Castelsarrasin: communiqué du 1er tour (PCF)

Castelsarrasin le 20 juin 2021

Communiqué 1er tour

   

Avec 11,04 % des suffrages exprimés, le Binôme présenté par le PCF et soutenu par GDS et Ensemble a fait un score remarquable en étant le seul à progresser en nombre de voix dans une élection à l’abstention généralisée.

Nous remercions les électeurs et électrices qui dans un contexte difficile ont sauvé l’honneur de la gauche. Dans le canton de Castelsarrasin, ces élections permettent à la gauche, portée par des candidats communistes et syndicalistes, de redonner espoir à tous ceux qui se désespèrent de voir grandir l’influence des idées du Rassemblement National.

Pour autant rien n’est acquis et nous appelons d’ores et déjà à battre la droite et l’extrême droite réunies en les empêchant d’accéder à l’assemblée départementale, comme nous n’avons eu de cesse de le faire au cours de cette campagne.

Même éliminés, nous continuerons à porter les luttes des travailleurs dans les entreprises, les services publics. Nous lutterons aux cotés de tous pour l’école, pour préserver notre Hôpital, pour une santé de proximité, pour le droit à une retraite décente, pour le maintien d’une agriculture familiale, pour la préservation de notre environnement et de ses ressources.

Les communistes agiront avec vous, lutterons à vos côtés, solidaires pour plus de justice sociale.

 

Pour un Tarn et Garonne Social, Solidaire et Ecologiste, Per far un Tarn-e-Garòna social, solidari e ecologista,

Pour Alexandra Tricottet, Marie Line Cavaillé et Pierre Mayanobe (Candidats et Remplaçants sur le canton de Castelsarrasin)

Maximilien Reynès-Dupleix

 

Pour gagner: Quand les militants et militantes sont sur le terrain! (Album photo d’une campagne extraordinaire)

Les militantes et militants comme de nombreux sympathisants, des citoyens-nes, des amies, des voisins ont participé chacun à leur niveau pour faire de cette campagne des Départementales un vrai moment de combat pour des idées.

Qu’ils en soient toutes et tous remercié du fond du cœur… et même si le résultat n’est pas à la hauteur de nos espérances, nous aurons travaillé en bonne intelligence, avec l’enthousiasme qui nous caractérise ,en semant pour l’avenir!

Nous sommes cette force que d’autres nous jalousent car les femmes et les hommes qui la composent ne lâche jamais rien… Dimanche soir, nous serons encore présent à l’Espace Métais pour analyser les résultats et prendre les décisions qui s’imposent.

Honneur à celles et ceux qui se sont investis-es, honneur à celles et ceux qui ont participés-es, honneur à toutes et tous d’être là, présents et combatifs contre la droite et l’extrême droite et ses avatars locaux.

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Le 20 Juin : créer la surprise !

Dans une triangulaire qui oppose une fois encore les 2 têtes de liste des dernières municipales dans un face à face aux accents d’une partition jouée plusieurs fois, les forces citoyennes et communistes ne pouvaient rester en retrait.

Entre un LR soutenu par le RN, aux propositions démagogiques (mélange municipal, départemental et régalien…) et un sortant qui a appliqué durant 6 ans un programme néo-libéral, la gauche de Castelsarrasin se devait de porter une autre vision pour le canton, le département. Les communistes ont pris leurs responsabilités en désignant leurs candidats en toute démocratie.

Alexandra Tricottet, Marie Line Cavaillé et Maximilien Reynès-Dupleix, Pierre Mayanobe (Candidats et Remplaçants sur le canton de Castelsarrasin)

Après plusieurs appels, auxquels une partie de la gauche a répondu favorablement, c’est tout le peuple progressiste qui portant des valeurs humaines, solidaires et écologiques peut chambouler un scénario qui n’est pas écrit d’avance.

Pour nos candidats, avec la force militante qui s’est déployée, pas de shows avec vedettariat, pas de promesses sur papier glacé mais des rencontres quotidiennes, individuelles, de la conviction et l’agréable surprise d’un accueil intéressé et solidaire de nos concitoyens.

Notre candidature n’est pas « de témoignage », elle est étayée par des réalités locales qui nécessitent de redonner du sens à l’intervention citoyenne, à l’exigence de plus de démocratie, de transparence dans la conduite de notre département. Exigeants pour nous même, nous le sommes pour l’avenir de notre canton.

Avec une grande partie de la gauche déjà rassemblée, votez et faites voter le 20 juin 2021 pour ne pas laisser notre canton entre les mains de la droite et de l’extrême droite !

Avec Vous,

Pour un Tarn et Garonne Social, Solidaire et Ecologiste, Per far un Tarn-e-Garòna social, solidari e ecologista,

Soutenu par 


Liste des soutiens: Pourquoi nous, gens de gauche dans leur diversité, soutenons-nous ces candidatures au Conseil départemental ?

Je refuse de laisser mon canton aux mains du RN et de ses acolytes Angles et Beorchia, j’apporte mon soutien à la seule liste de gauche,

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G. Neupont: « Le Service Public hospitalier en Tarn-et-Garonne ne se réduit pas l’hôpital de Montauban ! » (Lettre ouverte)

Lettre ouverte à Emmanuel MACRON

Président de la République

et à

Christian ASTRUC

Président du Conseil Départemental Du Tarn et Garonne

Messieurs,

La presse s’est faite l’écho de vos projets pour l’hôpital de MONTAUBAN lors de la venue du Président de la République. Depuis, le directeur nouvellement nommé au CH de Montauban ou GHT du Tarn-et-Garonne n’a de cesse de se réjouir du projet en vue et attend avec impatience sa réalisation. Ces orientations sont sans véritable logique ni de service aux populations ni financière. Il faut pour cela résumer la population Tarn et Garonnaise à celle de Montauban et sa proche périphérie ?
En ce qui concerne la logique, il faut faire fi de la proximité de Toulouse, de son CHU, de ses douze établissements, de l’Oncopôle ainsi que de ses innombrables cliniques.

En tant que Président du Comité de Défense du Centre Hospitalier Intercommunal Castelsarrasin-Moissac (CHIC),  je dois vous  rappeler que le Centre Hospitalier de Montauban fait partie du Groupement Hospitalier de Territoires regroupant plusieurs hôpitaux et EHPAD du Tarn-et-Garonne, et en particulier le CHIC Castel-Moissac qui assure la couverture sanitaire d’une large partie Ouest du département ( environ 80 000 habitants), avec en particulier Urgences et Services chirurgicaux.

Le Service Public hospitalier en Tarn-et-Garonne ne se réduit pas l’hôpital de Montauban !

Ce qui est factuel et indiscutable :

  • L’hôpital hors de Montauban (10 km du centre, 11 min minimum) éloignera les plus fragiles du parcours de soins et entrainera des coûts de déplacement pour les malades,  leurs familles et les organismes de sécurité sociale qui n’ont pas besoin de ça. La puissance publique a laissé bâtir des logements (immeubles de rapport) sur les terrains nécessaires à la pérennité de l’actuel hôpital de Montauban sous la houlette de la mairie.
  • La construction de ce nouvel hôpital signera la fin des hôpitaux ruraux du département, l’argent des soins partira dans le carburant des ambulances et autres hélicoptères comme nous avions pu le constater dans le Gers avec l’hôpital d’Auch par exemple. Aucune vague promesse n’y fera rien.
  • En cas d’AVC ou d’infarctus du myocarde, les chances de survie baissent de 10% chaque minute d’attente de prise en charge, le délai d’acheminement à Bressols calculé au plus juste à partir de Moissac, après conditionnement du malade, est supérieur à 40 minutes ! Pensez aussi aux communes plus retirées.
  • Il parait incroyable que l’on trouve aujourd’hui… ou demain, des centaines de millions pour bétonner alors que l’on refuse de consacrer quelques dizaines de millions d’euros pour faire fonctionner et entretenir correctement les hôpitaux existants . Si le CHIC Castel-Moissac a bénéficié, il y a près d’une dizaine d’années, de la rénovation des Urgences et du Bloc Opératoire, ainsi que de l’installation d’un scanner  parallèlement à la suppression de la maternité, une rénovation des locaux dépourvus du confort minimal s’impose. Cet établissement est le pivot sanitaire d’un large bassin de vie du Tarn-et-Garonne, déjà déficitaire en nombre de médecins généralistes et spécialistes. C’est pourquoi l la population y est très attachée
  • Enfin, nous pouvons redouter que, pour mieux « essorer ce pognon de dingue » (argent public), nos gouvernants ne s’inspirent de l’épopée de l’Hôpital Sud Francilien, qui a dû servir de modèle à l’ENA.

Alors que la crise sanitaire qui frappe la population met en exergue les insuffisances de notre système public de santé, dont le délabrement est à l’actif de certains des promoteurs actuels de Bressols, qui le facilitèrent, ceux-ci tentent à nouveau d’imposer des décisions contraires aux intérêts des populations, tant ils aspirent à la mise en œuvre de grands chantiers.

En conclusion, avant de lancer cette machine infernale, montrez-nous ce dont vous êtes capables ; mettez toute votre capacité d’action pour faire nommer des praticiens et personnels hospitaliers en nombre suffisant à l’hôpital de Castelsarrasin-Moissac ; cela ne nécessite que la détermination et de l’engagement citoyen en sus des moyens financiers, somme toute, modestes devant le coût de la construction projetée à Bressols.

Dans le cas contraire, nous inviterions nos concitoyens à réserver leurs voix pour d’autres listes que celles qui vous sont proches.

Pour le Comité de Défense, son président

Gilles NEUPONT
Président du comité de Défense
de l’Hôpital Castelsarrasin Moissac

 

Les Roms bulgares, une population peu homogène et marginalisée in Regard-est.com

La minorité rom de Bulgarie a été partiellement intégrée sous le régime socialiste, marginalisée à partir du début des années 1990 puis davantage soutenue depuis l’adhésion du pays à l’UE. Aujourd’hui, elle peine encore à trouver sa place au sein de la société civile.


Dans un village près des Rhodopes occidentales.Les Roms sont l’une des deux principales minorités nationales de Bulgarie, avec les Turcs. Il ne s’agit pas d’une communauté homogène, mais de plusieurs groupes qui se distinguent par leur langue, leur religion, leur histoire et l’image qu’ils ont d’eux-mêmes. Selon les données du recensement de 2011, 325 343 personnes ont déclaré appartenir à cette minorité, chiffre qui sous-estime largement leur importance numérique, une partie d’entre eux préférant indiquer turque ou bulgare en tant qu’origine ethnique. Selon le ministère bulgare de l’Intérieur, la population rom avoisinait les 830 000 individus à la fin de 2008(1). Les tsiganologues bulgares estiment désormais qu’ils ne seraient plus aujourd’hui que 450 000 dans le pays. Les fortes migrations internationales pourraient expliquer ces différences d’évaluation(2).

Histoire des Roms en Bulgarie

La première vague de migration rom dans les Balkans a débuté au XIIIème siècle. À partir du XIXe siècle, alors que ces populations dites « yerliies » s’étaient stabilisées et sédentarisées sur le territoire de la future République de Bulgarie, cette contrée a connu une nouvelle vague migratoire tsigane, qui s’est prolongée jusqu’au début du XXème siècle. Les derniers arrivés ont conservé leur tradition nomade jusqu’au régime socialiste. Comme les Yerliis, ils ont évolué en marge de la société civile bulgare jusqu’en 1948, date à partir de laquelle leur situation a brutalement changé, avec l’obligation de scolarisation des enfants ainsi que le déplacement, la réinstallation et la sédentarisation des familles nomades. Mais l’étendue et la densité des quartiers roms s’accroissant progressivement, le régime a eu quelques difficultés à maintenir ses objectifs d’intégration. Au début des années 1990, le délitement de l’État et les difficultés économiques furent à l’origine d’une « remarginalisation » de la minorité tsigane (taux de chômage élevé, ghettoïsation, absentéisme scolaire…) Continuer la lecture de Les Roms bulgares, une population peu homogène et marginalisée in Regard-est.com

François Le Ménahèze : A quand des cours d’école qui se mettent au vert ? In Caf. Péda.

Comment retrouver une école dans un village, au cœur d’une ville ? Facile me direz-vous… Dans un village, on cherche la mairie et on trouve l’école. En effet, les premières écoles publiques ont très souvent été construites attenantes aux mairies.

Dans une ville, selon son importance, la tâche semble plus délicate. Mais non, facile là encore ! On cherche les plus hauts grillages, les quelques arbres qui ont singulièrement grandi depuis la naissance des écoles et on la trouve !

Remarquez, les clôtures, les arbres identiques et les surfaces asphaltées, on les repère partout aujourd’hui dans les cours d’école. Il faut dire quand même que ce n’est pas mal ! C’est sûr, c’est sécurisé, c’est aseptisé (encore que!?), les enfants reviennent propres le soir (exceptés quelques pantalons déchirés).

Ah j’oubliais : le carré de sable ! Le fameux bac à sable qui, là aussi, aux sacro-saints noms de l’hygiène et de la sécurité, ont progressivement disparu des cours d’école ! Mais quand va t-on arrêter cela ? Continuer la lecture de François Le Ménahèze : A quand des cours d’école qui se mettent au vert ? In Caf. Péda.

MAC, c’est 13 ans d’existence…

Moissac au Cœur, c’est déjà 13 ans d’existence et 3 ans avec la mouture actuelle….

Un bail si l’on s’en tient a la durée de vie moyenne des sites internet politique qui ne durent souvent que le temps d’une élection, voire deux… Mac est différent! Cela reste un site d’informations locales et un lieu pour passer des infos sur des thématiques sociétales et politiques.

Les 1471 abonnés-es semblent en tirer partie et prendre du plaisir à lire les sujets abordés. Il est temps de donner des chiffres pour comprendre la portée de ce site aux prétentions modestes.

En 3 ans donc

  • 160 794 vues

soit en vues

  • 4463/mois avec 27527 en AOUT 2020 au plus et seulement 112 en JUIN 2018
  • une moyenne de 148/jour avec 6606 le 14 MAI 2020 et seulement 3 le 4 JUILLET 2018

C’est aussi 1875 articles avec 3 contributeurs en permanence et plusieurs dizaines d’auteurs différents… Le tout est réparti en 34 catégories différentes. Les sujets de prédilection des lecteurs restent les questions locales comme la lutte contre le RN/FN, les sujets de l’école et de l’éducation, les articles sur les campagnes électorales, les dessins de presse, les débats sur l’écologie… Mais surtout les articles sur les luttes des salariés-es restent un sujet très apprécié.

Ce fut, il n’y a pas si longtemps, durant 2 ans 21 émissions politiques mensuelles sur Radio d’OC avec des invités-es sur des sujets de société très divers. Nous remettrons les podcasts en ligne bientôt.

Nous poursuivons l’aventure et lançons un appel pour élargir le champ des contributions écrites et/ou médias pour rendre plus vivant encore ce site.

Merci de nous être fidèle.

Pour le site Moissac Au Coeur

Maximilien

RN/LR/LREM…: La porosité des formations de droite par Guy Jamme

 

Dans le Tarn & Garonne, le RN a deux élus connus : Romain Lopez, maire de Moissac, proche de Marion Maréchal, et Thierry Vialon qui siège au Conseil régional d’Occitanie (NDLR de MAC: le 1er ayant réussi à écarter le second pour la tête de liste départementale aux régionales!). Cet hémicycle compte 38 Conseillers régionaux ex-FN devenus RN. Les 13 régions métropolitaines en totalisaient 358 mais 94 ont quitté ce parti (plus de 26%) en cours de mandat.

Bel exemple de respect des électeurs !

Romain Lopez prône l’union des droites : sur le canton de Beaumont, il dit soutenir la candidature D. Salomon-M. Dupont.

Force est de constater qu’il existe bien une porosité entre les formations de droite et d’extrême. Parmi les cinq têtes de liste RN aux Régionales qui sont issues de LR, figure Jean-Paul Garraud candidat en Occitanie. Vincent Terrail-Novès, maire de Balma, qui conduit la liste LREM a quitté LR en 2017.

Brigitte Barèges (LR) et Robert Ménard (proche du RN) ont publiquement affiché leur complicité. Ces passerelles se retrouvent ailleurs : Thierry Mariani ex-ministre sarkosyste et Sébastien Chenu, deux eurodéputés RN étaient membres de l’UMP/LR. Le député LR Guillaume Peltier, vice-président de son parti et également de son groupe à l’Assemblée nationale, a été membre du FN, du MNR de Mégret et du Mouvement pour la France.

 Guy Jamme

 

NDLR de MAC: Il existe encore des résistances mais pour combien de temps? Jean Luc Henryot (Moissac) et Mathieu Albugues (Pays de Serres), tous les deux LR ont refusé les offres du RN. A l’inverse, à Castelsarrasin, André Angles n’est pas insensible aux sirènes frontistes… A suivre!

Histoire. En quoi la Commune est-elle actuelle ?

Rappel des faits Il y a cent cinquante ans, l’expérience politique, sociale et culturelle de la Commune de Paris de 1871 nous montrait encore une voie démocratique inédite.

La lutte des classes

Louis Albert Serrut Auteur

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La Commune de Paris fut l’une des expériences les plus démocratiques qui ait existé dans l’époque moderne. Karl Marx écrit à son propos, dans la Guerre civile en France : « Son véritable secret, le voici : c’était un gouvernement de la classe ouvrière, le résultat de la lutte des producteurs contre la classe des appropriateurs, la forme politique enfin trouvée qui permettait de réaliser l’émancipation économique du travail. » Cet événement considérable, encore méconnu et diversement considéré en France, peut être lu différemment.

Une comparaison peut s’inscrire dans le temps long de l’histoire. À penser 1870 et 1940, il ressort le même sentiment d’une déroute, l’impression d’un gâchis, de sabotage, à laquelle la société française serait habituée. Et la nécessité chaque fois de devoir refaire, réparer la société. C’est ce que voulurent les Parisiens de la Commune comme les Français de la France libre. La similitude prend plus de consistance à la lecture de la lettre du colonel du génie Louis Rossel, datée du 19 mars 1871 (Franz Van Der Motte. Mourir pour Paris insurgé. Le destin du colonel Rossel. L’Harmattan 2001) : «Instruit par une dépêche de Versailles rendue publique aujourd’hui qu’il y a deux parties en lutte dans le pays, je me range sans hésitation du côté de celui qui n’a pas signé la paix et qui ne compte pas dans ses rangs des généraux coupables de capitulation… »

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Fermeture des écoles : enseignants et élèves se préparent à une parenthèse désenchantée

Depuis un an, rien n’a été fait pour éviter une nouvelle fermeture des écoles, ni pour préparer celle-ci. Qui, de fait, pourrait produire les mêmes effets que la première.

« Une forme de petite parenthèse au mois d’avril. » À entendre Jean-Michel Blanquer, le 1er avril sur RTL, on aurait presque cru qu’il parlait de ses prochaines vacances en amoureux. Mais non : il était bien question de l’annonce, la veille, de la fermeture pour quatre semaines des établissements scolaires, de la maternelle au lycée. Cette « petite parenthèse » dans ce qu’il a osé appeler « une année scolaire pleinement réussie », il est sans doute le seul à la voir sous cet angle.

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