujourd’hui, mais pour créer davantage de richesses dans l’avenir, car c’est le travail humain qui crée les richesses d’où sont ensuite tirés des revenus, des cotisations sociales, des impôts, et finalement de l’épargne. C’est pour amorcer cet enchaînement vertueux qu’on a besoin d’avances.

4. Pour cela, il faut :

Dépenser plus (les besoins sont immenses), donc on a besoin d’avances, d’avances pour se développer. Le pôle public bancaire français existant (CDC, la poste) peut les faire. La Banque centrale européenne (BCE) doit les refinancer à 0 %. Mais, au-delà, nous proposons de créer un Fonds européen pour les services publics, alimenté par la création monétaire de la BCE.

– Avances massives à 0 %, par création monétaire, si elles développent l’emploi, les services publics, les investissements des entreprises porteurs d’emploi et d’écologie. C’est possible immédiatement. C’est la priorité.

Dépenser autrement : pour développer les services publics et pour une nouvelle industrialisation

– En donnant la prééminence à l’emploi et à la formation, pas au capital : pré-recrutements dans la santé (hôpital), l’éducation, les transports, etc.

– Réorienter les 200 Mds d’aides publiques aux entreprises : 1. en leur mettant d’autres critères que les critères actuels qui sont de pratiquer de bas salaires (c’est le cas de toutes les exonérations de cotisations sociales, dont l’ex-CICE) ; 2. en mettant de la démocratie, un droit de suivi et d’alerte sur les aides aux entreprises, par les salariés, les citoyens et leurs représentants, pas de la bureaucratie.

Sur cette base, on pourra engager un changement de la fiscalité, pour un impôt plus progressif sur les ménages ; faire contribuer le capital et la finance ; pour pénaliser, par un taux d’imposition sur les bénéfices, modulé à la hausse pour les entreprises qui utilisent leurs bénéfices pour servir des dividendes et spéculer, modulé à la baisse pour celles qui développent suffisamment l’emploi et les salaires, base de développement de la réponse aux besoins de la société et de recettes fiscales étendues, saines et pérennes.

On peut aussi compléter les avances par l’épargne des Français, abondant le Fonds et souscrivant à des titres de dette non négociables sur le marché, en tout cas pour la partie disponible de cette épargne.

5. La droite, l’extrême droite et E. Macron proposent le remède des années 1930 !

– en 1935 déflation française contre les services publics (par Pierre Laval, alors socialiste indépendant, qui impose -10 % de dépenses publique) ;

– en 1930-32, déflation allemande (Heinrich Brüning, -10 % sur les salaires des fonctionnaires).

Les deux ont amené la montée des fascistes et, en Allemagne, les fascistes au pouvoir.

Pourtant Macroniens, droite et extrême droite font assaut de surenchère pour baisser les dépenses.

B. Le Maire, G. Attal et E. Macron imposent un plan d’austérité de 10 Md€ et veulent durcir l’austérité de 20 Md€ encore en 2025 ! Tandis que l’ancien dirigeant socialiste P. Moscovici réclame 50 Md€ d’austérité ! F.-X. Bellamy et la droite dénoncent « l’excès de dépense publique », tout en faisant mine de pleurer sur l’absence de soignants ou sur le recul de l’école.

Mais aussi M. Le Pen écrit dans Les Échos : « La dette est le principal péril pour notre souveraineté ». Elle y propose de baisser les dépenses, et tout particulièrement de taper sur les étrangers (-16 Mds, prétend-elle) ; baisser les dépenses sociales et allocations chômage (les salariés menacés n’ont qu’à bien se tenir) ; ne pas financer les dépenses «de fonctionnement» des services publics par des avances. C’est-à-dire réserver les avances aux seules dépenses en capital (dépenses d’investissement) !! Pas d’avances pour des pré-recrutements et des embauches à l’école ou à l’hôpital !!

Et le très Macronien ministre du Budget, Th. Cazenave, lui répond en insistant à quel point lui et Macron dépenseront moins ! Leur logique est folle ! Elle nous mène dans le mur. D’autant qu’ils veulent dépenser plus… pour la guerre.

F. Bayrou prétend se dissocier de cela en disant « ne pas casser la croissance brutalement ». « ON a besoin de reconstruire, reconstruire, cela se fait par la croissance »… tout en persistant à dire qu’il faut baisser les dépenses. « Oui, il faut dépenser moins », dit-il ! Contradiction totale et tartufferie.

Pour nous le principal péril pour notre souveraineté, c’est la finance ! Il faut la faire reculer, s’y attaquer.

6. Un axe commence à se faire jour sur l’idée : « Il faut dépenser plus, ne pas casser la croissance ».

Cet axe s’entend en France, c’est intéressant ! De la part d’économistes comme de responsables politiques.

Mais à partir de cette idée, certains (tels R. Glucksmann ou F. Bayrou) poussent les feux d’une Europe fédérale dans les mains des marchés financiers en réclamant un emprunt européen… sur les marchés financiers ! C’est un remède empoisonné, aussi nocif que le mal qu’il prétend combattre.

7. Nous proposons de créer un Fonds européen pour les services publics, alimenté par une création monétaire de la BCE à 0 %, pour les dépenses des États SI elles vont au développement des services publics et – surtout – de leur emploi.

Ce serait une sorte de nouveau « quoiqu’il en coûte ». Mais d’un tout autre type que celui expérimenté durant la pandémie : il sera efficace car ayant pour critère le développement et pour pilotage la démocratie, la souveraineté populaire, avec des critères précis.

C’est possible dès à présent avec les Traités existants (l’article 123.2 autorise le financement direct des États par une institution financière publique… ce serait ce Fonds) ! Donc, si les dirigeants actuels ne veulent pas le mettre en place, c’est qu’ils ne veulent pas, et non qu’ils ne pourraient pas ! La question est politique !

Nous appelons les usagers du système de soin et les soignants ; les usagers des services publics, les parents d’élèves et les jeunes ; les citoyennes et citoyens soucieux d’écologie, voulant un développement du Fret ferroviaire ; les usagers et acteurs de tous les services publics ; les jeunes en quête d’avenir et d’emploi, à l’exiger avec nous !

Nous le portons et le porterons dans la campagne des européennes avec Léon Deffontaines et la gauche unie rassemblée sur la liste qu’il conduit.

8. Pourquoi au niveau européen ?

– Parce que dans le monde de mastodontes financiers, et face au dollar, c’est l’UE qui a la surface et la force suffisante pour faire ces avances. Nous pouvons mettre nos forces en commun… Mais pour le social ! Pas pour le capital. Pour de nouveaux jours heureux, pas pour la guerre.

– Parce que tous les peuples d’Europe et de l’UE souffrent au même titre. Même les Allemands : il manque 100 000 soignants à l’hôpital en Allemagne et 14 000 enseignants, expliquent nos camarades et amis de Die Linke. Les Grecs, les Français, les Irlandais, les Italiens… ne sont plus seuls !

9. C’est pourquoi nous portons cette proposition en commun avec le PGE (parti de la gauche européenne).

Avec nos camarades allemands (Die Linke), espagnols (PCE-Izquierda Unida), autrichiens du PCA, italiens de Rifondazzione Communista, irlandais du Sinn Fein, grecs de Syriza et de Nouvelle gauche, hongrois du Parti du travail, tchèques de Levitse, etc.

Nous nous battrons pour cela au Parlement européen. Nous pouvons obtenir des majorités – en commençant par la santé ou par le fret ferroviaire – pour sortir ainsi du piège mortel de la déflation et de la souffrance sociale sans fin !

Nous sommes ouverts à toutes celles et tous ceux qui veulent aller avec nous dans ce sens. Nous ne mettons pas d’exclusive (on l’a vu sur le CETA au Sénat), au contraire : qui veut venir soutenir et porter cette proposition ?

Ni suivre les marchés et les dogmes dominants en faisant des aménagements mineurs et courir vers le fédéralisme, comme les sociaux-libéraux,

Ni annoncer qu’on va renverser la table ou alimenter le souverainisme, mettre les traités comme préalable à tout changement substantiel… et finalement ne rien changer.

Telle est notre conception politique pour réorienter profondément l’Union européenne, qui sinon entraîne tous les peuples de l’UE dans le mur !

Article publié dans CommunisteS, N°991, 10 avril 2024.

 

Crise du logement : « la bombe sociale est en train d’exploser ! »

Les membres du conseil d’administration de Tarn et Garonne Habitat se sont réunis hier avec à l’ordre du jour notamment le vote sur les rapports de gestion et d’activité 2023. Le président José Gonzalez et la directrice générale Linda Pradel ont évidemment salué la capacité de l’office public à continuer de construire dans un contexte toujours plus difficile.

« L’année 2023 a été riche en défis et en succès pour notre organisme, toujours premier bailleur du département. Nous avons poursuivi notre mission avec engagement en mettant en œuvre des projets novateurs. Notre succès, c’est d’avoir pu livrer 143 logements dans un contexte toujours plus contraint, c’est continuer à construire partout où le besoin est là et pas seulement là où c’est facile et rentable », s’est félicité le président Gonzalez. Continuer la lecture de Crise du logement : « la bombe sociale est en train d’exploser ! »

Castelsarrasin – Les communistes planchent sur le bien-manger pour tous

Castelsarrasin - Les communistes planchent sur le bien-manger pour tous

Par Julien Sueres, le 16 Avril 2024

La section du parti communiste de Castelsarrasin et Moissac poursuit son projet d’université permanente. Le premier samedi de chaque mois, l’Espace Métais accueille une personnalité experte d’un sujet particulier. Samedi dernier, Magali Delfort, dirigeante associative, kinésithérapeute et naturopathe, a animé une conférence sur le bien manger. Entretien.

Pourquoi est-il important de bien manger ? Continuer la lecture de Castelsarrasin – Les communistes planchent sur le bien-manger pour tous

Léon Deffontaines : « Face à l’impératif écologique, il faut produire plus en France » + grand débat sur France24/RFI

Tête de liste PCF, Léon Deffontaines tient son premier meeting de campagne ce jeudi soir, à Amiens. Souveraineté industrielle, environnement, guerre en Ukraine… le communiste entend marquer sa différence avec les autres listes de gauche.

En 2014, l’entreprise Goodyear fermait à Amiens, malgré la lutte historique des salariés. Dix ans plus tard, ce sont les 300 salariés de l’usine biochimique Metex qui se battent pour leurs emplois. Menacés, entre autres, par la concurrence déloyale de la lysine chinoise (sur laquelle l’Europe a supprimé les taxes douanières), certains prendront la parole ce 11 avril, à l’occasion du premier meeting de la tête de liste PCF Léon Deffontaines, sur ses terres natales. Le communiste entend s’y adresser à la « France du non en 2005 » (contre le traité établissant une Constitution européenne). Entretien.

Pourquoi faites-vous de la souveraineté industrielle le cœur de votre campagne ? Continuer la lecture de Léon Deffontaines : « Face à l’impératif écologique, il faut produire plus en France » + grand débat sur France24/RFI

Quoi de neuf pour nos concitoyens à partir de ce 2 avril ? + vidéo

👉 L’inflation continue d’augmenter : le chariot test du journal La Voix du Nord dépasse les 150 euros (150,58). Un record ! Il était de 140 euros en 2023 et de 130 euros en 2022. À raison de deux chariots par mois pour une famille, chacun peut estimer la perte de son pouvoir d’achat. La tromperie de Bruno Le Maire sur le panier soi-disant garanti est énorme.

👉 Idem sur le prix de l’essence qui repart à la hausse. Plusieurs grandes surfaces mettent fin au 1er avril à leur opération prix coûtant. Le racket continue malgré toutes les annonces du gouvernement Continuer la lecture de Quoi de neuf pour nos concitoyens à partir de ce 2 avril ? + vidéo

Logement : faut-il un moratoire sur les expulsions ?

Le 31 mars, a pris fin la trêve hivernale ; 140 000 familles sont menacées de perdre leur logement. Les associations et les élus communistes demandent des mesures de protection pour les locataires et les plus démunis.

Face à la crise du marché de l’immobilier et aux prochains JO qui accentuent la pression sur les locataires, il faut instaurer une trêve olympique.

Ian Brossat, Sénateur PCF de Paris

En France, le spectre de la pauvreté frappe avec une intensité déconcertante, révélant ses multiples visages, parmi lesquels la privation de logement demeure l’une des expressions les plus criantes. À ce titre, la fin de la trêve hivernale sonnera le début d’une période redoutée, durant laquelle les forces de l’ordre pourront à nouveau procéder à l’expulsion des locataires en défaut.

La France a pourtant connu, l’an dernier, un triste record de ménages expulsés qui s’est ajouté aux 330 000 personnes sans domicile fixe et aux 2,6 millions de demandeurs de logement social. Ces chiffres ne sont pas de simples statistiques ; ils incarnent des vies bouleversées, des enfants déscolarisés et des familles brisées. En outre, la donne a changé. Désormais, la crise du logement ne se limite pas à un défi pour les plus démunis, elle interpelle l’ensemble des Français. Continuer la lecture de Logement : faut-il un moratoire sur les expulsions ?

Sport et alimentation, un enjeu pour tous (Samedi 6 avril)

 

L’université permanente de la section de Castelsarrasin, Moissac et du Pays de Serres poursuit son programme de conférences publiques. Le prochain rendez-vous portera sur les enjeux liés au sport et à l’alimentation. La conférence, ouverte à tous, sera organisée le samedi 6 avril de 10h à 12h30 à l’Espace Métais, rue de la Révolution à Castelsarrasin. Magali Delfort, responsable associative, kinésithérapeute et praticienne naturopathe présentera le sujet et animera la matinée.

« Les communistes défendent le « bien manger pour tous ». Plus qu’une question économique, l’accès à une alimentation de qualité est aussi une question sociale et de santé publique. Si l’on souhaite inciter de plus en plus de citoyens à consommer des produits sains et locaux, il faut évidemment qu’ils soient accessibles au plus grand nombre, même aux plus précaires, mais il faut multiplier également des initiatives d’éducation populaire et de sensibilisation. C’est ce que nous essayons de faire avec cette conférence », explique Maximilien Reynes Dupleix, secrétaire de la section locale du PCF.

 Contact presse : Julien Sueres – j.sueres@gmail.com – 07 62 27 36 23

F. Roussel: Le gouvernement mène une guerre sociale contre les plus pauvres (Vidéo)

Fabien Roussel invité des 4 vérités sur France2