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Catégorie : Réflexions et Propositions
Pétition: TOUCHE PAS A MON INFIRMIÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE !
SI VOUS ETES :
COLLEGIENS, LYCEENS, ETUDIANTS, PARENTS, PROFESSIONNELS DE L EDUCATION NATIONALE ;
SOUTENEZ NOUS EN SIGNANT CETTE PETITION,
A MAINTENIR POUR NOS JEUNES,
POUR LEUR SANTÉ AU QUOTIDIEN,
DES CONSULTATIONS INFIRMIERES
(DIPLOMEE D ETAT, SOUMISE AU SECRET MEDICAL ET PROFESSIONNEL),
GRATUITEMENT, EN LIBRE ACCES AU SEIN DES ETABLISSEMENTS.
GRANDE MOBILISATION LE 26 janvier 2021 !
VENEZ NOMBREUX !
www.snics.org
Communiqué de presse SNICS-FSU du 17/12/2020,Décentralisation de la santé à l’Ecole, pour le SNICS FSU, c’est toujours NON !
Le SNICS FSU s’oppose au projet de loi 4D et plus particulièrement à l’annonce de décentralisation de la santé en milieu scolaire de l’Education nationale vers les collectivités territoriales faite par la Ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, sans dialogue social ni concertations.
Ce transfert de compétences ne permettra pas d’accroître la performance de la santé scolaire grâce à un pilotage départemental et nuirait gravement à l’objectif ambitieux posé par la loi pour une École de la confiance : celui de la réussite scolaire de tous-tes les élèves.
Dans l’entretien au journal « les Echos », la Ministre justifie ce projet en s’appuyant sur les compétences des collectivités territoriales en matière de santé et adhère à l’objectif de guichet unique en matière de santé en direction des jeunes.
Cette orientation va à l’encontre des politiques menées depuis plus de 40 ans qui n’ont eu de cesse de renforcer et de réaffirmer l’importance et l’impérieuse nécessité d’accroitre la responsabilité du Ministre de l’Education nationale en matière de promotion de la santé, et par là même l’adhésion et la participation de l’ensemble de la communauté éducative au premier rang de laquelle se trouvent les familles.
Ce projet ne rencontre pas l’adhésion des infirmier.es de l’Education nationale qui sont attaché.es au cadre ministériel et au caractère national de la santé à l’Ecole car ce cadre donne l’assurance d’une équité territoriale, et surtout répond aux besoins des élèves et de l’ensemble de la communauté éducative, traduits par 18 millions de consultations infirmières réalisées chaque année à leur demande.
Parce que la santé des élèves est un des déterminants majeurs de la réussite scolaire, la politique éducative sociale et de santé en faveur des élèves doit rester une mission de l’Ecole, colonne vertébrale de la République.
Le SNICS-FSU refuse un scénario de décentralisation de la santé à l’Ecole qui s’entendrait sur la totalité du champ, médecins et infirmier.es y compris dans les établissements scolaires.
Les infirmier.es de l’Education nationale doivent continuer à exercer au sein des établissements scolaires au service des élèves et de leur réussite, sous la responsabilité et la gouvernance du Ministère de l’Education nationale et non sous celle des départements.
Si leur rôle dans le cadre de la protection maternelle et infantile a toute sa pertinence, l’étendre à l’Ecole n’est pas « la suite logique » contrairement à ce que prétend la Ministre.
La santé à l’Ecole doit rester l’affaire de toute la communauté éducative, au service de la réussite scolaire.
www.snics.org
Non, la voiture électrique n’est pas écologique in Reporterre
[VOLET 1/3] Promue sans la moindre réserve par la classe dirigeante, l’auto électrique serait le véhicule « propre ». Or, comme le montre Reporterre dans une grande enquête, de la production des batteries à leur durée de vie, en passant par le renouvellement du parc , le poids des véhicules et leur usage, le caractère écolo de l’auto électrique n’a absolument rien d’évident. Premier volet : qu’en est-il des émissions de gaz à effet de serre ?
- Cet article est le premier d’une enquête en trois volets que nous consacrons à la voiture électrique.
C’est simple. Pour arrêter de polluer, il suffit de changer de voiture. Voici en substance le message que le gouvernement nous a adressé en mai dernier lors du lancement du plan de soutien aux « véhicules propres » assorti d’une enveloppe de huit milliards d’euros. Objectif : soutenir l’industrie automobile du pays et « inciter tous les Français, même les plus modestes, à se doter d’un véhicule propre, moins polluant et moins émetteur de gaz à effet de serre », avec des aides à l’achat d’un véhicule électrique avoisinant les 10.000 euros.
Les véhicules électriques émettent-ils réellement moins de CO2 que les voitures thermiques ? Depuis plus de dix ans, des équipes de recherche du monde entier en débattent à coups d’analyses de cycle de vie, ces études qui quantifient les conséquences sur l’environnement d’un objet depuis l’extraction des métaux nécessaires à sa fabrication, jusqu’à sa mise au rebut. Entre 2010 et 2019, au moins 85 études de ce type ont été réalisées sur les véhicules électriques par des instituts de recherche divers [1] !
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Discours du centenaire du PCF – jeudi 17 décembre 2020
Mesdames et Messieurs, Cher·e·s ami·e·s, Cher·e·s Camarades,
Nous voilà réunis pour célébrer les 100 ans d’existence du Parti communiste français.
A cause de la pandémie, du confinement, nous avons dû annuler de nombreux rendez-vous. Certains sont reportés en 2021.
D’autres sont maintenus, comme la superbe exposition d’affiches qui ont jalonné notre histoire, réalisée grâce au concours de la Fondation Gabriel-Péri, présidée par Alain Obadia et que vous découvrirez sur le net avec l’ensemble du programme.
Merci à Guillaume Roubaud-Quashie pour avoir piloté ces festivités.
Je remercie également, pour cet anniversaire exceptionnel, les membres de la direction du PCF présents en visio et ici physiquement en nombre restreint, Pierre Laurent, président du Conseil national, Marie-George Buffet, ancienne secrétaire nationale, les présidents de groupe à l’Assemblée nationale et au Sénat, André Chassaigne et Eliane Assassi, Patrick Le Hyaric, directeur de l’Humanité, mes collègues parlementaires, les responsables nationaux des organisations de jeunesse, Léon Deffontaines, secrétaire national du MJCF, les membres du comité exécutif et ceux du conseil national.
Merci à vous et bienvenue à toutes celles et ceux qui nous rejoignent.
Il n’est pas commun de fêter l’anniversaire d’un parti. Encore moins quand il a 100 ans. Et, entre nous, ces 100 ans, on ne les fait pas ! Continuer la lecture de Discours du centenaire du PCF – jeudi 17 décembre 2020
Les syndicats face à la départementalisation de la santé scolaire et des gestionnaires in Caf. Peda.
L’annonce par Jacqueline Gourault de la départementalisation de la santé scolaire et du passage des gestionnaires sous l’autorité partagée des départements a pris de court les syndicats. Ils nous disent ne pas avoir été consultés et avoir eu des assurances contraires du ministre de l’Education nationale. Le silence du ministre de l’éducation nationale devient insupportable.
Les infirmières contre la départementalisation
« On n’a pas été consultés », nous dit Saphia Guereschi, secrétaire générale du Snics Fsu le principal syndicat des infirmières de l’éducation nationale. L’annonce le 16 décembre par J Gourault, dans Les Echos, de la départementalisation de la médecine scolaire la surprend d’autant plus que JM Blanquer avait donné des assurances. « Le ministre lui-même nous a dit qu’il n’était pas favorable à cette éventualité et qu’il soutient le maintien de la santé scolaire dans l’Education nationale ». Apparemment le gouvernement passe outre l’avis de JM Blanquer. Continuer la lecture de Les syndicats face à la départementalisation de la santé scolaire et des gestionnaires in Caf. Peda.
Toulouse : l’inquiétude des enseignants pour 2021 in DDM + Communiqué FSU
Le ministère de l’Education nationale créé 50 postes supplémentaires pour l’académie de Toulouse à la rentrée 2021 dans le secondaire. Une dotation « illusoire », selon le principal syndicat Snes-FSU qui estime qu’une partie des postes sont en réalité des heures supplémentaires.
Alors que les enseignants du second degré (collèges et lycées) jonglent entre cours à distance et présentiel, enseignement en demi-groupes, protocole sanitaire, ils savent d’ores et déjà que la rentrée 2021 ne sera pas « rose ». La question des classes surchargées est récurrente, au collège comme au lycée, où les jauges sont de plus en plus souvent à 36 élèves, voire 37 élèves par classe.
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