
Après une semaine où le chaos dans les établissements a fait monter la colère, une large intersyndicale lance un appel à une mobilisation nationale jeudi 13 janvier.
C’est parti comme une traînée de poudre, au point que certains n’ont pas attendu l’intersyndicale du vendredi 7 janvier pour l’annoncer : la quasi-totalité des acteurs de l’éducation appellent à une grève nationale le jeudi 13 janvier.
Confrontée depuis des mois à une situation difficile, devenue totalement ingérable depuis la rentrée du 3 janvier avec le nouveau protocole sanitaire, censé accompagner le tsunami de contaminations engendré par le variant Omicron, l’école menace d’imploser à tous les niveaux et a décidé de dire stop.





Ce nouveau rebondissement dans la gestion de l’épidémie par le système éducatif est particulier. C’est le ministre de la Santé qui l’annonce et non celui de l’Education nationale. Et ça se passe par voie de presse, dans le Journal du Dimanche. Il n’y a rien au journal officiel (il ne parait pas ce 2 janvier), rien non plus du coté du ministère de l’éducation nationale , qui en reste
« Pour revenir en classe il faudra faire 2 tests à plusieurs jour d’intervalle », avait dit JM Blanquer

