Algérie/France : A une voix près, ou quand la démagogie prend le pas sur le débat politique de la Nation + video Huma

Cyprien Caddeo

Emilio Meslet

Avec le soutien des députés LR et Horizons, l’extrême droite a, pour la première fois, fait adopter un texte dans le cadre de sa niche parlementaire ce jeudi 30 octobre. Une résolution pour « dénoncer les accords franco-algériens du 27 décembre 1968 » aux forts relents xénophobes. Explications avec Cyprien Caddeo et Emilio Meslet, journalistes politique à l’Humanité.


L’analyse de Histoire et Société

Rarement on aura vu démonstration plus éclatante de l’incurie de la représentation nationale. Entendons nous bien, ce n’est pas seulement parce qu’il y a eu ce jour historique où pour la première fois, la droite se rallie au RN. Ni même parce que ce vote n’a aucune portée juridique et est un simple camouflet imbécile infligé à l’Algérie par des politiciens clientélistes. Mais parce que tout cela relève du commentaire de Brecht: « Le fascisme n’est pas le contraire de la démocratie mais son évolution par temps de crise. » quand le grand capital est incapable d’obtenir l’assentiment à sa politique par les voies ordinaires… Il est, nous le verrons à l’origine de l’accord de 1968 et face à la crise il est incapable de trouver une issue autre que la poursuite et l’amplification de celle qui a généré la crise… Son personnel est perdu… Les députés maroniens, leurs alliés et Macron lui-même avaient été élus en se présentant comme dépassant « les clivages » pour mieux être un rempart face à l’extrême- droite « On voit ce qu’il en est . Alors que Gabriel Attal lui-même avait déclaré en janvier qu’il fallait « poser des limites et assumer le rapport de force » avec l’Algérie, ni lui, ni la majorité présidentielle n’ont pris part au vote. Sur 92 députés du groupe Ensemble, 30 ont voté contre. Les autres se sont abstenus ou ont déserté l’hémicycle. mais voyons plutôt le détail de cet exploit de la classe politique française prise entre électorat et nécessité de protéger les intérêts de leurs bailleurs de fond. Continuer la lecture de Algérie/France : A une voix près, ou quand la démagogie prend le pas sur le débat politique de la Nation + video Huma

Une voix qui doit prendre de la force et qui est la seule perspective… (Videos)

Très bon discours de Cécile Cukierman . Oui la souveraineté nationale n’est pas un slogan mais une pratique concrète et à partir de là, il faut aller jusqu’au bout analyser ce qu’impose l’UE, l’impérialisme… Le socialisme à la Française n’est pas de sacrifier nos intérêts français, ceux de la classe ouvrière, mais penser notre « modernité », refuser d’en brader les atouts… en défendre la base comme les aciéries mais également en recréer les conditions du développement dans la nouvelle phase de développement avec les compétences intellectuelles, les savoir faire, les liens avec la recherche, les ingénieurs, les scientifiques, la formation, les salaires.. C’est un choix d’investissement massif et pas dans la guerre. C’est la prise en compte du terrain concret autant que des savoirs ne pas les opposer les concevoir dans une véritable prospective à terme sur l’immédiat mais aussi sur cinquante ans, une planification .. (note de danielle Bleitrach)



ArcelorMital :  le Sénat s’oppose à la nationalisation

Sans surprise, la droite sénatoriale a écarté une proposition de loi du PCF visant à reprendre en main les sites français du géant de l’acier. Le groupe a reçu 392 millions d’euros d’aides publiques en 2023 et prévoit la suppression de 636 emplois.

Au Sénat, les libéraux s’obstinent dans la croyance absolue dans le marché. Jeudi 30 octobre, les sénateurs ont largement repoussé une proposition de loi (PPL) du PCF visant à nationaliser les « actifs stratégiques d’ArcelorMittal situés sur le territoire national ». « Nous posons un constat simple, mais brutal : depuis vingt ans, ArcelorMittal a transformé notre acier national en un actif financier au service de ses actionnaires », tance la communiste Cécile Cukierman, alors que 636 emplois, dont 400 dans la production, sont menacés de suppression. Continuer la lecture de Une voix qui doit prendre de la force et qui est la seule perspective… (Videos)

Infertilité masculine et pesticides : un danger invisible ?

 

Par Marwa Lahimer, Chercheuse associée – UMR-I 01 Périnatalité & Risques Toxiques (Peritox), centre universitaire de recherche en santé, Université de Picardie Jules Verne (UPJV); Hafida Khorsi, Professeur des universités en microbiologie, PériTox – Périnatalité et Risques Toxiques – UMR_I 01, UPJV / INERIS, Université de Picardie Jules Verne (UPJV); Moncef Benkhalifa, Professeur de médecine et biologie de la reproduction, Cecos de Picardie, CHU Amiens Picardie – chercheur UMR-I 01 Périnatalité & Risques Toxiques (Peritox), centre universitaire de recherche en santé, Université de Picardie Jules Verne (UPJV) et Sophian Tricotteaux-Zarqaoui, Doctorant, laboratoire Périnatalité et Risques toxiques (UMR_I 01), Université de Picardie Jules Verne (UPJV)

Si on a longtemps considéré que l’infertilité était un problème purement féminin, on sait aujourd’hui qu’il n’en est rien. Selon certaines estimations, 20 % à 30 % des cas sont directement imputables à des problèmes touchant les hommes. En marge des facteurs liés aux modes de vie, un faisceau d’indices semble incriminer notamment certains polluants environnementaux, tels que les pesticides. Continuer la lecture de Infertilité masculine et pesticides : un danger invisible ?

Le RN propose une purge de 100 milliards (comme à Moissac)

J. Bardella a adressé récemment une « lettre aux entrepreneurs » où il explique aux patrons comment le Rassemblement national (RN) règlerait le problème du budget. C’est pas très compliqué, selon lui : Il faudrait « réduire la mauvaise dépense publique » de plus de 100 milliards d’euros (le même chiffre que François Fillon en 2016), un chiffrage sur cinq ans, dans la perspective où le RN arriverait à Matignon. (Les chiffres de contre-budget 2025 présentés jeudi dernier par ce parti s’inscrivent dans ce cadre). Continuer la lecture de Le RN propose une purge de 100 milliards (comme à Moissac)

2005-2025 : vingt ans d’abandon et de répression des jeunes dans les quartiers populaires

Après la mort de Zyed Benna et Bouna Traoré il y a vingt ans, le président Jacques Chirac avait rabroué son ministre Nicolas Sarkozy et ses discours stigmatisants sur les quartiers populaires. Aujourd’hui, ces propos sont devenus monnaie courante, de Bruno Retailleau à l’extrême droite.

 

Sombre nuit pour la République que celle du 27 octobre 2005. Zyed, Bouna et Muhittin tentent d’échapper à un contrôle de police à Clichy-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis. Les trois jeunes se réfugient dans un transformateur électrique. Cette cachette sera fatale aux deux premiers adolescents, âgés de 17 et de 15 ans. Le troisième est grièvement blessé. Dans la foulée, la ville connaît des émeutes, qui se répandent comme une traînée de poudre au-delà de la région parisienne. Plus de 500 communes sont frappées.

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90 000 emplois menacés : la purge du budget Lecornu dans le monde associatif qui impactera directement votre quotidien

Indifférent à l’alerte unanime lancée le 11 octobre par l’ensemble des acteurs du secteur, l’exécutif présente un projet de loi de finance qui leur promet un nouveau coup de sabre. Conséquence : 90 000 emplois menacés et la mise en péril de l’action sociale, culturelle, sportive ou encore de l’éducation populaire.

Les associations vont être durement et durablement impactées par le projet de budget de Sébastien Lecornu.

« Nous aussi on a le corps nu ! » pouvait-on lire sur une pancarte lors du rassemblement parisien des acteurs associatifs samedi 11 octobre. Sous le mot d’ordre « Ça ne tient plus ! », lancé par le Mouvement associatif, plus de 350 actions ont été organisées dans toute la France, rassemblant des milliers de citoyen.es, bénévoles et salarié.es, pour alerter sur la crise sans précédent qui frappe ce secteur.

Celui-ci compte 1,8 million de salariés – soit près de 10 % de l’emploi privé en France – et pas moins de 20 millions de bénévoles. Cette mobilisation inédite par son ampleur et par son aspect unitaire, traduit une inquiétude forte face au risque de faillite d’un nombre croissant de structures. En effet, 70 % des associations employeuses ont des fonds propres fragiles ou nuls et 30 % d’entre elles disposent de moins de trois mois de trésorerie.

Pour la première fois de son histoire, le Secours catholique devra licencier

Dans ce contexte, près de 90 000 emplois sont menacés à court terme car près de 40 % des associations doivent réduire leurs effectifs et 9 % mettent en place des plans de licenciements. C’est ce que vont vivre les employés du Secours catholique.

Pour la première fois de son histoire, cette association créée en 1946 va procéder au licenciement économique d’environ 150 salariés sur un total de 930. En début d’année, c’est une autre institution, APF France handicap, qui a vécu une saignée avec plus de 300 licenciements, victime de la flambée de ses coûts, notamment de l’énergie, sans compensation de la part des pouvoirs publics.

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Ce n’est pas sans conséquence sur le fonctionnement de cette association qui gère des établissements médico-sociaux et milite pour l’accessibilité universelle avec 15 000 salariés et plus de 3 000 bénévoles. « La réduction des budgets conduit au risque de créer de la maltraitance par manque de moyens, déplore sa présidente Pascale Ribes. Le manque d’accessibilité cloître les personnes handicapées chez elles ou en institutions. Du coup, on oublie que ce sont des citoyens et l’État ne prend pas en compte leurs besoins. Pourtant, 23 millions de Français sont concernés. »

Plus de besoins, moins de moyens : ce terrible « effet ciseaux »

Ces réductions d’activité impactent directement la vie des citoyens puisque 90 % des établissements d’accueil pour enfants handicapés sont gérés par des associations, tout comme la moitié des structures d’aide à domicile, 40 % des crèches, 30 % des Ehpad et même 10 % des hôpitaux. Or la moitié des associations ont vu leurs subventions baisser et 20 % d’entre elles ont subi des coupes brutales en 2025, notamment de la part des départements.

« Nous subissons un effet ciseaux, pointe Claire Thoury, la présidente du Mouvement associatif. Les chocs successifs (sanitaires, inflationnistes, etc.) ont augmenté la pauvreté, donc les besoins, et en même temps, la diminution de nos ressources nous empêche d’y répondre car nous sommes obligés de restreindre nos activités, surtout en ce qui concerne la solidarité avec les plus démunis. »

« Un mauvais calcul »

Sans surprise, ce n’est pas le budget présenté par Sébastien Lecornu qui va permettre aux associations de surnager. Bien au contraire. « Le projet de loi de finances 2026 montre que le rôle, pourtant essentiel, des associations et l’urgence de leur situation financière ne sont toujours pas pris en compte à la hauteur des enjeux. Nous avons fait le compte, en additionnant les nouvelles coupes budgétaires, on arrive à un milliard d’euros de moins que l’an passé », déplore Mickaël Huet, délégué général du Mouvement associatif.

Ainsi est prévue une baisse de 26 % des crédits du programme Jeunesse et vie associative, avec pour conséquence 40 000 postes de services civiques en moins. Ce dispositif avait pourtant été reconnu comme essentiel pour socialiser des jeunes en rupture ou en détresse psychique. Dans le même esprit, sont annoncées la suppression du dispositif Colos apprenantes, quand 3 millions d’enfants ne partent pas en vacances chaque année, et la diminution de 60 % des autorisations d’engagement pour la promotion du sport pour tous.

« Un mauvais calcul », selon Véronique Moreira, présidente de l’Union sportive de l’enseignement du premier degré (Usep), qui a fait les comptes : « Quand on supprime 1 euro au sport scolaire, cela engendre à terme une dépense supplémentaire de 13 euros pour l’État. »

Toujours au rayon des incohérences : alors que le discours gouvernemental prône la remise au travail à marche forcée des personnes privées d’emploi, le projet de loi de finances prévoit une réduction de 541 millions d’euros du budget dédié à l’insertion par l’activité économique et une amputation de 40 % de celui alloué à l’économie sociale et solidaire, incluant une forte réduction des moyens du dispositif local d’accompagnement (DLA) pour l’insertion socioprofessionnelle des personnes éloignées de l’emploi.

Toute la société attaquée

D’autres coupes relèvent de choix politiques très marqués à droite. Les pressions de l’extrême droite contre la solidarité internationale continuent de porter leurs fruits : après la suppression de deux milliards d’euros en 2024 (40 % des budgets totaux), une nouvelle coupe de 700 millions d’euros est prévue l’année prochaine.

De quoi désespérer Lucie Dechifre, directrice des programmes à Plan international France, une association de solidarité internationale qui lutte pour les droits des filles dans 60 pays avec une quarantaine de salariés en France. Elle dénonce « l’incidence de ces baisses qui s’inscrivent dans un mouvement global et qui vont amener à des catastrophes : déscolarisation, mariages forcés, renforcement du patriarcat ».

En France aussi les associations de défense des droits des femmes sont menacées par les coupes budgétaires. Sarah Durocher, présidente du Planning familial, s’inquiète : « Nous déplorons également des coupes de subventions consécutives à certaines de nos positions, notamment notre soutien au Nouveau Front populaire contre l’extrême droite lors des dernières élections législatives. Le Contrat d’engagement républicain, dont la signature est exigée pour l’obtention de financements publics, a été instrumentalisé pour tenter de nous faire taire, assure la militante. Ce chantage à la neutralité traduit un choix politique : celui de réduire les droits sexuels et reproductifs, restreindre l’éducation à la vie affective et sexuelle et au droit à l’avortement. »

Quand il est question de protection de l’environnement, ce sont les intérêts économiques à court terme soutenus par certains élus qui amènent parfois à la privation de ressources de certains acteurs associatifs. « Notre vocation est de protéger la nature contre les bétonneurs, les pollueurs et les gens qui enfreignent les lois de protection de l’environnement, explique Bénédicte Hermelin, directrice générale de France Nature Environnement. Grâce à notre gros réseau juridique, nous avons un taux de réussite de 80 % lors des procès que nous menons. Mais, quand on fait sauter le plan local d’urbanisme qui a été voulu par un maire, ou le schéma d’aménagement de la Maurienne, par exemple, nous subissons parfois des coupes de subventions en représailles, quand ce ne sont pas des dégradations de nos locaux par la FNSEA, les Jeunes agriculteurs et la Coordination rurale sous les yeux des forces de l’ordre qui laissent faire. »

Autre secteur sous la menace : celui des radios associatives, actuellement au nombre de 600 sur le territoire, pour lesquelles une réduction de 16 millions d’euros (- 44 %) du Fonds de soutien à l’expression radiophonique (FSER) est prévue.

Une attaque frontale contre la liberté d’expression que Théo Guitton, journaliste à RGB, la radio associative de Cergy-Pontoise (Val-d’Oise), décrypte avec dépit. « Aujourd’hui, avec la baisse du FSER, nous en sommes réduits à courir après les appels à projets. Certaines radios associatives n’ont plus le temps de faire des programmes de radio et de former des bénévoles : elles répondent à des commandes et remplissent des dossiers. »

Les associations transformées en prestataires

Ces vingt dernières années, la nature des subsides publics aux associations a changé. Les subventions de fonctionnement, ayant vocation à soutenir l’initiative citoyenne, qui représentaient 40 % des financements en 2010, ne pèsent que pour 20 % aujourd’hui. S’y sont substitués des appels à projets ou des commandes publiques transformant les associations en prestataires. C’est justement ce changement de paradigme qui a motivé la création en 2010 du Collectif des associations citoyennes (CAC), puis de l’Observatoire citoyen de la marchandisation des associations.

« Ce qui se passe aujourd’hui dans le monde associatif et qui nous mobilise n’est pas lié à une crise budgétaire. C’est le résultat d’un projet politique néolibéral qui veut soumettre le monde associatif à des logiques de marché et contrer toutes les logiques collectives qui peuvent se mettre en place », martèle Marianne Langlet, sa coordinatrice. Et ce alors même que les associations telles que définies par la loi de 1901 sont normalement dans une logique totalement différente d’interpellation des pouvoirs établis, qu’ils soient politiques ou économiques.

Pour le Mouvement associatif, « il s’agit de retrouver la vocation originelle des associations et de leur assurer un financement pérenne, si possible sanctuarisé dans la loi », assure Mickaël Huet. « L’enjeu est aujourd’hui de faire reculer la sphère marchande au profit des autres et cela ne peut être découplé du débat budgétaire actuel concernant la justice fiscale et sociale. Selon la Cour des comptes, les politiques de baisse d’impôts de 2018-2023 ont contribué à dégrader le déficit public avec un impact estimé à 62 milliards d’euros en 2023. Tant qu’on ne relégitime pas l’impôt et certaines formes de dépenses, les associations resterons le parent pauvre », conclut l’économiste Sylvain Celle. Enfin, le recul de l’âge de départ à la retraite aura forcément un impact sur le temps de travail bénévole ou militant, sur lequel s’appuient les associations qui font le tissu social dans notre société.

Numérique éducatif: La France, une posture éducative à part?

Manque de structure et autoformation versus ambition et proclamations politique. Méfiance et sentiment d’incompétence. Dans sa chronique, Bruno Devauchelle sonde la posture éducative de la France, écartelée et ambivalente ?

L’enquête TALIS 2025 peut inquiéter ou rassurer… Inquiéter car mettant la France en décalage (et non pas en infériorité…) avec les autres pays de l’OCDE ; rassurer car la France développe une forme d’exception culturelle (école sanctuaire ?) aussi pour ce qui concerne la scolarisation, les enseignants, les technologies etc. Ces deux pôles de notre réflexion sont à mettre en débat : devons-nous continuer de faire de l’école un à distance de la vie hors école, ou devons-nous poursuivre la compétition mondiale de la réussite scolaire. Continuer la lecture de Numérique éducatif: La France, une posture éducative à part?

La Terre se relance pour de nouveaux combats Par Patrick Le Hyaric

Pour une alimentation de qualité pour toutes et tous l’heure est à inventer un après-capitalisme. En effet les méfaits du capitalisme productiviste et extractiviste s’imposent de plus en plus dans nos assiettes et nos verres au détriment de la santé.

En détruisant par excès de chimie, abeilles et vers de terre, en gonflant les nuages de polluants divers, en répandant dans les rivières, les fleuves et les océans des millions de particules plastiques, c’est la santé humaine, animale et des sols qui est mise en cause alors que les moyens pour la santé, la protection sociale et l’environnement sont réduits. Continuer la lecture de La Terre se relance pour de nouveaux combats Par Patrick Le Hyaric

De quelques génuflexions devant l’enseignement catholique In Caf. Péda.

« L’action publique a vu sa situation se dégrader depuis trente ans, et la politique menée sous le mandat d’Emmanuel Macron n’a pas amélioré le sort du service public d’éducation » écrit Edmond Porra dans cette tribune. Pour le secrétaire adjoint du Snupden-FSU, « les établissements privés ne prospèrent pas seulement grâce au financement public : ils profitent également du définancement du public ». Quelques rappels d’actualité quand le budget de l’Etat est sous le feu des projecteurs. Continuer la lecture de De quelques génuflexions devant l’enseignement catholique In Caf. Péda.

« Macron est l’artisan du Chaos », F. Roussel

Macron, l’ingénieur du chaos ! Il est le responsable de la crise dans laquelle nous sommes. C’est la honte !