
Décès de Yves Bru (PCF82)

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Après une semaine où le chaos dans les établissements a fait monter la colère, une large intersyndicale lance un appel à une mobilisation nationale jeudi 13 janvier.
C’est parti comme une traînée de poudre, au point que certains n’ont pas attendu l’intersyndicale du vendredi 7 janvier pour l’annoncer : la quasi-totalité des acteurs de l’éducation appellent à une grève nationale le jeudi 13 janvier.
Confrontée depuis des mois à une situation difficile, devenue totalement ingérable depuis la rentrée du 3 janvier avec le nouveau protocole sanitaire, censé accompagner le tsunami de contaminations engendré par le variant Omicron, l’école menace d’imploser à tous les niveaux et a décidé de dire stop.

Depuis le premier décembre, le service des urgences de l’hôpital intercommunal de Moissac a baissé son rideau entre 20 heures en soirée et 8 heures le lendemain matin. Cette décision, portée par l’Agence Régionale de Santé (ARS) et justifiée officiellement par une problématique de gestion des ressources humaines (un manque cruel de personnel imposant un redéploiement de celui-ci), a réussi à mettre vent debout la population de tout l’Ouest tarn-et-garonnais.
Une fois n’étant pas coutume, l’ensemble des élus et des représentants des corps intermédiaires (syndicats, associations) sont passés outre les clivages idéologiques et sociaux habituels pour dénoncer cette décision considérée comme inique, fragilisant encore davantage un accès aux soins déjà bien contrarié. Continuer la lecture de Moissac. Urgences de nuit : la mobilisation ne faiblit pas
Depuis le 1er décembre les urgences de Moissac sont fermées de 20h à 8h
Il ne subsiste plus qu’un équipage SMUR (médecin infirmier ambulancier) pour intervenir et transporter les patients à Montauban où les services sont déjà débordés, cet équipage basé auparavant à Montauban n’y sera donc plus.
S’il devait y avoir deux cas urgents en même temps sur l’une ou l’autre partie du département, il faudrait alors faire un choix entre les patients. Il est inadmissible que les moyens régressent alors que la population augmente.
Alors que la pénurie de médecins généralistes rend l’accès aux soins particulièrement compliqué, nos urgences ferment.
Cette situation intolérable est due au nombre insuffisant de médecins. Depuis plus de 20 ans, la situation se dégrade sans qu’aucun gouvernement n’ait pris les décisions adaptées en augmentant le nombre des médecins formés.
Les décisions nécessaires doivent être prises au plus vite par les ministères de la Santé et de l’enseignement supérieur supervisées par le premier ministre Castex.
Faire face à l’urgence en gérant au mieux la pénurie
Si besoin par des mesures contraignantes pour mieux repartir les médecins sur le territoire. En recrutant des médecins à l’étranger (ce qui en dit long sur le système de santé français qui a été le meilleur au monde). En faisant appel à la réserve sanitaire et toute autre mesure de nature à mieux prendre en compte les cas urgents.
Rouvrez nos urgences
Venez nombreux, rejoignez le Comité de Défense pour manifester votre volonté de voir rouvrir les urgences 24/24 à Moissac.
Rendez-vous le 08 Janvier 2022 à 10H00 devant l’hôpital
Signez nombreux la pétition initiée par le Comité de Défense sur
Chères adhérentes et chers adhérents
Vos vies , nos vies sont bouleversées par cette crise sanitaire qui perdure.
Cette période démontre, si besoin, en est la nécessité d’un service de santé public dimensionné pour répondre aux besoins de la population et c’est justement le moment choisi pour la fermeture nocturne des urgences et la mise en place du forfait urgence des plus injustes.
Mais il faut garder espoir en notre avenir, c’est pourquoi le Conseil d’Administration du Comité de Défense se joint à moi pour vous souhaiter bonheur santé et prospérité pour cette année 2022 qui débute.
Le COVID finira par nous laisser en paix mais il nous faut rester mobilisés dans la défense du CHIC et de l’offre de soins de proximité.
Alors je vous renouvelle nos vœux de bonne année et bonne santé et vous donne déjà rendez vous le 08 janvier à 10H00 devant l’hôpital pour exiger à nouveau la réouverture totale du service des urgences.
Je sais pouvoir compter sur votre engagement personnel.
Cordialement
Christophe Pealaprat, chef de projet de l’action régionale à l’Insee Occitanie, décrypte pour nous les derniers chiffres de la démographie du Tarn-et-Garonne. Notre département confirme son attractivité.
Sans discussion, les statisticiens de l’Insee classent le Tarn-et-Garonne dans les bons élèves s’agissant de la démographie. Au 1er janvier 2019, notre département comptait 260 669 personnes. Depuis, il a dû s’en rajouter quelques milliers assurément. « Sur les 6 années de notre étude (de 2013 à 2019), l’agglomération de Montauban à elle seule a gagné 1 000 habitants chaque année. Elle a dépassé Tarbes et au rythme qui est le sien (+1 %), Montauban peut espérer dans quelques années dépasser Sète », note Christophe Pealaprat, chef de projet de l’action régionale au service Etudes et diffusion de l’Insee Occitanie.
Même si la population du département croît à un rythme moins soutenu que dans les années 2008-2013, « il y a toujours une dynamique et pas seulement sur l’axe Toulouse-Montauban ». Le statisticien note aussi « de belles progressions sur les secteurs de Castelsarrasin et de Moissac ». Continuer la lecture de Recensement : « le Tarn-et-Garonne » selon l’Insee Occitanie (Les chiffres par communes) in DDM
NDLR de MAC: Indiscrétion de la DDM en image mise en avant. Il toujours temps de s’en apercevoir!
Nous l’avons dénoncé depuis plusieurs semaines, à Moissac l’équipe de campagne de Zemmour est la même que celle de Le Pen. Même personne, même idéal, mêmes méthodes….
M. Lopez est ainsi sorti de sa réserve en actionnant les 2 leviers de l’extrême droite dans la cité Uvale. Comment certains pourraient croire encore qu’il n’y a pas de collusion en observant la présence de ces 2 individus collant ensemble pour les deux têtes de l’hydre fascisante.
Piqué au vif
Bien sur la présence récurrente des affiches de Fabien Roussel a du piquer les yeux des sbires de M. Lopez qui n’a pas hésité à déployer son équipe d’hommes à tout faire. Sous la houlette du directeur à la communication de la ville, Bruno Delvoire) qui enfin passe de la théorie à la pratique, de l’ordinateur à l’affiche à coller, nous avons le sieur Achtaoui en train d’obtenir son CAP d’afficheur. Au moins au sortir de la séquence politique il pourra aligner un diplôme qualifiant valable sur le marché du travail. Les grands groupes (Publicis, Decaux et autres…) cherchent activement des professionnels et il devrait postuler!

Ainsi, alors que les militants communistes et leurs sympathisants collent en plein jour, au vu et au su de tout le monde, les sinistres lepénisto-zemmouriens préfèrent l’ombre de la nuit pour tenter de passer inaperçu… Heureusement que M. le Maire passait par là (et par inadvertance!) pour prendre la photo et tweeter de suite les exploits de ces messieurs.
On comprend mieux pourquoi M. Lopez a fait poser des panneaux devant chaque école pour communiquer sur les initiatives de la mairie dans la journée, laissant ainsi les rares panneaux « d’affichage libre » à la charge de ses élus et employés la nuit!
En fait, suite à leur collage de ce 19 décembre, Fabien Roussel est venu apposer son sourire, Le défi des jours Heureux » dans Moissac et aux alentours, jusqu’à Castelsarrasin en lieu et place des sinistres figures.
Et c’est mieux ainsi, plus coloré, moins anxiogène et nettement plus réjouissant en cette période de fête.
Enfin, pour ces messieurs, nous offrons un stage de confection de la colle, car à n’en pas douter la qualité de la leur fait défaut, comme il convient de préciser que coller par grand froid n’aide pas à « l’accroche » du papier. Preuve si il en est, l’arrachage citoyen constaté avant que nous ne collions à notre tour… Quand on n’a pas l’habitude!
Lire aussi:
M. Lopez/DDM: l’insoutenable légèreté des collusions (+vidéo)

Loin d’être opposés, les deux candidats imposent leurs thèmes dans le débat public et se font la courte échelle, comptant sur les réserves de voix de l’autre en cas de second tour.
« Je pense que la famille nationale a la possibilité de gagner. » Cette phrase, prononcée fin novembre par Marine Le Pen, résume l’ambition de l’extrême droite pour la prochaine présidentielle. La cheffe du Rassemblement national s’adresse alors à Éric Zemmour, lui proposant de la rejoindre à terme, compte tenu « du fait (qu’elle est) donnée à 46 % dans les sondages » au second tour. Jamais en effet les intentions de vote cumulées pour l’extrême droite n’ont atteint de tels niveaux – entre 30 et 38 % au premier tour, selon les études. Sans compter qu’Éric Zemmour « a contribué à aimanter les thèmes du débat politique dans le sens de l’extrême droite, d’abord chez LR mais aussi vers la gauche », note Philippe Corcuff, politologue et enseignant à Sciences-Po Lyon, auteur de l’ouvrage la Grande Confusion. Comment l’extrême droite gagne la bataille des idées (Textuel). Les deux candidats sont présentés en permanence comme des rivaux, avec une opposition personnelle savamment mise en scène, mais il semble plutôt qu’ils se nourrissent l’un l’autre.
« Ils sont concurrents, bien sûr, dans le sens où il y a compétition pour atteindre le second tour », concède Philippe Corcuff, rappelant que « ça a été tendu pour Marine Le Pen au début, car l’émergence de Zemmour l’a fait baisser dans les enquêtes d’opinion assez loin de Macron ». Avant de contrebalancer : « Mais, globalement, il y a des éléments dynamiques pour les deux candidats du fait de leur coprésence. » À l’un, les outrances, à l’autre, le visage plus « rassurant », comme l’admet elle-même la fille Le Pen : « La brutalité des propositions de Zemmour et son côté monothématique (sur l’immigration et l’islam – NDLR) démontrent que nous avons un projet complet, travaillé (…). Il me recentre et peut représenter des réserves de voix plus importantes que Nicolas Dupont-Aignan. » Le président de Debout la France avait été le seul à la rallier entre les deux tours de l’élection présidentielle de 2017.
Bruno Cautrès, politologue au Cevipof, nuance : « C’est vrai que si tous les électeurs potentiels d’Éric Zemmour se reportaient sur Marine Le Pen, ça ferait du monde. Mais les intérêts socio-économiques ne sont pas les mêmes. » De fait, les électorats sont sensiblement différents : « Plus féminin, plus jeune et plus populaire » pour l’une, « plus conservateur, proche de l’électorat du FN de Jean-Marie Le Pen » pour l’autre, poursuit Bruno Cautrès. Cependant, l’ex-chroniqueur du Figaro parle également à des électeurs venus de la droite traditionnelle, « pour les valeurs catholiques de droite, une frange de l’électorat Fillon », analyse le chercheur du CNRS. Le début de la campagne électorale, avec ses thèmes sur l’identité française rance et l’islam ressassés ad nauseam, marque une étape décisive : « L’emballement médiatique et sondagier autour de Zemmour l’a mis au centre et a légitimé ses thèmes, assure Philippe Corcuff, cela lui ouvre la possibilité d’aller chercher d’autres voix. » Entre les deux candidats, qui ne se portent certes pas une grande estime personnelle, les idées et les intérêts convergent donc.
Et leurs proches préparent le terrain. Olivier Ubéda, qui gère la communication d’Éric Zemmour, a annoncé, le 10 décembre, un débat entre les deux candidats d’extrême droite pour « janvier ou février ». « Le plus tôt sera le mieux », a-t-il précisé avant de poursuivre : « On est sur un premier tour, cela fait partie de l’éclairage démocratique, d’une campagne entre candidats qui veulent la même chose. » Un débat mais pas entre adversaires, donc. Pour la cheffe du RN, qui a assuré « y réfléchir très sérieusement », il s’agit de « rassembler » et de bénéficier à terme d’un bon report de voix venu du polémiste. Aucun des deux n’a intérêt à « injurier l’avenir afin de pouvoir se retrouver », analyse Bruno Cautrès. Fin novembre, lors de la visite éclair d’Éric Zemmour à Marseille, certains s’étaient étonnés de le voir accueilli par l’élu RN de la ville, Stéphane Ravier. Marine Le Pen avait alors confié : « Il faut bien qu’il y ait quelques élus qui soutiennent ma candidature et qui s’attachent à préparer le rassemblement le moment venu, soit avant, soit après le premier tour. » Le message est clair : l’extrême droite n’avance plus masquée.
Éric Zemmour, qui s’est invité à Abidjan pour Noël et multiplie les clins d’œil à l’armée, a dû réagir après l’ouverture de l’enquête sur ses soutiens s’entraînant au tir sur une vidéo en citant des insoumis ou encore Emmanuel Macron. Un « spectacle pitoyable » commis par des « idiots » , a estimé le candidat d’extrême droite, pour mieux renvoyer la balle aux antifas, prétendant que « la violence a toujours été du côté de l’extrême gauche, jamais du (sien) ». Le meeting de Villepinte a pourtant prouvé le contraire. Sandrine Rousseau (EELV) a également porté plainte après des dégradations à son domicile par des pro-Zemmour.
Deux soutiens du polémiste ont publié une vidéo dans laquelle ils tirent « pour de faux » au fusil contre la France insoumise, les « antifas » et les « bougnoules ».
Un nouveau cap dans l’ignominie. Après le youtubeur d’extrême droite Papacito, qui en juin se mettait en scène en train de tirer sur un mannequin symbolisant un électeur insoumis ou communiste, une nouvelle vidéo de militants identitaires affole la Toile. Révélée sur Twitter par le militant antifasciste Raphaël Arnault, on y voit un jeune homme répondant au pseudonyme de Miles Christi (« Chevalier du Christ », en latin), armé d’un fusil à gros calibre. « Aujourd’hui, on va s’entraîner à tuer du Garrido sauvage, il faut des grosses cartouches »,déclare-t-il face caméra, en référence à l’avocate Raquel Garrido, ex-porte-parole de Jean-Luc Mélenchon. Continuer la lecture de Des pro-Zemmour armés ciblent la gauche… A Moissac, collusions et confusions bien entretenues!
Alors que les annonces de fermetures de services et de lits se multiplient, dégradant toujours plus la prise en charge des patients, 80 syndicats, associations et collectifs d’usagers appellent à se mobiliser ce samedi à travers la France.
L’hôpital public se désintègre. » Ce samedi, plus de 80 associations, syndicats et collectifs appellent à manifester partout en France avant qu’il ne soit trop tard. Alors que la cinquième vague de Covid commence à déferler sur le pays, pas un jour ne passe sans que ne soit annoncée la fermeture d’un service d’urgences. En matière de dégradation de la qualité des soins, tous les indicateurs sont au-delà du rouge. Même le président de la commission médicale d’établissement de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), Rémi Salomon, n’a pas mâché ses mots le 12 novembre : « On est dans une situation où, dans quelques mois, on peut avoir un effondrement de l’hôpital. »

Ce 1er décembre à 20 heures, les urgences de nuit de l’hôpital de Moissac ont fermé sur décision de l’agence régionale de santé (ARS) et ce malgré la forte opposition de la population et des élus depuis près d’un mois. Une quatrième manifestation depuis le 9 novembre, a réuni ce mercredi soir plus de 250 personnes, à Moissac.
« Même si la fermeture des urgences de nuit est actée ce soir, le combat continue! », tient à assurer le conseiller régional communiste Rodolphe Portoles devant l’hôpital de Moissac où se sont encore rassemblées plus de 250 personnes, ce mercredi 1er décembre. Continuer la lecture de Tarn-et-Garonne : plus de 250 personnes encore mobilisées contre la fermeture des urgences de nuit de l’hôpital de Moissac in DDM + Florilège Photos

Le gouvernement manipule les chiffres du chômage en communiquant sur les offres non pourvues et le million d’offres sur le site de Pôle Emploi. En réalité, sur les 1 041 325 offres publiées ce jour sur le site de Pôle Emploi, seules 82 752 sont en CDI temps plein rémunérés au minimum au SMIC, soit à peine 7,95 %.
Sur notre département, 3 793 offres étaient en ligne sur le site de Pôle Emploi le 28 octobre 2021, mais seules 331 offres correspondaient à des CDI temps plein rémunérés au minimum au SMIC. Et seulement 4 de ces CDI étaient publiés par des partenaires privés de Pôle Emploi, soit 0,11 % . Continuer la lecture de Moissac: le Samedi 4/12, Guerre au chômage, pas aux chômeurs !!!