Dans la forêt, règne un microclimat : plus frais l’été, moins froid l’hiver. Un microclimat qui pour l’instant tempère le réchauffement du macroclimat.
Se promener en forêt dans la chaleur de l’été permet de se rafraîchir. Ce que l’on sait moins, c’est qu’il fait aussi moins froid l’hiver dans une forêt que dans une zone dépourvue d’arbres. C’est ce qu’on appelle l’effet tampon ou isolant. Grâce à un réseau de plus de 1 200 capteurs répartis dans les forêts européennes, une équipe de recherche internationale s’est attelée à en établir pour la première fois une cartographie climatique montrant la différence de température entre la forêt et ses environs. Continuer la lecture de Écosystèmes. Le double effet clim et couette des forêts


« Lorsqu’on devient professeur, on devient fonctionnaire. Lorsqu’on est fonctionnaire de la République, on connaît les valeurs de la République et on les transmet », déclare Jean-Michel Blanquer le 19 octobre. « Si quelqu’un a un problème avec les valeurs de la République, ça peut être possible sur le plan démocratique, en tant que citoyen français, par contre ce n’est pas possible en tant que fonctionnaire de la République… Si vous devenez professeur, vous transmettez les valeurs de la République. Et si vous ne les transmettez pas et si même vous militez contre les valeurs de la République, éventuellement sortez de ce métier, parce que vous vous êtes trompés à un moment donné ». Et JM Blanquer précise encore la menace : « Cela n’a peut-être pas été assez clair dans le présent et le futur, au travers de la formation comme de la gestion de la carrière des personnes ».




Examinée en commission le 22 septembre, la loi Rilhac a vu la majorité faire bloc pour imposer un directeur d’école ayant autorité fonctionnelle sur les professeurs des écoles. « Il bénéficie d’une délégation de compétences de l’autorité académique pour le bon fonctionnement de l’école qu’il dirige. Il dispose d’une autorité fonctionnelle permettant le bon fonctionnement de l’école et la réalisation des missions qui lui sont confiées », affirme l’article 1 de la loi. En même temps la commission a retiré de la proposition de loi toutes les contraintes pour l’Etat. Les décharges ne sont plus fixées en fonction du nombre de classes mais en fonction de ce nombre et des « spécificités » de l’école, ce qui rebat les cartes.