Les enseignants ont une géographie in Caf. Péda.

Nous ne dirons rien de vos destinations de vacances  ! Mais la Géographie de l’école nous dit beaucoup de choses sur les territoires des enseignants. Si l’éducation est nationale, tous les territoires de la République ne sont pas appréciés des enseignants de la même façon. Dans un métier où la seule vraie récompense avec l’ancienneté est la possibilité de choisir son établissement, la Géographie de l’école dessine les territoires des jeunes et des vieux professeurs.

 

Profs jeunes et plus âgés

 

Que l’on appartienne au 1er ou au 2d degré, les territoires des jeunes et des vieux enseignants sont à peu près les mêmes. Ainsi les jeunes enseignants se trouvent surtout dans le bassin parisien, le nord et l’est du pays.Ainsi on compte 37% d’enseignants du 1er degré de moins de 35 ans en Seine Saint-Denis, 30% dans le Val d’Oise. C’est encore plus accentué dans le 2d degré avec 44% d’enseignants de moins de 35 ans en Seine Saint Denis.

 

La carte des professeurs de 50 ans et plus comprend, outre Paris, la pointe bretonne, les départements littoraux et certains départements ruraux. C’est la Corse du Sud qui a le maximum d’enseignants expérimentés (47% ) dans le 2d degré, suivie de la Haute Corse (43%), des Pyrénées atlantiques, du Finistère et de Paris (42%). Continuer la lecture de Les enseignants ont une géographie in Caf. Péda.

Départementales : ces résultats encourageants pour le PCF dont personne ne parle par R. Martelli in Regards.fr

Une étude attentive de la distribution cantonale des binômes permet d’affiner les premières analyses et de les corriger en partie. Portrait plus précis d’une élection bien particulière, de ses vérités… et de ses pièges.

Le rapport des forces général

Les premières analyses, dès le lendemain du second tour, se fondaient sur les résultats des binômes tels qu’ils étaient enregistrés officiellement. Les données ci-après sont fondées sur une analyse canton par canton, en tenant compte de l’étiquette politique de chaque membre des binômes vainqueurs.

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Élections régionales et départementales : les faux-semblants

La distribution des sièges reflète le rapport des forces enregistré au premier tour et confirme la stabilité relative du rapport des forces entre droite et gauche sur le plan cantonal. La gauche recueille un gros tiers des sièges et la droite près des deux tiers.

Ce butin départemental en sièges est allé pour l’essentiel dans l’escarcelle des forces déjà localement installées. Le PS, les radicaux et les « divers gauche » sont à la tête d’un peu plus de 1100 sièges de conseillers départementaux (sur 1400 environ pour toute la gauche), les Républicains, l’UDI et les « divers droite » de 2200 sièges (sur 2500 pour toute la droite).

Le RN et les partisans du Président se contentent des miettes, même si le centre se conforte légèrement entre 2015 et 2021. Quant au RN, il diminue par deux son maigre capital précédent. On notera toutefois que, si la mouvance des socialistes et des Républicains se porte bien, ce sont les « divers droite » et « divers gauche » qui bénéficient des mouvements internes aux deux camps. Comme si LR et PS devaient mettre de côté leur étiquette pour maintenir leurs positions respectives.

Quant aux Verts, ils triplent tout de même leur représentation cantonale. Comme aux régionales, ils attendaient sans doute mieux. Mais dans un scrutin a priori peu favorable et où l’écologie politique est très peu implantée, ils ont toutefois montré qu’il fallait compter avec eux. Continuer la lecture de Départementales : ces résultats encourageants pour le PCF dont personne ne parle par R. Martelli in Regards.fr

PCF: c’est le bon moment pour le rejoindre

Parce que les militants du PCF sont de tous les combats aux cotés des ouvriers, employés et salariés.es de la fonction publique pour empêcher la casse des retraites, de la sécurité sociale, la casse des services publics (sauver notre CHIC, La Poste, le Ferroviaire, EDF…).

Parce que les militants.tes communistes refusent que les conquis sociaux disparaissent au profit du capital en se battant avec leurs élus.es dans les entreprises et les services.

Parce qu’en désignant Fabien Roussel, candidat à la présidentielle de 2022, les communistes veulent lier les luttes et les élections, pour que pas une voix à gauche ne se perdent, pour que pas une voix du peuple ne s’égare dans des votes protestataires RN sans issues, et Ils appellent sans tarder à rejoindre le PCF .

Avec vous, nous voulons relever le Défi de Jours Heureux, faisons campagne ensemble!

Déjà à Castelsarrasin et dans les cantons environnants, les communistes s’activent et s’attachent à rencontrer leurs concitoyens, à afficher, à accompagner les travailleurs dans les entreprises. Pas de vacances pour le Capital, pas de vacances pour les luttes…..

 

Dans l’ordre: Courbieu, Bénis, Gandalou et Labastide:

 


Je rejoins le PCF et/ou je souhaite participer aux luttes et à la campagne

Sécurité. « La justice ne se résume pas à mettre des gens en prison »

Manifestation du 11 mars 2020, à Paris. Benoit Tessier/Reuters

Manifestation du 11 mars 2020, à Paris. Benoit Tessier/Reuters

Confrontés à un manque de considération, magistrats, avocats et personnels administratifs répondent aux attaques politiques et dénoncent leurs conditions de travail.

Dans un recoin de la salle des pas perdus du tribunal judiciaire de Paris, une poignée de juges et avocats en robe s’attardent autour d’une petite table. Le long du mur, quelques drapeaux syndicaux posés sans être déployés et des feuilles A4 scotchées. En noir et blanc, on y distingue des dessins de masques de super-héros et une inscription : « Nous ne sommes pas des justiciers, nous sommes un pilier de la démocratie. » Ce 29 juin, les discrets rassemblements de ce type, partout en France, incarnaient la journée de mobilisation des personnels de justice, à l’initiative des syndicats de magistrats, avocats, greffiers et personnels administratifs, ainsi que de la Conférence des bâtonniers et du conseil national des barreaux. Une journée « Justice portes ouvertes » pour échanger avec les visiteurs sur le fonctionnement de l’institution et donner à voir ses dysfonctionnements, attribués à un manque chronique de moyens. Tour à tour accusée d’être trop ou pas assez sévère, la justice entend rétorquer aux attaques des politiques de tous bords, comme celles de Nicolas Sarkozy et ses partisans, empêtrés dans l’affaire des comptes de campagne. Elle veut aussi réagir aux polémiques successives entretenues par le gouvernement lui-même autour de décisions de justice.

Aux abords du rassemblement, pas de caméras de chaînes de télévision, d’habitude promptes à restituer la parole des syndicats de police. Un mois plus tôt, la manifestation des organisations policières donnait lieu à une couverture médiatique hors du commun pendant vingt-quatre heures. Les porte-parole des syndicats policiers avaient alors désigné la justice comme « le problème de la police ». Continuer la lecture de Sécurité. « La justice ne se résume pas à mettre des gens en prison »

M. Lopez/DDM: l’insoutenable légèreté des collusions (+vidéo)

Nous venons de traverser une séquence électorale d’une intense richesse ou le mélange des genres et la transgression de bien des barrières a fini par jeter dans l’abstentionnisme bon nombre de nos concitoyens. Entre les professions de foi des municipales, ou celles des départementales qui refusaient d’indiquer les appartenances politiques et les appels de ci de là à soutenir des candidatures par un Rassemblement National avançant masqué, tout a été fait pour détourner les électeurs des urnes.

Mieux, le puissant journal local, en l’occurrence la Dépêche du Midi a occulté tous débats possibles avec une ligne éditoriale axée sur le sensationnalisme au lieu de promouvoir la bataille des idées. La rubrique « anonyme » des « indiscrétions » de l’édition du dimanche permettait même à quelques plumitifs en manque d’inspiration de décocher des flèches venimeuses à souhait (j’en fait souvent les frais!) pratiquant ainsi un journalisme de caniveau digne d’un populisme nous renvoyant des décennies en arrière avec des titres de presse d’alors peu reluisants. Continuer la lecture de M. Lopez/DDM: l’insoutenable légèreté des collusions (+vidéo)

Territoires de l’éducation : L’introuvable handicap de la ruralité + soutien au Caf. Péda.

Annoncée par JM Blanquer et poursuivie par N Elimas, la réforme de l’éducation prioritaire annonce une redistribution des moyens éducatifs en supprimant les Rep et en dirigeant leurs moyens notamment vers les territoires ruraux. L’éloignement rentrerait dans le calcul des subventions aux établissements. Dans ce contexte, la publication d’Education & formations (n°102), une revue du ministère (Depp), apporte un démenti cinglant au handicap rural ». Les articles confirment, avec des donnés très récentes, les bons résultats de l’école rurale avec un système éducatif offrant la même performance scolaire qu’en ville. Les collèges ruraux ont sensiblement plus de moyens que ceux des villes. Les enseignants y ont un profil un peu différent qu’en ville mais ils sont plus enclins à l’innovation. Si finalement l’orientation demandée par les élèves est moins ambitieuse scolairement qu’en ville, une étude relie cette réalité à la composition sociale des zones rurales et à un effet d’attachement au territoire. Rien dans la ruralité ne semble justifier la redistribution des moyens des Rep.

La même performance scolaire en zone rurale

La majorité de la vingtaine d’articles d’Education & formations (n°102) concerne le monde rural qui est bien au coeur des réflexions du ministère. Pourtant , on le verra, ces études contredisent l’a priori ministériel qui présente les zones rurales comme victimes d’un handicap qu’il faudrait compenser comme on le fait (et avec ses moyens !) du handicap social des zones prioritaires. Bien au contraire la revue montre des résultats scolaires et une offre scolaire équivalents à ceux des villes et des enseignants aux caractéristiques positives. Continuer la lecture de Territoires de l’éducation : L’introuvable handicap de la ruralité + soutien au Caf. Péda.

Pourquoi Baylet n’est pas président ?

in la Brochure

NDLR  & JPD Cet article va avoir sans nul doute des conséquences dans la ligne éditoriale de La Dépêche.

L’article de Mediapart paru ce jour 1er juillet.

VIOLENCES SEXUELLES

Violences sexuelles : Baylet renonce à la présidence du Tarn-et-Garonne

01 juillet 2021 | Par Lénaïg Bredoux

Officiellement, l’ancien ministre et figure des Radicaux de gauche souhaite se consacrer à sa mairie et à son canton. En réalité, son allié socialiste l’avait lâché en raison de l’enquête préliminaire qui le vise pour « viol sur mineur de 15 ans ».

La fable ne convaincra personne. Officiellement, Jean-Michel Baylet a renoncé à se présenter à la présidence du département du Tarn-et-Garonne, jeudi 1er juillet, pour se consacrer à son mandat de maire et à son canton. En réalité, il a été lâché par son allié socialiste, en raison de l’enquête préliminaire pour « viol sur mineur de 15 ans » ouverte l’an dernier par le parquet de Paris.

Tout s’est joué dans la journée de mardi 29 juin. Laurence Rossignol, ancienne ministre des droits des femmes et sénatrice, indique en réunion du groupe socialiste au Sénat qu’il est inenvisageable que son parti soutienne Jean-Michel Baylet, dirigeant historique du Parti radical de gauche (PRG) et ancien ministre de François Hollande. « Au nom des mises en cause connues de Jean-Michel Baylet dans des affaires de violences sexuelles », explique Rossignol.

Elle pense aux révélations de 2016 à propos d’une plainte pour « violences », déposée en 2002 par l’ancienne collaboratrice parlementaire de Jean-Michel Baylet – elle s’est conclue par une transaction –, et à la plainte déposée l’an dernier par Nathalie Collin pour « viols et agressions sexuelles sur mineur de 15 ans » – des faits qui auraient eu lieu au début des années 1980. Une enquête préliminaire est toujours en cours, à l’initiative du parquet de Paris (lire notre enquête). L’ancien ministre « conteste solennellement et avec la plus grande fermeté les faits odieux que l’on [lui] prête ».

Mardi 29 juin, Laurence Rossignol alerte également le premier secrétaire du PS Olivier Faure. Il est aussi appelé par une autre sénatrice socialiste, Marie-Pierre de La Gontrie. Le sujet est mis à l’ordre du jour du bureau national (BN) dans la soirée. « J’ai expliqué que même si nous respectons évidemment la présomption d’innocence, le doute devait profiter à la victime, affirme Olivier Faure. Le BN a été unanime et il n’y a pas eu une voix pour défendre une présidence tenue par Jean-Michel Baylet. »

Jusque-là, pourtant, le PS était resté particulièrement silencieux sur les révélations visant Jean-Michel Baylet. Localement, aucune voix ne s’est élevée pour prendre ses distances avec celui qui a présidé le conseil départemental pendant 30 ans – il avait alors succédé à sa propre mère – et qui dispose encore de solides appuis. Même Valérie Rabault, présidente des députés socialistes, élue dimanche 27 juin dans le même département, n’avait répondu à aucune question sur le sujet…

Pourtant, si les socialistes n’étaient pas en mesure de s’emparer du conseil départemental, tenu par la droite depuis six ans, leurs voix étaient cruciales pour permettre à leur allié le PRG de reprendre la présidence. Avant les alertes de mardi, Olivier Faure assure qu’il « ignorai[t] que l’hypothèse [d’une présidence Baylet – ndlr] était sur la table ». Une fois saisi, il raconte avoir appelé la présidente réélue de la région Occitanie, Carole Delga, qui s’est occupée du relais avec les socialistes locaux. Et des discussions avec le PRG et Baylet pour trouver une alternative.

« Cela s’est finalement débloqué mercredi », rapporte Laurence Rossignol.

Jean-Michel Baylet a alors annoncé son retrait, dans le journal dont il est le propriétaire, La Dépêche. « J’ai fait le choix de terminer ma vie publique là où je l’ai commencée, à la mairie de Valence-d’Agen et à la présidence de la communauté de communes des Deux Rives. En effet, le vote massif dans ma ville et mon canton m’engage vis-à-vis de mes concitoyens. J’ai donc décidé de ne pas les quitter », a-t-il affirmé.

Jeudi 1er juillet, c’est finalement le PRG Michel Weill qui a été élu président du département et qui s’occupera, entre autres, de la protection de l’enfance. Il est toutefois si proche de Baylet qu’il a dû se défendre d’être son « pantin » au micro de France Bleu :

Après des décennies de passivité, voire de soutien à des responsables mis en cause dans des affaires de violences sexuelles et sexistes, le Parti socialiste tente de se doter d’une nouvelle doctrine, tournée en priorité vers les victimes déclarées. Ainsi, il a retiré plusieurs investitures lors des dernières élections municipales de 2020, y compris dans des villes qu’il détenait depuis longtemps, à Saint-Nazaire, Lorient et à Strasbourg. Des décisions qui ont suscité de vives tensions internes.

Extrême droite. Ces jeunes qui votent Rassemblement national

Des militants du RN, avec à gauche, Marie-Caroline Le Pen, le 20 juin. Thierry Stefanopoulos/réa

Des militants du RN, avec à gauche, Marie-Caroline Le Pen, le 20 juin. Thierry Stefanopoulos/réa

Même si son véritable poids électoral est à relativiser, le parti de Marine Le Pen séduit de plus en plus de jeunes. Décryptage des raisons qui poussent ces militants ou simples sympathisants vers le RN.

C’était le 5 avril, un titre comme une sirène d’alarme : « Le Rassemblement national, premier parti des 25-34 ans. » Un titre repris en boucle par tout un pan de la presse française. Quand le journal le Monde publie ces deux études (Ifop et Ipsos), Marine Le Pen est alors donnée au coude-à-coude au second tour de l’élection présidentielle de 2022 avec Emmanuel Macron et les 18-34 ans la placent en tête du premier tour avec 26 % des intentions de vote. Continuer la lecture de Extrême droite. Ces jeunes qui votent Rassemblement national

Baylet : un système qui perdure…

Les résultats de l’élection pour la présidence du conseil départemental sont tombés.:

Michel Weill, un proche de Jean-Michel Baylet, vient d’être élu dès le premier tour président du conseil départemental de Tarn-et-Garonne. Cet élu radical de gauche, maire de Montbeton, a été élu dès le premier tour avec 16 voix, devant Jean-Philippe Bésiers (castelsarrasin, les Mobilisés 6 voix), Mathieu Albugues (LR 4 voix ) et Ghislain Descazeaux (2 voix) et deux blancs (les deux élus RN).

Le choix de Michel Weill, élu avec l’apport des voix du Parti Socialiste n’est pas anodin.En effet, le PS qui sortait raffermi avec l’élection de Carole Delga à la Région a rompu cette dynamique avec ce que nous pourrions qualifier de magouille supplémentaire en permettant à Jean Michel Baylet de sauver la face puisque le nouveau président est un (très) proche de l’ancien sénateur.

Quelle tractation en coulisse a mené a ce résultat?

Par ailleurs, Mrs Besiers et Albugues font le plein des voix et M. Descazeaux est de plus en plus isolé, étant « puni » par le PS pour son indépendance d’esprit .

Il ne fait pas bon ne pas être dans la ligne et après ce sont les communistes qui sont traités de « staliniens ». Pour l’heure, nous devons attendre la séance du nouveau conseil régional pour mesurer si besoin, la teneur des tractations entre le PS et le PRG via les votes pour les vices-présidences. Nous serons alors des observateurs attentifs. Mais cela ne se fera que demain!

Au conseil départemental du Tarn et Garonne, la partie est tout autre et après le soutien ostensible de M. Weill à Mme Barège lors de la venue de M. Ménard à Montauban et lors de sa condamnation pour inéligibilité, il y a fort à craindre que le discrédit de cette classe politique s’amplifie. Comment redonner envie aux citoyens de réinvestir le champ du politique dans ces conditions là? Il ne sert à rien de crier au scandale de l’abstention quand les petits arrangements ne servent que les intérêts partisans de l’axe Rabault/Barège/Baylet. Les électeurs apprécieront!

Du coup, tout ce beau monde va s’entendre a coups de millions et de PPP pour créer la rocade ouest du grand Montauban, la nouvelle gare LGV (au détriment des TER et autres trains…), le grand hôpital à Bressols (pour faire disparaitre le CHIC de Moissac). M. Weill est un habitué des louvoiements depuis de longues années tant au conseil départemental qu’au Grand Montauban dans lequel il a toujours eu une vice-présidence. Un vrai meltingpot, un vrai mélange des genres entre cet entrepreneur, les fonctions et les secteurs sous sa responsabilité. Nous ne sommes pas certains que les habitants de notre département sortent gagnant comme nous savons déjà que les dossiers principaux que sont la solidarité, le handicap ou les collèges ne risquent pas d’être des priorités.

La constitution de la commission exécutive devrait nous en apprendre plus sur les orientations d’un CD qui avait perdu la boussole lors du dernier mandat et qui n’est peut-être pas prés de la retrouver, car, comment dire, qualifier M. Weill de gauche, nous semble très prématuré, voire surfait.

Être de gauche, c’est d’abord affirmer des convictions sociales, solidaires et écologistes, porter des valeurs et avoir l’ambition de la satisfaction des besoins humains du plus grand nombre, bref mettre ‘l’humain d’abord ». Les communistes sont eux, bien ancrés à gauche!

Maximilien Reynès-Dupleix, secrétaire de la section du PCF Castel/Moissac/Pays de serres


L’exécutif du Conseil départemental du 82 par JP Damaggio

Voici l’exécutif du département derrière le président Michel Weill

Neuf vice-présidents :

Marie-Claude Nègre,

Jean-Luc Deprince,

Dominique Sardeing,

José Gonzalez,

Catherine Bourdoncle,

Emmanuel Cros,

Christiane Le Corre,

Alain Belloc

Jérôme Becq

Facile de constater que Jérôme Becq est passé du camp Astruc au camp Baylet. Et le PS 2 ou 3 si on compte Emmanuel Cros dans cette rubrique.

Marie-Paul Nègre après avoir capté en suppléant le maire de Verdun capte donc le maire de Labastide St Pierre. A suivre.

Est-ce que ses électeurs en ont été préalablement informés ?

Sur 9 vice-présidents le PRG prend la part du lion : avec le président ça fit 6.


Communiqué du PCF82
Si nous avons souhaité que Jean-Michel Baylet ne se présente pas à la présidence du Conseil départemental, pour autant nous ne soutenons absolument pas la candidature de Michel Weill, celui là même qui défilait dans les rues de Montauban en soutien à Brigitte Barèges qui venait d’être condamnée pour détournement de fonds publics.
Au cours de cette manifestation, aux cotés de Robert Ménard le maire d’extrême droite de Béziers et de l’édile RN de Moissac, Michel Weill souhaitait publiquement le retour rapide de Brigitte Barèges aux affaires. Est-ce ça être un homme de gauche ?
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