
Délégué syndical durant de nombreuses années au sein de l’entreprise de céramique Villeroy et Boch à Valence d’Agen, Franck Cimpello appelle à voter #FabienRoussel. Pour lui, donner de nouveaux pouvoirs aux salariés est un enjeu majeur des présidentielles.
En quoi l’industrialisation est une question qui doit trouver sa place dans le débat public ?
Franck Cimpello : l’industrie est essentielle pour nos territoires, ses emplois permettent aux populations de travailler et vivre dignement, et c’est un apport considérable pour l’économie locale. Ici à Valence d’Agen, Villeroy et Boch emploi plus de 250 personnes qui vivent aux alentours.
Pourtant l’industrie française va mal, on ne compte plus des fermetures et délocalisations. Les salariés ont un rôle à jouer ?
F.C : Un rôle important même ! Ici à Villeroy, nous avons un rapport de force favorable aux salariés qui nous permet de préserver les intérêts de l’usine, parfois à l’encontre des actionnaires. Dans d’autres usines en France ce n’est pas toujours le cas et on peut voir des drames comme avec les fonderies de la SAM dans l’Aveyron.
C’est pour ces raisons que tu appelles à voter Fabien Roussel ?
F.C : Oui tout à fait ! D’abord parce que son grand plan de ré-industrialisation du pays sera bon pour l’emploi et pour nos territoires, mais aussi parce qu’il veut donner de nouveaux pouvoirs aux salariés dans les entreprises. La meilleure façon de protéger nos industries de l’avidité des actionnaires, c’est de redonner du pouvoir décisionnel aux salariés qui seront toujours prêts à défendre leur outil de travail.






Partout, nous avons porté les propositions pour la « France des Jours Heureux » que défend notre candidat Fabien Roussel, tout en jetant les bases de notre prochaine campagne des Législatives pour continuer à faire vivre l’Espoir avec nos candidats et surtout en commençant à dessiner le parti communiste de demain, celui qui ne renonce pas à la lutte contre le capital, celui qui fédère, rassemble dans les luttes comme dans les urnes…








