J-15 pour s’inscrire sur les listes électorales ! ⌛️


🔎 Le saviez-vous ?

7,6 millions de français sont considérés comme mal-inscrits et 5,2 millions sont tout simplement non-inscrits.

Cela représente 25% des électeurs, soit 1 électeur français sur 4 qui ne pourra pas voter le 10 avril.

📌 Le 2 mars, il sera trop tard!

Il est possible de s’inscrire jusqu’au 2 mars en ligne et jusqu’au 4 mars inclus en mairie et par courrier. Après le 4, si vous êtes toujours mal-inscrit ou non-inscrit, vous ne pourrez plus faire entendre votre voix lors de l’élection présidentielle.

✊ J’agis en 5 étapes :

Si je ne suis pas inscrit :

ou :

Je télécharge et je remplis le formulaire Cerfa n°12669*02 : je me procure le formulaire.

  • 3/ Je transmets le formulaire accompagné d’un justificatif de domicile de moins de 3 mois et d’un justificatif d’identité.

Si je suis inscrit :

  • 4/ Je vérifie que ma famille et mes amis sont bien inscrits. S’ils ne le sont pas, je leur transmets le tutoriel pour s’inscrire sur les listes électorales : en cliquant ici.
  • 5/ Je partage l’image suivante sur les réseaux sociaux avec le hashtag #Roussel2022 et sur les boucles Whatsapp et Messenger.

Hugo, pour l’équipe de Fabien Roussel
http://www.fabienroussel2022.fr/

Jean-Luc Mélenchon : un « avenir en commun » soumis… à la bonne volonté du capital ? in ECO. & POL.

Oubliés le « bruit » et la « fureur » ! Désormais, Jean-Luc Mélenchon brandit avec fierté un brevet de respectabilité décerné par le président du MEDEF : « vous êtes prêt à gouverner », lui a confié Geoffroy Roux de Bézieux devant deux millions de téléspectateurs.

Gouverner, mais pour quoi faire ? Le programme du leader des « Insoumis » contient un grand nombre de propositions sociales et écologiques mais – à la différence du programme La France des jours heureux de Fabien Roussel qui consacre un chapitre entier aux moyens financiers d’atteindre six grands objectifs sociaux, écologiques et féministes – il est fort peu explicite sur les moyens de les réaliser.

Faute d’indiquer comment seront produits plusieurs centaines de milliards de richesses supplémentaires, la lecture de L’avenir en commun laisse le sentiment que ce programme n’est pas financé, qu’il s’agisse des dépenses publiques, de celles de la Sécurité sociale mais aussi de celles des entreprises. Pour y voir plus clair, on a consulté un document publié le 7 février sur le site melenchon2022.fr et intitulé Comment nous allons atteindre le plein emploi, qui a nourri le discours sur les questions économiques prononcé par le candidat en meeting à Montpellier le 13 février. Continuer la lecture de Jean-Luc Mélenchon : un « avenir en commun » soumis… à la bonne volonté du capital ? in ECO. & POL.

Présidentielle. « Les jours heureux ? Évidemment que ça me parle ! »

Aux côtés des communistes, de nombreux sympathisants rejoignent les comités de campagne de Fabien Roussel, le candidat du PCF à l’Élysée crédité pour la première fois ce vendredi de 5 % par un sondage. À Marseille, Hélène, une jeune vendeuse et ancienne syndicaliste étudiante, et Pascal, un travailleur social et militant associatif, ont décidé de franchir le pas.

Hélène@ Nicolas Cleuet

Hélène@ Nicolas Cleuet

Peut-on encore s’intéresser à une élection présidentielle en 2022 sans être un militant de longue date ? Si les Français, selon les politologues, sont encore assez peu dans le bain de la campagne, Hélène et Pascal, eux, ont franchi le pas. Ils en sont même devenus acteurs à part entière en rejoignant le comité des Jours heureux des 9 e et 10 e arrondissements de Marseille.

Comme tous les communistes avec lesquels ils s’activent pour faire connaître leur candidat, ils se sentent encourager par les « Oh les cocos ne lâchez rien ! » entendus à la sortie d’une station de métro, trois jours avant le meeting de Fabien Roussel dans la cité phocéenne. Eux, ont choisi de ne pas adhérer mais ils mènent campagne tambour battant comme « compagnons de route ».

Elle, a 27 ans. Ancienne syndicaliste étudiante, et malgré un master 2 en physique chimie, elle travaille comme responsable d’étage dans une boutique. Lui, est mandataire judiciaire à la protection des majeurs. « C’est juste le nouveau terme pour tuteur », précise-t-il, bonnet rouge vissé sur la tête, avec un accent qui ressemble à s’y méprendre au chant des cigales. Elle a trouvé la suite de son engagement étudiant auprès des communistes. « Au-delà de leurs idées politiques, ils sont toujours aux côtés des populations. Par exemple, quand des sections organisent du soutien scolaire, ça me parle », assure Hélène. Lui ne se définit pas comme communiste. « Je laisse ça à ma femme !, s’amuse Pascal, elle a une façon de penser, de réfléchir. Devant la télévision, elle ne peut s’empêcher de tout décrypter. » Continuer la lecture de Présidentielle. « Les jours heureux ? Évidemment que ça me parle ! »

Industrie : la bataille des programmes est lancée

Stratégie Le secteur se retrouve au cœur de la présidentielle, où s’affrontent des logiques économiques antagonistes : retour de l’État stratège à gauche, laisser-faire à droite.

Gilles ROLLE/REA

 

C’est l’une des rares vertus des crises planétaires : les thématiques autrefois jugées ringardes ou utopistes reviennent au centre du jeu. En 2012, tous les candidats à la présidentielle – Nicolas Sarkozy en tête – n’avaient pas de mots assez durs pour fustiger les « excès » de la finance, dont certains s’accommodaient très bien cinq ans plus tôt. Le krach des subprimes était passé par là. En 2022, c’est le thème de la « souveraineté industrielle » qui se voit accommodé à toutes les sauces, crise sanitaire oblige : depuis que notre pays s’est retrouvé fort dépourvu, privé de masques, de réactifs pour tests et de respirateurs, plus personne ne peut se mettre la tête dans le sable. Continuer la lecture de Industrie : la bataille des programmes est lancée

Appel des enseignants-tes à voter pour Fabien Roussel

La crise sanitaire a révélé et accéléré la crise de notre système éducatif malade des politiques libérales menées depuis tant d’années. Le ministre a amplifié l’individualisation des parcours scolaires, la concurrence entre élèves et entre établissements, la réduction de la dépense de l’Etat en matière d’éducation tout en livrant au secteur marchand des pans entiers de notre système éducatif.

Nous ne voulons pas voir le service public d’éducation devenir un service minimal, réservé aux familles qui n’ont pas d’autres choix. Notre société a besoin de former sa jeunesse, pour que les citoyennes et les citoyens de demain aient les moyens de comprendre le monde et d’agir pour le transformer. Face à la crise que nous traversons, écologique, économique, démocratique, nous voulons renforcer le service public d’éducation, pour qu’il puisse donner à tous les jeunes les moyens d’inventer des réponses nouvelles aux défis de l’avenir.

APPEL à VOTER

Nous voulons mettre l’éducation au cœur de la campagne présidentielle : construire un projet politique pour une école émancipatrice, avec toutes celles et ceux voulant y œuvrer, s’inscrivant dans un projet de transformation de la société.

Dans cette perspective, nous voulons engager sans attendre des transformations de l’école. Oui, dans un monde plus complexe où la connaissance qui s’enrichit tous les jours de nouvelles découvertes se voit concurrencée par des manipulations et des mensonges médiatiques, nous avons besoin de former davantage et mieux la future génération. Il faut plus d’école, et mieux d’école, pour relever les défis de notre siècle.  Oui, l’école doit être en capacité de permettre la réussite scolaire de tous les enfants quelle que soit leur origine sociale. Il faut en finir avec le dogme de la concurrence et le tri social. Oui, pour réaliser ces ambitions, nous avons besoin d’un service public, garantissant l’égalité de toutes et tous, sur tout le territoire.

C’est pourquoi, sans attendre :

Le temps de classe doit être allongé et l’école doit se faire à l’école. Comment lutter contre les inégalités, élever le niveau de formation, quand le temps de classe diminue depuis des années ? Fabien Roussel est le seul candidat qui a le courage de rompre avec cette logique de réduction du service public, en proposant de revenir à la semaine de 27h en primaire, de rétablir une semaine de 32h en moyenne au collège et de renforcer les horaires disciplinaires au lycée, sans augmenter le temps de travail des enseignant-es. Pour que ce temps supplémentaire soit utile à tous les jeunes, pour que ce qui se passe en classe ait du sens, les contenus et les pratiques doivent évoluer.

Nous, enseignantes et enseignants, personnels de l’éducation, nous n’avons pas besoin qu’on nous dicte des « bonnes pratiques »! Nous avons besoin qu’on nous donne les moyens de faire réussir tous les élèves en réduisant les effectifs, en rétablissant des groupes classe cohérents au lycée, en développant la formation initiale et continue, en nous plaçant au coeur de l’élaboration des programmes scolaires.

APPEL à VOTER

Le lycée professionnel ne doit plus être un choix par défaut : il forme à des métiers essentiels, dont notre société a besoin. Avec Fabien Roussel, nous faisons le choix de développer la formation professionnelle publique sous statut scolaire, en ouvrant des formations nouvelles, en permettant aux élèves qui en ont besoin de passer le bac pro en 4 ans au lieu de 3 par l’ouverture de CAP pour toutes les filières, et en indemnisant les lycéens de la voie professionnelle. L’État ne peut pas continuer à se défausser sur les entreprises, l’apprentissage et l’enseignement privé ! C’est à l’éducation nationale de former les citoyens de demain.

Il faut un plan de titularisation des personnels sous contrat, enseignants, AESH, personnels non enseignants, pour en finir avec la précarisation des métiers de l’éducation. Un recrutement massif d’enseignants doit être engagé pour leur redonner le temps nécessaire pour penser leur métier, leurs pratiques, pour repenser l’école. Mais comment trouver aujourd’hui les enseignants qualifiés dont nous avons besoin, alors que le métier est en crise? Sans réponse à ce problème, toutes les promesses resteront lettre morte. Fabien Roussel propose non seulement un rattrapage des salaires, mais aussi la mise en place d’un pré-recrutement sous statut de la fonction publique : c’est le seul moyen de renforcer durablement le service public.

Nous ne voulons plus de l’école du stress, de l’évaluation permanente et de la concurrence. Nous voulons reconstruire du commun. Parcoursup doit être abrogé. Mais pas pour le remplacer par un nouvel outil de sélection ! Le bac doit redevenir un diplôme national garantissant l’accès à une formation choisie dans le supérieur, et pour que cela soit effectif, il faut créer des places à l’université. Fabien Roussel propose l’ouverture de 4 nouvelles universités et le recrutement de 10 000 enseignants-chercheurs: c’est le seul moyen d’élever le niveau de formation et de qualification de toute la jeunesse.

APPEL à VOTER

Pour ouvrir une perspective de transformation de l’école, émancipatrice, nous votons et appelons à voter pour Fabien Roussel lors de l’élection présidentielle d’avril prochain.

Transformons l’école et relevons le défi des Jours Heureux

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Fabien Roussel donne un horizon aux jours heureux …

PRÉSIDENTIELLE Plutôt que le ruissellement cher à Emmanuel Macron, le candidat communiste a proposé, dimanche, le « “roussellement” pour lutter contre la vie chère ». À commencer par l’augmentation des salaires, qu’il a défendue devant plus de 4000 participants à son meeting.

Nicolas Cleuet

Le meeting du candidat communiste à la présidentielle n’a pas encore commencé que l’ambiance est déjà survoltée ce dimanche au parc Chanot, à Marseille. L’enthousiasme parmi les plus de 3 500 participants fait écho à la progression de Fabien Roussel, avec un premier sondage OpinionWay vendredi qui le crédite de 4 % d’intentions de vote. Il y figure à égalité avec Christiane Taubira et l’écologiste Yannick Jadot, devant la socialiste Anne Hidalgo (3 %), mais derrière l’insoumis Jean-Luc Mélenchon (10 %). « Oui, il y a du souffle, ça bouge, nous le sentons tous et nous voyons déjà comment, en quelques semaines, nous avons bousculé le débat », assure, dès son arrivée à la tribune, Fabien Roussel, dont le discours est retransmis en direct sur quatre chaînes télé. Dans l’équipe du candidat communiste, on se réjouit aussi de ce début de dynamique, tout en gardant les pieds sur terre. « On a encore une marge de progression très importante, mais la mayonnaise commence à prendre et c’est évidemment satisfaisant », souligne Ian Brossat, son directeur de campagne. Désormais, l’objectif est clair : « élargir, élargir, élargir ». Continuer la lecture de Fabien Roussel donne un horizon aux jours heureux …

PCF vs Medef : quels choix pour le prochain quinquennat ?

Face à face. L’un veut s’attaquer au coût du capital, l’autre au coût du travail. Pour l’Humanité, Fabien Roussel, le candidat du PCF, et Geoffroy Roux de Bézieux, le président du Medef, ont accepté de débattre de leurs propositions pour la présidentielle.

Débat entre Geoffroy Roux de Bezieux et Fabien Roussel, au siège du Medef à Paris, le 1er février. © Nicolas Cleuet/Hans Lucas.

Débat entre Geoffroy Roux de Bezieux et Fabien Roussel, au siège du Medef à Paris, le 1er février. © Nicolas Cleuet/Hans Lucas.
Nicolas Cleuet/Le Pictorium

Partage des richesses, fiscalité, protection sociale, réindustrialisation, temps de travail, écologie… Le candidat communiste à la présidentielle, Fabien Roussel, et le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, ont accepté de confronter une heure durant leur vision de la société et des grands enjeux des élections de 2022.

Crises sanitaire, sociale et économique… Les deux dernières années ont été marquées par une série de chocs. 2022 doit-elle être l’occasion de changer notre modèle économique ?

Geoffroy Roux de Bézieux Après les arrêts de production et les dispositifs mis en place, le résultat, à la surprise de tous, est que nous avons davantage de gens employés, plus d’entreprises et moins de faillites que prévu. Désormais, la transition écologique est la mère de toutes les batailles. Pour produire avec moins d’émissions de gaz à effet de serre, jusqu’à l’objectif de neutralité en 2050, nous avons deux solutions : moins consommer – une toute petite minorité défend cette ligne – ou parvenir, grâce à la technologie, à produire la même quantité de biens en émettant moins de CO2. La transition ­écologique réclame des efforts massifs d’investissement dont une partie doit être planifiée avec l’État. Cela va peut-être surprendre, mais le mot planification ne me fait pas peur, car nous avons besoin d’une vision à dix, vingt, trente ans. Continuer la lecture de PCF vs Medef : quels choix pour le prochain quinquennat ?

Enjeu de campagne. Le logement, la priorité oubliée du quinquennat

Dans son dernier rapport, rendu public ce mercredi, la Fondation Abbé-Pierre dresse un bilan critique de la politique de l’habitat menée par Emmanuel Macron. Cinq années caractérisées par le désengagement budgétaire.

Patricia, retraitée de 70 ans, vit dans un logement de 10 m2 pour un loyer de 680 euros. © Marta Nascimento/Rea

Patricia, retraitée de 70 ans, vit dans un logement de 10 m2 pour un loyer de 680 euros. © Marta Nascimento/Rea

C’est le plus gros poste de dépenses obligatoires, et son augmentation pèse lourdement dans le niveau de vie des Français : les 10 % les plus pauvres y consacrent même 40 % de leur budget. Le logement est pourtant le grand absent de la campagne présidentielle. Il l’était déjà en 2017. À l’époque, Emmanuel Macron, alors candidat, s’était contenté de promettre de « libérer » les contraintes pesant sur la construction et de « protéger » les personnes à la rue. Ce désintérêt a perduré tout au long du quinquennat. « Le logement n’a jamais été une priorité de l’exécutif au cours de ce mandat », souligne le 27e rapport annuel de la Fondation Abbé-Pierre (FAP), rendu public ce mercredi 2 février. Continuer la lecture de Enjeu de campagne. Le logement, la priorité oubliée du quinquennat

La Gamelle nous voilà ! Par Christian Eyschen de la Libre Pensée

Les « ralliements »de certains couramment appelés « retournements de veste » semblent être un sport à la mode. Ils ont tous un point commun, ils ne représentent qu’eux-mêmes et leurs « ralliements » ne sont que de la communication, c’est-à-dire du vent. Par contre, Ils déclament : « La Gamelle, nous voilà ! »

La palinodie actuelle : Tous les concussionnaires, en devenir ou déjà accomplis, retournent leur veste, changent de camp, se rallient pour des prébendes. Ils ont tous un point commun, ils ne représentent qu’eux-mêmes et leurs « ralliements » ne sont que de la communication, c’est-à-dire du vent. Par contre, ce qu’ils espèrent tous doit être sonnant et trébuchant. Ils déclament : « La Gamelle, nous voilà ! »

Côté cour : Guillaume Peltier (LR), Jérôme Rivière (RN), Gilbert Collard (apparenté RN) déclament qu’ils se rallient à Eric Zemmour. Ils doivent tout à leur parti d’appartenance d’hier, ils ne sont rien par eux-mêmes. Pas même Gilbert Collard qui confond le potentiomètre de son haut-parleur avec la force des arguments. Une seule boussole : toujours plus à l’extrême-droite. Ils ont la conviction d’un mollusque, seuls comptent leurs intérêts personnels. Ils mordent la main qui les a nourris. Ils crachent aujourd’hui sur ce qu’ils ont encensé hier.

Il n’est même pas sûr qu’en définitive cela nuise beaucoup à Marine Le Pen et profite à Eric Zemmour, tout cela va se retourner comme une veste assez rapidement. Les gens n’aiment pas les traitres.

« NDLR de MAC: notre leader maximo local, notre potentat RN, notre girouette Lopez, s’interroge à haute portée de tweet sur la conduite à tenir vis à vis de Marine Le Pen et prépare son ralliement à Zemmour comme ses affidés… Sa seule boussole est le maintient des privilèges des nantis…. Il attend que les vents mauvais tournent pour :

Le temps de la clarification arrive et cela ne profite jamais aux clercs-obscurs Continuer la lecture de La Gamelle nous voilà ! Par Christian Eyschen de la Libre Pensée

VIDÉO. Fonctionnaires, salariés du privé, retraités, tous exigent de meilleurs salaires

Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté ce jeudi 27 janvier pour revendiquer une hausse des salaires, à l’occasion d’une journée de mobilisation interprofessionnelle. L’Humanité était aux côtés des manifestants, au sein du cortège parisien.

Vidéo par Franck Cartelet 

Les Français en ont ras-le-bol d’être sous-payés. Employés du secteur privé, fonctionnaires, retraités, étudiants et lycéens…Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté en France ce jeudi 27 janvier, à l’appel des syndicats CGT, FO, FSU et Solidaires et de plusieurs organisations de jeunesse, pour cette journée d’action interprofessionnelle pour les salaires.

Au cœur des revendications figurent, notamment, l’augmentation du Smic et du point d’indice de tous les salaires, allocations et pensions de retraite, alors que l’inflation pèse de plus en plus lourd sur les dépenses quotidiennes (près de 2,8% supplémentaires entre décembre 2020 et décembre 2021). L’Humanité était aux côtés des manifestants, au sein du cortège parisien, qui a vu défiler près de 20.000 participants selon la CGT. Continuer la lecture de VIDÉO. Fonctionnaires, salariés du privé, retraités, tous exigent de meilleurs salaires