Cet ouvrage collectif, publié à l’initiative de la FSU, explique que l’entraînement syllabique ne pourrait qu’être un obstacle à l’ouverture aux pratiques culturelles essentielles de l’école, aux enjeux sociaux et politiques majeurs. Pourtant, les difficultés de lecture dont souffrent quantité d’élèves ne retiennent pas l’attention de ses auteurs.
Apprendre à lire. Une pratique culturelle en classeSous la direction de Paul Devin et Christine PasserieuxL’Atelier, 96 pages, 16 euros
Publié à l’initiative de l’Institut de recherche de la Fédération syndicale unitaire (FSU), et sous la direction de Paul Devin et de Christine Passerieux, cet ouvrage développe la thèse suivante : « L’obsession de l’entraînement syllabique et de l’augmentation de la fluence a fini par créer des repères de réussite qui renoncent aux véritables enjeux de l’apprentissage de la lecture. »