Le plus grave naufrage de réfugiés dans la Manche, mercredi, rappelle avec violence l’urgence de changer de politique migratoire pour la fonder sur l’accueil et la fraternité, quand le gouvernement et la droite montrent les muscles et fustigent avant tout les passeurs.
Jamais autant de réfugiés n’étaient morts en un jour en tentant de rejoindre l’Angleterre depuis la France. Mercredi, au moins vingt-sept personnes ont perdu la vie en pleine mer, au large de Calais (Pas-de-Calais), après être montées sur une embarcation de fortune. La plupart étaient des Kurdes originaires d’Irak et d’Iran. Des hommes, des femmes, et des enfants. Avant ce naufrage, le bilan humain depuis janvier était de trois morts noyés et quatre disparus dans la Manche. S’il vient d’augmenter spectaculairement, il n’a hélas rien de surprenant. De nombreuses associations alertaient depuis des mois sur l’imminence d’une tragédie d’une telle ampleur. Continuer la lecture de Calais. 27 morts en mer : après la honte et l’émotion, le besoin d’accueil





« Décolonialisme, islamo-gauchisme, communautarisme, promotion du transgenrisme : au nom de la diversité et de son corollaire pédagogique, l’inclusion, les idéologies ont pénétré le temple scolaire avec la complicité d’une partie du corps enseignant et par le biais des outils pédagogiques… L’institution est dépassée malgré la volonté du ministre de l’Education, Jean-Michel Blanquer, de lutter contre ces dérives ». 
Il y a une semaine Montauban a été le théâtre d’un triste évènement, un ancien militaire du 17rgp est mort à la suite d’une bagarre à la sortie d’un restaurant.

