#Roussel pour un vote plaisir et le plaisir est utile…
Mois : février 2022
Présidentielle 2022 : il ne vous reste plus qu’une semaine pour vous inscrire sur les listes électorales
Attention, il ne reste plus que quelques jours pour s’inscrire sur les listes électorales.
L’élection présidentielle approche. Le premier et le second tour auront lieu le 10 et le 24 avril prochains. Cependant, pour pouvoir voter, il faut être inscrit sur les listes électorales et une date butoir est fixée.
En effet, vous pouvez vous inscrire en ligne sur les listes électorales jusqu’au mercredi 2 mars. Si vous optez pour le formulaire papier, vous avez jusqu’au vendredi 4 mars. Pour ce faire, vous devez renseigner ce formulaire, puis le transmettre, avec les documents justificatifs, à la mairie. Pour cela, vous pouvez : soit l’envoyer par courrier, pour que la mairie le reçoive le 4 mars au plus tard (la date de réception faisant foi), soit le déposer sur place, le 4 mars au plus tard.
Il est possible de vérifier votre inscription électorale, connaître l’adresse de votre bureau de vote ou votre numéro national d’électeur grâce à ce service en ligne.
L’inscription sur les listes électorales est automatique pour les jeunes de 18 ans (sous certaines conditions) et pour les personnes obtenant la nationalité française après 2018. Si vous vous trouvez dans une autre situation (déménagement, recouvrement de l’exercice du droit de vote…), vous devez faire la démarche de vous inscrire.
Quels sont les documents demandés pour s’inscrire ?
Si vous vous inscrivez en ligne, vous devez fournir la version numérisée d’un justificatif d’identité et d’un justificatif de domicile de moins de 3 mois.
Si vous vous inscrivez en mairie, il vous sera demandé un justificatif d’identité, un justificatif de domicile de moins de 3 mois, ainsi qu’un formulaire cerfa n°12669.
Solidarité. De Paris à Tbilissi, les manifestations en soutien aux Ukrainiens fleurissent
Des rassemblements ont eu lieu partout en France, ce samedi. À Paris, des milliers de personnes se sont réunies, place de la République. Les organisations progressistes étaient présentes, tout comme la diaspora, venue en nombre.
« J’ai envoyé de l’argent et je suis ici. De toute façon, il n’y a que cela que je peux faire. » Comme des milliers de ses compatriotes, Yaroslav était présent, samedi, sur la place de la République à Paris. Arrivé avec plus d’une heure d’avance, comme une trentaine d’autres ressortissants, ce doctorant en physique témoigne : « Ma famille va bien. Ils ont vu des soldats russes mais la ville, Dnipro, près de Kiev, tient bon pour le moment ». Un peu plus loin, une jeune femme, à genoux et les larmes aux yeux, tient une pancarte et accuse : « World don’t stop Poutine ! » (Le monde n’arrête pas Poutine !). Au troisième jour de l’invasion russe, la communauté ukrainienne en France est encore sous le choc. Ils étaient plusieurs milliers à s’être rassemblés devant la statue de la République pour conjurer la communauté internationale d’agir. Continuer la lecture de Solidarité. De Paris à Tbilissi, les manifestations en soutien aux Ukrainiens fleurissent
Moscou souffle le chaud, le froid et l’atomique
Tandis que les pays européens promettent des armes à Kiev, Vladimir Poutine agite le spectre de la dissuasion nucléaire.
Plus les jours passent depuis le début, jeudi matin, de l’offensive militaire russe contre l’Ukraine, plus les vertiges de la mort saisissent le monde entier. Dimanche après-midi, Vladimir Poutine a franchi un nouveau palier dans l’escalade : au cours d’un entretien retransmis à la télévision avec son ministre de la Défense et ses chefs d’état-major, le président russe leur a ordonné de « mettre les forces de dissuasion de l’armée russe en régime spécial d’alerte au combat ». Un statut qui, insistent les dirigeants russes dans la foulée, renvoie à une possible « utilisation d’armes nucléaires ».
Le Kremlin justifie cette décision par les « déclarations belliqueuses de l’Otan », mais également par les sanctions « illégitimes » prises à l’encontre de la Russie. Continuer la lecture de Moscou souffle le chaud, le froid et l’atomique
Un quinquennat favorable au privé
Anciens élèves de l’enseignement privé, JM Blanquer et E Macron auront nettement aidé l’enseignement privé durant ce quinquennat. On se rappelle le bac donné par le privé hors contrat ou l’éducation prioritaire ouverte au privé. Mais la confirmation est donnée par la dernière édition de L’état de l’école, une publication du ministère, qui montre que les effectifs enseignants du privé ont augmenté nettement plus vite que ceux du public entre 2017 et 2020.
Plus de création d’emplois enseignants dans le privé
Selon la Depp, éditrice de cette publication annuelle du ministère de l’éducation nationale, les effectifs d’enseignants sont passés de l’indice 100 en 2008 à 104.8 en 2020 pour le premier degré du privé et de 100 à 99.6 pour le second degré. Pour le public l’évolution a été moindre. On est passé à 103.3 dans le premier degré et à 98.3 pour le second. Continuer la lecture de Un quinquennat favorable au privé
Electrices, électeurs de gauche, ne restons pas spectateurs !
Citoyennes, citoyens de gauche, militants soucieux de l’avenir de la biodiversité comme du climat, épris de justice sociale et de paix, ne restons pas spectateurs d’un grand cirque politique écrit en dehors du peuple et contre lui.
La France, ses conquis sociaux et démocratiques, son exception culturelle, son peuple si riche de sa diversité, qui tant de fois a répondu présent aux grands rendez-vous de l’Histoire, ne mérite pas l’affligeant spectacle qu’on lui impose à quelque quarante jours d’une élection décrétée majeure par les tenants d’un système qui agonise devant nous.
Sur cette pourriture pousse la haine, le racisme et la xénophobie la plus décomplexée. On n’avait rien vu de tel depuis les années 1930, avant que les forces de l’argent et une grande partie de leurs mandataires de droite ne se vautrent dans la collaboration. A force de ne jamais respecter ses engagements, de mépriser les gens de peu, de n’écouter que les puissants et leurs puissants intérêts, de s’inscrire dans les canons des traités libéraux européens renforçant les mises en concurrence, l’austérité, le dépeçage de nos atouts industriels et agricoles, de nos services publics et de notre exception culturelle, des forces politiques se sont discréditées. A force de promouvoir la rentabilité financière au premier rang de toute politique, de la protéger par des lois antisociales puis sécuritaires succédant aux lois d’urgence et scélérates, on aboutit à cette situation inquiétante dans laquelle nous n’avons plus un parti d’extrême droite mais deux, rivalisant dans l’ignoble.
Et voilà que la droite républicaine les copie dans une sorte de course dans l’abject et l’inhumain. Continuer la lecture de Electrices, électeurs de gauche, ne restons pas spectateurs !
Montauban: Mobilisation pour la Paix!
Vendredi 25 février à 18h devant la préfecture de Montauban
à l’appel de plusieurs organisations dont le PCF82
Et communiqué du groupe CRC région Occitanie
L’impossibilité de se comprendre et le rôle des communistes par Danielle Bleitrach (video de FABIEN ROUSSEL)
j’ai écris ce texte avant l’annonce du déclenchement militaire en Ukraine, mais en fait les événements lui donnent son relief, voici des mois que je sais ce qui est en train de s’enclancher, tant les Russes semblent convaincus de l’imminence de la guerre, de l’attaque occidentale. Nous publions des textes pour alerter… Mais les Français paraissent ailleurs. j’écrivais ceci et combien j’espérais des communistes; je viens d’écouter FABIEN ROUSSEL dans les quatre vérités, je publie son intervention et je ne regrette pas d’avoir comme je l’écrivais hier soit placé ma confiance en lui. Son combat pour la paix est le mien….
Jamais je n’aurai été aussi pessimiste et cela ne fait que grandir depuis des mois, je me débats, tente de tout quitter puisque je n’y peux rien. Pourquoi ? Parce que j’ai l’impression que personne n’entend le cri des Russes. Comment vous expliquer,? sinon en vous disant quelques réactions par exemple au texte de Ziouganov, qui est non seulement un communiste russe mais, qui à la tête du KPRF, semble lui-même un des rares capable de parler encore un langage entendu de tous. J’ai publié la traduction de Marianne sur un site intitulé “les francophones de Moscou” voici une réaction qui dit tout :
“Toute l’incompréhension résumée dans cette prise de position du parti communiste russe. Le logiciel de fonctionnement est si éloigné que les 2 camps ne peuvent pas se comprendre.” Continuer la lecture de L’impossibilité de se comprendre et le rôle des communistes par Danielle Bleitrach (video de FABIEN ROUSSEL)
Ukraine : « Non à la guerre, la France doit porter urgemment une offre de paix »
Le président russe Vladimir Poutine a annoncé dans la nuit le début d’une « opération militaire » russe en Ukraine. Nous condamnons cette grave décision dont les conséquences peuvent être incontrôlables.
Poutine prend ainsi la responsabilité du déclenchement de la guerre et de l’embrasement de l’ensemble de la région. L’Ukraine vient de décréter la loi martiale.
C’est un échec pour tous car la sécurité de l’Europe, de l’Ukraine et de la Russie sont indissociables.
Le président russe s’enfonce dans l’ultranationalisme et avec son gouvernement et ses soutiens, il porte la responsabilité militaire — au mépris absolu des instances multilatérales et du droit international — de cette guerre.
La responsabilité collective revient aussi à tous ceux qui ont nourri le feu de la confrontation aux portes de la Russie en laissant entendre que l’Ukraine pouvait intégrer l’OTAN.
Ce désastre pouvait être évité. L’histoire jugera ; dans l’immédiat, il est indispensable de protéger les populations civiles des deux côtés de la ligne de front.
Le terreau que cette guerre offre aux nationalistes, aux extrémistes de tous bords, en Russie, en Ukraine, en Europe, qui poussent à la guerre, à la haine, à la soif de vengeance est inquiétant.
La France ne peut pas prendre part à ce conflit, ni directement, ni indirectement par l’intermédiaire de livraisons d’armes.
La France trouvera des appuis en Europe et dans le monde pour engager sans délai, sous égide de l’ONU, une initiative paneuropéenne extraordinaire, en toute indépendance de l’OTAN et des États-Unis, pour remettre toutes les parties autour de la table de négociations.
Il est nécessaire de porter fermement l’offre d’une conférence européenne de coopération et de sécurité collective incluant la Russie, pour parvenir à un règlement politique du conflit sur la base du contenu des Accords de Minsk et des principes de sécurité collective.
Le PCF est solidaire de toutes les forces de paix, en Ukraine, en Russie et en Europe qui se lèvent contre la guerre. Nous prendrons toute notre place dans les initiatives pour la paix qui pourront être prises dans les prochains jours.
Fabien Roussel, candidat à l’élection présidentielle,
Le 24 février 2022.
Défendre l’industrie en donnant de nouveaux pouvoirs aux salariés
Délégué syndical durant de nombreuses années au sein de l’entreprise de céramique Villeroy et Boch à Valence d’Agen, Franck Cimpello appelle à voter #FabienRoussel. Pour lui, donner de nouveaux pouvoirs aux salariés est un enjeu majeur des présidentielles.
En quoi l’industrialisation est une question qui doit trouver sa place dans le débat public ?
Franck Cimpello : l’industrie est essentielle pour nos territoires, ses emplois permettent aux populations de travailler et vivre dignement, et c’est un apport considérable pour l’économie locale. Ici à Valence d’Agen, Villeroy et Boch emploi plus de 250 personnes qui vivent aux alentours.
Pourtant l’industrie française va mal, on ne compte plus des fermetures et délocalisations. Les salariés ont un rôle à jouer ?
F.C : Un rôle important même ! Ici à Villeroy, nous avons un rapport de force favorable aux salariés qui nous permet de préserver les intérêts de l’usine, parfois à l’encontre des actionnaires. Dans d’autres usines en France ce n’est pas toujours le cas et on peut voir des drames comme avec les fonderies de la SAM dans l’Aveyron.
C’est pour ces raisons que tu appelles à voter Fabien Roussel ?
F.C : Oui tout à fait ! D’abord parce que son grand plan de ré-industrialisation du pays sera bon pour l’emploi et pour nos territoires, mais aussi parce qu’il veut donner de nouveaux pouvoirs aux salariés dans les entreprises. La meilleure façon de protéger nos industries de l’avidité des actionnaires, c’est de redonner du pouvoir décisionnel aux salariés qui seront toujours prêts à défendre leur outil de travail.