Fabien Roussel: Le responsable du chaos dans le pays, c’est Emmanuel Macron

 


Le Président doit accepter le changement !

Publié le 31 août 2024

Désormais, il faudrait ensemble se mobiliser pour qu’ils ne soient pas, de nouveau, les grands absents d’un futur gouvernement. L’appel à manifester du 7 septembre prochain comme celui du 1er octobre, sera l’occasion de se faire entendre.

Nous en serons.

Nous en serons car nous ne serons jamais dans le camp du chaos et du désespoir.

Nous en serons pour combattre toute résignation individuelle, terreau de l’extrême-droite. Nous en serons car les politiques que nous entendons défendre au Parlement sont partagées par une majorité de Français au-delà de nos propres électeurs.

Voilà tous les leviers possibles, toutes les actions, les lieux de discussions envisageables pour faire respecter les messages issus des urnes, réparer notre pays en pesant sur les choix politiques de la France.

Les communistes, les élus communistes dans les collectivités comme au Parlement, seront plus que jamais combatifs et toujours constructifs.

Fabien Roussel, Secrétaire national du PCF
André Chassaigne, Député du Puy de Dôme, co-président de groupe GDR de l’Assemblée nationale
Cécile Cukierman, Sénatrice de la Loire, conseillère régionale, présidente de groupe CRCE-K du Sénat


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« Les moyens, ils les donnent au privé ! » : comment l’enseignement privé parvient à maintenir ses financements

Jusque dans leur dotation en heures d’enseignement par l’État, lycées publics et privés ne sont pas traités à égalité. C’est ce que révèle une enquête au long cours, publiée mardi 3 septembre par France Info.

 

C’est un élément de plus, et de taille, à verser au dossier déjà volumineux du financement public de l’enseignement privé sous contrat. Au terme d’une enquête de plusieurs mois, France Info a révélé, mardi 3 septembre, que l’inégalité de financement entre public et privé porte jusque dans le cœur du fonctionnement du système : la dotation horaire globale (DHG).

Sous ce sigle abscons se cache tout simplement le nombre hebdomadaire d’heures de cours que l’État finance dans chaque établissement. En rapportant cette dotation au nombre d’élèves du collège ou du lycée, on obtient le nombre d’heures financées par élève (H/E). En accédant pour la première fois à des données nationales pour tous les lycées, que le ministère se refuse à rendre publiques, l’enquête montre que ce taux est plus élevé dans les lycées privés sous contrat que dans les lycées publics. Continuer la lecture de « Les moyens, ils les donnent au privé ! » : comment l’enseignement privé parvient à maintenir ses financements

Lucie Castets : « La politique de Macron en matière éducative est un échec »

Choc des savoirs, manque de remplaçants, ministre démissionnaire… Une rentrée scolaire sous le signe de l’incertitude

Le 2 septembre, 12 millions d’élèves et 1 million de salariés vont retrouver l’école, profondément déstabilisée par des années de réformes réactionnaires et antisociales. Alors que le flou règne sur les conditions d’application du « choc des savoirs », le futur gouvernement ne pourra pas esquiver ses responsabilités.

Cette rentrée s’annonce « encore plus chaotique que d’habitude », avertit Zoé Butzbach, de la CGT-Éduc’action de Seine-Saint-Denis. Aux données de base que sont le déficit d’enseignants dû à la crise de recrutement, le manque de moyens général, la vétusté du bâti dans les grandes métropoles comme l’Île-de-France ou Marseille, ou encore l’état d’épuisement et de découragement d’un personnel durement maltraité ces dernières années, s’ajoute une nouveauté imprévue. On pense bien entendu à la désorganisation du système scolaire qu’entraîne l’absence concrète de gouvernance depuis qu’Emmanuel Macron a accepté, le 16 juillet, la démission du gouvernement. Pour l’école, avec une période estivale signifiant la préparation de la rentrée, les effets sont d’autant plus lourds que ce lundi 2 septembre doit être le premier jour de mise en œuvre du « choc des savoirs », cette réforme aussi importante par ses ambitions affichées que contestée dans ses modalités et ses finalités. Continuer la lecture de Choc des savoirs, manque de remplaçants, ministre démissionnaire… Une rentrée scolaire sous le signe de l’incertitude

Éducation : l’étrange rentrée de Nicole Belloubet

Au titre de la « continuité de l’État », la ministre démissionnaire de l’Éducation nationale, Nicole Belloubet, a présenté la rentrée 2024 avec une forme de détachement assez incongrue. Les syndicats ont annoncé, eux, un premier préavis de grève pour le 10 septembre.

 

La différence entre la rentrée scolaire et la guerre de Troie, c’est que la première aura bien lieu, même avec une ministre démissionnaire et un gouvernement censé se contenter d’expédier les « affaires courantes ». « Les sonneries des salles de classe ne se calent pas sur celles du Palais-Bourbon » a ainsi lancé Nicole Belloubet pour ouvrir la traditionnelle conférence de presse de rentrée, rappelant que les 12 millions d’élèves, leurs familles, et les 1,2 million de personnels, seront quoiqu’il arrive au rendez-vous du 2 septembre. Malgré tout on a senti, à certaines nuances de son discours, que son temps rue de Grenelle touchait probablement à sa fin. Continuer la lecture de Éducation : l’étrange rentrée de Nicole Belloubet

Premier ministre : après le refus d’Emmanuel Macron de nommer Lucie Castets, la gauche appelle à la mobilisation (video)

Le président de la République a annoncé lundi 26 août dans la soirée refuser de nommer Lucie Castets à Matignon. Depuis, la gauche est vent debout contre ce « déni de démocratie » et appelle à la mobilisation. La France insoumise et plusieurs organisations syndicales étudiantes ont d’ores et déjà appelé à « une grande manifestation contre le coup de force » d’Emmanuel Macron le 7 septembre prochain.

Les quatre formations du Nouveau Front Populaire ont d’autre part refusé de participer, mardi 27 août, aux nouvelles consultations lancées par Emmanuel Macron.

Lire aussi: communiqué PCF

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Voyage au cœur de l’Université d’été (2) Le off ou Comment agir pour la paix ?

Je m’étais trompée en croyant que la question du gouvernement avec la présence de Lucie Castets serait le centre des débats de cette université d’été…

Peut-être certains l’auraient-ils conçu ainsi mais le fait est que ce ne fut pas l’essentiel, et quand nous analyserons l’atelier animé par Léon Desffontaines sur la question de l’organisation du parti nous verrons encore mieux ce qui se joue entre l’ancien et le nouveau et que j’ignorais… J’avais même pensé être censurée parce qu’il fallait que ce soit la bataille pour un gouvernement du Nouveau Front populaire qui s’imposerait en tant qu’ordre du jour… Que certains aient eu cette orientation, c’est possible mais ça c’est passé autrement … Et même la censure, la tentative de poursuivre notre stigmatisation nous et les questions que nous posons, a perdu de son impact, d’abord dans nos têtes…

L’image qu’a encore pu donner à l’extérieur cette université est partiellement inexacte, la réalité de ce que pourrait être ce parti a débordé et la fraternité a vaincu quelques idées préconçues…

C’est un peu comme le festival d’Avignon, il y a eu le programme et le off qui débordait, vivait … Continuer la lecture de Voyage au cœur de l’Université d’été (2) Le off ou Comment agir pour la paix ?

Le SNUipp lance un appel aux parlementaires pour sauver l’école publique

Éducation Nationale: A qui profite le pacte ?

Lucie Castets : « Je proposerai un gouvernement resserré et une orientation claire » + Vidéo Roussel/Castets

Dans un entretien à l’Humanité, suite à sa rencontre avec Emmanuel Macron à l’Élysée , Lucie Castets défend la nécessité de faire des compromis du fait de la majorité relative. Mais sans céder sur les « priorités » insiste-t-elle. Elle répond également à la Macronie et la droite qui jouent le blocage en menaçant d’une motion de censure immédiate dans le cas d’un Gouvernement comportant des ministres issus de LFI.
Ce vendredi, la candidate du Nouveau Front populaire à Matignon s’adresse aux communistes depuis leur université d’été de Montpellier.

 

À l’issue de sa rencontre avec le chef de l’État vendredi matin, accompagnée des dirigeants du Nouveau front populaire, Lucie Castets relève une évolution dans la posture d’Emmanuel Macron. Pas encore au point que celui-ci ne la nomme à Matignon la semaine prochaine.

Mais, dans un entretien accordé à l’Humanité au sortir du rendez-vous avec le chef de l’État, la candidate de la gauche assure être prête : elle détaille les mesures qu’elle prendra sitôt nommée et ce que sera la pratique du pouvoir de son gouvernement.

Avec les chefs de parti et les présidents de groupes parlementaires, vous avez été reçue par le président de la République. Que lui avez-vous dit pour le décider de vous nommer à Matignon ?

Je ne cherche pas à convaincre le président de me nommer à Matignon. C’est la logique des institutions qui veut que le président de la République désigne une Première ministre issue des forces politiques arrivées en tête des élections législatives. Le Nouveau Front Populaire est arrivé en tête, et ce sont les organisations politiques qui le composent qui m’ont désignée pour diriger le futur gouvernement. Continuer la lecture de Lucie Castets : « Je proposerai un gouvernement resserré et une orientation claire » + Vidéo Roussel/Castets