Rendez-vous massivement à 10h00 place des fontaines à Montauban Mardi 31 janvier pour imposer le retour à la retraite à 60 ans avec 37,5 annuités de cotisations….

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Avec 81,92 % des voix, une majorité d’adhérents du PCF ont choisi, en vue de leur congrès, le texte d’orientation proposé par la direction actuelle emmenée par Fabien Roussel plutôt que la proposition alternative.

Pas de séisme en vue au PCF
Appelés à voter ce week-end pour choisir leur texte d’orientation dans la perspective de leur congrès à Marseille début avril, les communistes se sont prononcés à 81,92 % des suffrages exprimés en faveur de la « base commune de discussion » proposée par la direction actuelle. Contrairement au dernier congrès de 2018, où trois textes alternatifs avaient été déposés et où l’un d’eux l’avait emporté pour la première fois de l’histoire de la formation, une seule proposition alternative était cette fois en lice – signé à la fois par les anciens secrétaires nationaux Pierre Laurent et Marie-George Buffet, des parlementaires comme Elsa Faucillon ou Stéphane Peu, des maires, des responsables locaux, et soutenu au total par un millier de militants. Ce texte, intitulé « Urgence de communisme – ensemble pour des victoires populaires », recueille 18,08 % face à « L’ambition communiste pour de nouveaux jours heureux », adopté en décembre dernier par le conseil national (CN) du PCF et soutenu par son secrétaire national, Fabien Roussel. En quatre ans, la majorité du candidat à la présidentielle s’est renforcée avec le renfort de certaines fédérations importantes comme celles des Bouches-du-Rhône (87 % pour le texte du CN), de la Gironde (92 %) ou des Hauts-de-Seine (66 %) tandis que la participation au vote s’est élevée à 70,79 %.
Parmi les 42 000 adhérents à jour de cotisations qui pouvaient participer au scrutin, Eugénie Graf et Michel Cucheval ont poussé la porte du local du PCF de Lille (Nord) vendredi soir, sur le coup de 17 heures. Ici, le texte du conseil national « au regard des discussions » avait de bonnes chances d’être « majoritaire dans la fédération », selon les pronostics de la secrétaire départementale du Nord, Karine Trottein. Et c’est l’option qu’ont choisie les deux militants, qui ont glissé leur propre bulletin dans l’urne après avoir confié les neuf enveloppes de vote par correspondance collectées dans l’après-midi dans leur cellule de Lomme, commune associée à Lille. La principale motivation de leur choix ? La question stratégique, sur laquelle les deux textes ne proposaient pas la même démarche, en particulier vis-à-vis de la coalition de gauche formée aux législatives.
« La Nupes est certainement un bon outil entre les mains des parlementaires pour harmoniser les votes de la gauche, mais sa création ne s’est pas faite avec la population », pense Michel Cucheval. « Enclencher un mouvement majoritaire et créer un rapport de forces doit se faire avec les victimes du capitalisme, poursuit ce prof de maths à la retraite, membre du PCF depuis 1973. Cela suppose un renforcement de l’activité du parti, essentiellement pour convaincre les abstentionnistes de voter et les électeurs du RN de revoir leur position. Cela prendra du temps et de l’énergie, mais c’est la seule voie. »
De son côté, Eugénie Graf, salariée en invalidité dans un centre d’appels, voit dans la Nupes « un outil ponctuel pour l’élection » : « Je ne tiens pas à ce que le PCF y fonde son identité. Notre projet économique est cohérent, ce que je ne retrouve pas dans d’autres formations. Le nucléaire est aussi un point de divergence. Et la valeur travail, à mon avis, est importante. Je ne suis pas contre le droit à la paresse, mais une fois qu’on a le travail. » Parmi les 87 inscrits de ce bureau, Martine Devynck, qui a longtemps travaillé à la mairie de Lille, fait à son tour son entrée. Elle vote également pour le premier texte, pas convaincue par « l’urgence » revendiquée par le projet alternatif, mais elle confie aussi quelques critiques. « Nous ne sommes pas les meilleurs, nous avons fait des erreurs. Sur le féminisme, les violences exercées contre les femmes, nous avons longtemps été à côté de la plaque. La prise de conscience vient un peu tard », estime-t-elle.
Autant de questions qui ont également traversé les échanges des communistes du 20e arrondissement parisien, réunis pour un débat de près de deux heures jeudi soir avant que sonne l’heure du vote. À la tribune improvisée, la responsable locale Raphaëlle Primet présente le texte du conseil national, qu’elle soutient, parce qu’il s’agit notamment, à ses yeux, d’être « à la fois unitaire et de mener le rapport de forces », pour apporter « une perspective à la colère de tous ces gens dégoûtés de la politique ».
À ses côtés, l’ancien secrétaire national Pierre Laurent, adhérent de la section, défend la démarche d’« Urgence de communisme ». « Bien que la société se pose la question du dépassement du capitalisme, notre niveau d’influence reste bas. C’est le grand paradoxe de la période. L’idée de communisme a été abîmée par le XXe siècle, nous devons en porter une vision nouvelle et la faire vivre au présent », expose-t-il, insistant sur le rassemblement, car, à défaut, « nous risquons soit que perdure la politique de Macron, soit la victoire du RN ».
Un point qui anime le débat. Dans la salle, Boris se dit ainsi favorable au texte du conseil national notamment parce qu’il « parle beaucoup plus de comment convaincre les gens plutôt que d’alliances », celles-ci condamnant à « toujours être pris dans la logique du vote utile », selon lui. « La situation est tellement urgente qu’on n’est pas dans une configuration où on peut se payer le luxe de se poser la question d’avoir un candidat à chaque fois et faire, peut-être, 5 % », estime, pour sa part, Charlotte, qui n’a envie ni « de se faire bouffer par FI », ni « d’un repli sur nous-mêmes ».
Partisans d’un texte ou de l’autre, les militants pointent aussi des questions à approfondir.
À l’instar de Nicolas, qui a choisi – comme près de 75 % des 129 votants de la section – le texte de la direction, qu’il estime porteur d’« une ambition à poursuivre avec enfin une visibilité » du PCF, mais qui voudrait voir davantage interrogé « le projet de société : quelles transformations de l’économie, quels nouveaux rapports de production, et comment on franchit le cap pour les obtenir ».
S’il affirme une orientation, le vote de ce week-end ne clôt pas les débats. La « base commune de discussion » choisie par les adhérents du PCF doit désormais être amendée d’abord dans les sections, puis les fédérations, courant mars, et enfin à Marseille début avril. D’ici là, un autre chantier doit s’ouvrir dès le week-end prochain avec un nouveau conseil national, notamment consacré à la révision des statuts du Parti.
NDLR de MAC : Malgré de fortes pressions plus particulièrement dans notre département et dans certaines fédérations, les communistes souverains et riches de leur pratique démocratique ont amplifié le vote du conseil national en votant massivement pour la base commune « L’ambition communiste pour de nouveaux Jours heureux » déjouant ainsi les pronostiques mortifères des « observateurs » qui mènent campagne contre le PCF et son secrétaire national depuis de longs mois. Un texte de base qui sera amendé, enrichi dans le cadre du processus menant au congrès de Marseille en Avril prochain. Maintenant au travail dans la clarté, le débat et l’expression des communistes!
Le communiqué National
Résultat du vote des communistes pour le choix de la base commune du 39e Congrès du PCF
Les 27, 28 et 29 janvier, 42 237 communistes à jour de leurs cotisations et ayant adhéré au PCF il y a plus de trois mois, devaient choisir le texte de base commune de discussion pour le 39e congrès du PCF.
29 898 de ces électrices et électeurs inscrit·es ont voté, soit 70,79 % des inscrit·es.
Il y a eu 686 bulletins blancs ou nuls, et 29 212 suffrages exprimés.
Cette participation montre la vitalité militante et démocratique du PCF.
La proposition de base commune adoptée par le Conseil national, « L’ambition communiste pour de nouveaux Jours heureux », a obtenu 23 930 suffrages, soit 81,92 % des exprimés.
Le texte alternatif « Urgence de communisme » a réuni 5 282 suffrages, soit 18,08 % des exprimés.
En application de nos statuts, le texte « L’ambition communiste pour de nouveaux Jours heureux » devient donc la base commune de discussion dont tou·te·s les communistes vont désormais se saisir pour la travailler, l’enrichir de tous les débats et du mouvement social en cours, des contributions et amendements. Ce travail, nous le mènerons avec l’ensemble des communistes lors de nos congrès de sections et de fédérations jusqu’au congrès national qui se tiendra du 7 au 10 avril à Marseille.
Paris, le 29 janvier 2023.
La commission de transparence des débats du 39e Congrès du PCF.
En Tarn et Garonne
Inscrits et à jour de leurs cotisations 196, votants 142 soit 72,44%
Blancs et nuls 5 soit 3,52 %
Exprimés 137 soit 96,47%
Texte 1: « L’ambition communiste pour de nouveaux Jours heureux » 80 soit 58,39%
Texte 2: « Urgence de communisme » 57 soit 41,61%

Projet de Base Commune L’ambition communiste pour de nouveaux «Jours heureux»

Patrick_Tort_sur_l_Avant_Garde
Le journal de la Jeunesse communiste est allé interroger Patrick Tort sur une question qui aurait dû faire bondir la classe politique. 27 % des jeunes semblent contester la science de l’évolution ! 19% estiment que « les pyramides égyptiennes ont été bâties par des extraterrestres ». 25% pensent qu’on « peut avorter sans risque avec des produits à base de plantes ». Etc.
Sur l’émission 28 minutes j’ai entendu la représentante de Regards, suivant le principe qu’il faut flatter les jeunes, prétendre que le phénomène ne mérite aucune attention. Ce serait des jeunes qui veulent se distinguer ! Or le phénomène ne touche pas que les jeunes ! J’ai encore devant moi un homme très sensé niant les crimes à Charlie Hebdo qui auraient été montés de toute pièce pour dénigrer les musulmans ! La preuve ? Personne n’a jamais vu les corps ! Il est donc heureux que Patrick Tort ait pu s’exprimer et il mériterait d’être sur le plateau de 28 minutes.
De l’entretien je retiens cette phrase qui signe le retour de la servitude volontaire : « Ces formes modernes de l’aliénation jouant sur le désir, le fantasme et la récompense symbolique ont contribué d’une manière décisive à convaincre leurs cibles humaines qu’elles n’obéissent qu’à leur liberté en choisissant d’adhérer à ce qui les asservit. »

L’année 2023 est importante pour les militants et militantes du Parti Communiste Français car nous allons tenir notre 39ème congrès. Par-dessus tout, souhaitons que ce soit une étape qui rassemble les communistes, et c’est avant tout pour cela que j’appelle à voter pour la base commune présentée par la majorité de la direction nationale. Le texte soutenu par Fabien Roussel et intitulé « L’Ambition Communiste pour de Nouveaux Jours Heureux ». C’est une base commune qui permet de nous rassembler autour des grandes idées qui nous sont chères, une base pour éviter le risque de la division, ou pire, du retour en arrière.
Elle propose au parti communiste de passer un cap.
Nous sortons depuis 4 ans de moments de crises importants, face à la pandémie, face la guerre, face à l’urgence climatique, face à la crise énergétique. Et puis nous avons mené tous ensemble une belle campagne des présidentielles. Nous avons fait le choix, nous les communistes, à 82% d’avoir un candidat à l’élection présidentielle. Aujourd’hui, certains camarades remettent en cause ce choix. Ils proposent un retour en arrière. Pour ma part, je crois au contraire que nous devons poursuivre le chemin emprunté depuis 4 ans avec un renforcement du parti, des cadres rajeunis dans beaucoup de nos grandes villes, départements et régions, une influence plus importante dans le débat politique qui nous permet d’avoir des rassemblements efficaces. Et nous avons posé un certain nombre de questions qui font écho à la société française. Nous sommes actuellement dans un mouvement de grève et de mobilisation important, contre la réforme des retraites.
Le rôle du parti, le rôle de Fabien Roussel a été très important pour que toutes les forces politiques de gauche agissent de concert pour soutenir l’intersyndicale et ne cherchent pas à le fissurer ou le devancer.
Cette question du rôle du parti communiste français est au cœur des débats que propose le texte de la base commune, d’un point de vue national, européen et international, et notamment sur le rapport du monde au travail. Ces jours-ci, c’est bien la France du travail qui a dit non à Emmanuel Macron, une France du travail qui regroupe les étudiants, les retraités, les privés d’emploi, les actifs du public et du privé, ceux qui habitent dans les grandes villes et ceux qui vivent dans les zones rurales et semi-rurales. C’est cette ambition que porte la base commune défendue par la direction nationale, et qui est proposée au choix des communistes, et c’est bien ce choix que j’espère les communistes feront massivement lors du vote ce week-end. Mobilisons-nous, allons voter et faisons voter le plus grand nombre de camarades pour assurer un résultat sans équivoque à Fabien Roussel et son équipe. L’heure n’est pas aux divisions, nous avons besoin d’un parti communiste fort, rassemblé sur des idées porteuses et qui poursuive le combat engagé depuis 4 ans.
Les 27, 28 et 29 janvier, votons ! Votons pour une ambition communiste et de nouveaux jours heureux !
La mairie de Paris fermera ses portes le 31 janvier prochain en signe de solidarité avec la nouvelle journée de mobilisation des opposants à la réforme des retraites.
« L’Hôtel de Ville de Paris sera mairie solidaire le 31 janvier » lors de la prochaine journée de mobilisation de l’Intersyndicale contre la réforme des retraites. La maire socialiste de Paris, Anne Hidalgo, en a fait l’annonce sur France 2 mercredi. Anne Hidalgo répond ainsi favorablement à l’appel lancé par le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel qui invite les édiles à fermer symboliquement les portes des mairies. La maire précise que certains services continueront de fonctionner mardi prochain, comme l’état-civil.
Regard de cartographe #19. Pour nouveau « regard de cartographe », Nicolas Lambert, ingénieur de recherche au CNRS en sciences de l’information géographique a choisi de revenir sur la réforme Borne-Macron des retraites. Il a décidé de traiter un des arguments qu’on nous répète sur tous les plateaux et sur tous les tons : on vit plus longtemps, donc il faut travailler plus longtemps. Et si on examinait cet argument ? En carto bien sûr.
Mardi 24 Janvier 2023
Alors que le monde du travail s’est retrouvé en masse pour défiler dans les rues partout en France jeudi dernier, Elisabeth Borne semble à ce jour s’entêter à mener à bien sa réforme des retraites pourtant rejetée par une écrasante majorité de la population.
Une réforme injuste et injustifiée qui s’inscrit dans une tendance européenne générale visant à faire travailler les gens plus longtemps. Car, on nous le répète sur tous les plateaux et sur tous les tons : on vit plus longtemps, donc il faut travailler plus longtemps. Et si on examinait cet argument ?
Jusqu’à quel âge vivons-nous aujourd’hui concrètement ? Selon Eurostat, l’espérance de vie à la naissance est de de 80,4 ans en 2020 en moyenne dans l’ensemble des 27 pays composant de l’Union Européenne (contre 80 en 2010). En France, elle est de 82,3 contre 81,8 en 2010.
Premier constat donc, cette réforme des retraites n’est pas justifiable par une augmentation récente de l’espérance de vie puisque celle-ci stagne en Europe, voire a tendance à régresser ces dernières années. Continuer la lecture de La preuve en cartes : en Europe, on fait travailler les gens jusqu’à ce qu’ils soient bon à jeter

A l’heure des choix, les communistes de Castelsarrasin revendiquent une continuité et un renforcement de l’orientation décidée lors du 38ème congrès.
En 4 ans et au sortir d’une séquence électorale difficile, la section PCF de l’ouest du département s’appuyant sur les décisions prises en 2018 a grandi, s’est structurée autour des luttes locales, s’appliquant à former les communistes et à redonner toute sa place aux militants.
Abattoir, Hôpital, Ecoles, santé (CSP), Paix, Marxisme, sont autant de sujets portés par la réflexion collective impliquant dans les actions chacun à la mesure de ses possibilités. Le texte proposé par le Conseil National renforce cette synergie et convient bien à nos pratiques. Des cellules revitalisées, une section qui réunit ses instances, des camarades isolés rencontrés pour animer des discussions indispensables, des entreprises tractées, des portes à portes réguliers…. Bref un PCF qui se rassemble, se retrouve et qui retrouve le sens des conquis sociaux.
Ici, chaque décision prise est partagée car discutée et en ce sens la séquence NUPES des législatives a laissé un gout amer par le refus hégémonique de la FI de coconstruire une campagne électorale que nous aurions pu gagner. La base commune « pour de nouveaux jours heureux », malgré les manques (écologie, paix, laïcité…) et les imperfections (stratégie) est l’outil nécessaire pour notre 39ème congrès. Nous travaillons d’ores et déjà aux amendements qui l‘enrichiront.
Maximilien
J’ai choisi

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Discriminations Dans son rapport annuel, le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes insiste sur la persistance des stéréotypes dégradants et des violences. Il souligne également l’ampleur du phénomène chez les plus jeunes.
L’impression de vivre dans une société que #MeToo a fait avancer dans le sens d’une plus grande égalité entre les sexes est trompeuse. « La situation est alarmante », souligne au contraire le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCE), qui a publié ce lundi son rapport annuel. « Le sexisme ne recule pas en France. Au contraire, il perdure et ses manifestations les plus violentes s’aggravent », constate cette instance, en se basant sur un baromètre réalisé auprès de 2 500 personnes. Alors que 93 % des Français reconnaissent l’existence d’une inégalité de traitement, les stéréotypes réducteurs et dégradants qui la nourrissent ne sont, eux, pas remis en cause. Continuer la lecture de Le sexisme, toujours plus ancré dans la société
CONGRÈS DU PCF Avant le rendez-vous d’avril, les communistes choisiront ce week-end leur texte d’orientation. Coordinateur de l’exécutif du parti, Igor Zamichiei détaille le contenu de celui adopté par le conseil national.
Les communistes ont rendez-vous à Marseille début avril pour leur 39e congrès. Mais, dès le week-end prochain, les adhérents du PCF voteront pour choisir leur texte d’orientation. Deux options sont sur la table. « L’ambition communiste pour de nouveaux jours heureux », adopté par le conseil national de la formation en décembre, sur lequel revient Igor Zamichiei. Et une proposition alternative, « Urgence de communisme – ensemble pour des victoires populaires », sur laquelle s’exprimera, mardi, dans nos colonnes, Nathalie Simonnet, secrétaire de la fédération de Seine-Saint-Denis.
À quels principaux enjeux doit répondre le congrès du PCF, selon vous? Continuer la lecture de Igor Zamichiei : « Nous voulons construire l’unité du salariat »