Sécurité sociale, arrêts maladies… Ces décrets que le gouvernement veut faire passer avant sa chute annoncée le 8 septembre

Alors que le vote de confiance du 8 septembre approche, le gouvernement Bayrou poursuit, en toute discrétion, sa politique antisociale. Un coup de force dénoncé par les élus de gauche.

 

C’est un vieux truc d’illusionniste : profiter de ce que l’attention du public se concentre sur une main pour, de l’autre, réaliser son tour de passe-passe en douce. Alors que l’échéance du 8 septembre, journée durant laquelle le premier ministre engagera la responsabilité de son gouvernement à l’Assemblée nationale lors d’un vote de confiance, est dans toutes les têtes, l’exécutif poursuit discrètement sa politique antisociale. Comme l’Humanité le révèle, François Bayrou s’apprête à s’attaquer à l’assurance-maladie en imposant, entre autres, par décrets, le doublement des franchises pour les assurés.

Lire Aussi: Consultation du Premier Ministre : face au budget d’austérité, le PCF propose un pacte d’avenir pour la France !

Continuer la lecture de Sécurité sociale, arrêts maladies… Ces décrets que le gouvernement veut faire passer avant sa chute annoncée le 8 septembre

Changer les aides publiques, leurs critères et leur contrôle pour changer le rôle des entreprises (vidéo)

Ndlr de Mac: Un article pour une meilleure compréhension du système d’aides publiques aux entreprises ou comment l’argent public est détourné. Pour combattre aussi les détracteurs qui remettent en cause les 211 milliards versés. La dette n’est pas de la faute des citoyens-nes… A diffuser et mettre entre toutes les mains!

Alain Morin

À nouveau, à l’occasion de la commission d’enquête[1] du Sénat sur l‘utilisation des aides publiques aux grandes entreprises et à leurs sous-traitants, la question du contrôle et de l’efficacité de ces aides fait l’actualité.

Jour après jour, son rapporteur, Fabien Gay, sénateur communiste, a dénoncé les scandales des multinationales qui s’en repaissent tout en versant de généreux dividendes à leurs actionnaires, en rachetant leurs propres actions, voire même en supprimant des milliers d’emplois.

L’Humanité a rapporté quotidiennement des cas d’entreprise, relayé ces événements et en a fait ce qui devient une grande campagne politique… que nous pouvons mieux politiser.

Michelin : “En 2023 a cumulé 113 millions d’euros d’aides publiques… Malgré un versement de 1,4 milliard d’euros de dividendes, et un plan de rachat d’actions, Michelin veut licencier plus de 1 200 salariés en France”. L’Humanité du 20 mars 2025. ST Microélectronics “5 milliards d’argent public, 200 millions de dividendes et 3000 licenciements : que se passe-t-il chez ST Microélectronics ?” L’Humanité du 9 avril 2025. Carrefour : “En 2018, le groupe de la grande distribution touche 350 millions d’euros de diverses aides publiques – principalement des exonérations de cotisations sur la masse salariale – pour un effectif de 109 000 salariés. En 2024, il bénéficie d’un montant quasi similaire 330 millions d’euros. Sauf que dans l’intervalle, les effectifs eux sont tombés à… 85 000 salariés.”. L’Humanité du 11 avril 2025. Continuer la lecture de Changer les aides publiques, leurs critères et leur contrôle pour changer le rôle des entreprises (vidéo)

Plus de 180 lieux de mobilisation : dans l’énergie, les agents font grève pour des salaires et des prix justes

En grève à partir de ce 2 septembre à l’appel de la FNME-CGT, les agents du secteur de l’énergie dénoncent leur grille salariale – dont trois échelons sous le SMIC – et la hausse des factures pour les entreprises et les ménages.

 

Le grand coup d’envoi de la rentrée sociale sera cette année donné par les énergéticiens. À partir de ce mardi 2 septembre, les agents d’EDF, d’Engie, d’Enedis et de toutes les industries électriques et gazières sont appelés à la grève et à la mobilisation par la FNME-CGT. Plus de 180 lieux de mobilisation et piquets de grève ont été décomptés par la fédération syndicale, annonçant un mouvement suivi sur tout le territoire (NDLR de MAC: Solidarité avec les agents dés demain matin devant le CRPE de Golfech!) Continuer la lecture de Plus de 180 lieux de mobilisation : dans l’énergie, les agents font grève pour des salaires et des prix justes

Elections municipales 2026 : Face à la crise du service public municipal sortons de la posture du gestionnaire impuissant (l’exemple de Vitry 94)

Pierre Bell Lloch

Pierre Bell Lloch, maire de Vitry sur Seine

Pendant des décennies, la gestion communiste des collectivités territoriales aura contribué à faire toucher du doigt une contre-société impulsée par le Parti Communiste Français. Vitry, Ivry, Vénissieux, Montreuil, Echirolles, Port-de-Bouc ou encore Avion… sont autant de noms ancrés dans les mémoires de l’histoire sociale de notre pays. Des villes ouvrières où les ouvriers et leurs représentants eux-mêmes administrent leur ville au travers de politiques publiques novatrices.

Ce « communisme municipal » reste à la fois une identité historique et une réponse concrète à la question sociale. Répondant toujours à la même ambition : améliorer concrètement les conditions matérielles des classes populaires tout en servant de point d’appui à une lutte politique nationale pour renverser le capitalisme. Continuer la lecture de Elections municipales 2026 : Face à la crise du service public municipal sortons de la posture du gestionnaire impuissant (l’exemple de Vitry 94)

LE PÉRIL C’EST LA FINANCE, PAS LA DETTE. Paul Boccara

Pour tenter d’expliquer sa décision de demander un vote de confiance, François Bayrou dramatise à souhait la situation de la France, n’hésitant pas à la comparer comme son prédécesseur, à celle de la Grèce.
Le cœur du service après vente entérine cette situation comme incontestable et qui ne mérite pas qu’on en débatte tellement c’est « évident ».
Pourtant, Frédéric Boccara a bien argumenté il y à un an en expliquant que « le péril c’est la finance, pas la dette ! »
SON ANALYSE CI-DESSOUS CENSURÉE BIEN SÛR PAR LES MÉDIAS DE MASSE.
1. On répète en boucle qu’il faut absolument tailler dans nos dépenses publiques pour rembourser « la » dette publique.
Mais c’est la hausse des taux d’intérêt par la BCE qui vient de mettre à mal les finances publiques, pas la dette.
2. On prétend qu’il faut dépenser moins pour aller mieux. Que la priorité doit être donnée au remboursement de la dette. Continuer la lecture de LE PÉRIL C’EST LA FINANCE, PAS LA DETTE. Paul Boccara

Oyez braves gens, Fabien Roussel veut nationaliser les banques, de l’anticommunisme comme une illusion d’optique… aveuglante… par Danielle Bleitrach

NDLR de MAC: mosaïque d’informations et de textes pour mieux appréhender la réalité d’aujourd’hui. Attention, temps de lecture long!

Nous poursuivons sur la thématique du renversement dialectique avec cette dernière mosaïque, qui nous montre par plusieurs angles complémentaires la réalité de la situation. Pendant que Mélenchon appelait sur France Inter à « remplacer la 5ème république par une 6ème qui corrige ses défauts comme la 5ème à corrigé les défauts de la 4ème » et à ce que « les syndicats se rangent derrière le mouvement spontanéiste du 10 septembre », une toute autre réalité se présente : celle du prolétariat qui cherche son organisation, tant sur le terrain syndical que sur le terrain politique. Sur le terrain syndical, chacun, sur les lieux de travail fait aujourd’hui l’expérience concrète que la grève est nécessaire pour obtenir un rapport de force, que la grève nécessite une organisation et que la première chose à faire pour améliorer l’organisation, c’est de renforcer le syndicalisme, de se syndiquer, de créer des sections syndicales (chacun peut le faire dans son entreprise si elle n’existe pas encore, il faut le dire et le marteler), en particulier à la CGT qui comme toujours, sera la cheville ouvrière des principales batailles. Cette réalité vécue ne peut être occultée par une projection de Mercator médiatique qui ne parle pas des mobilisations qui s’amorcent, du mouvement qui monte. Sur le terrain politique, il en est de même. Le renouveau des tentatives de criminalisation du communisme n’est pas anecdotique. L’article que relaie Danielle ci-après, dénonçant le « pacte avec le diable du socialisme » de Fabien Roussel et du PCF avec « en toile de fond la Chine et le monde multipolaire » le confirme : des questions fondamentales sur l’organisation du monde et sur l’organisation sociale de notre pays sont posées et le PCF tient le fil que craint la bourgeoisie française, non pas la 6ème république « qui corrigerait les défauts de la 5ème », mais une autre trajectoire, celle de la paix, du monde multipolaire, de la modernisation de la France par la coopération et sans abandon de souveraineté. Cette trajectoire ferait sortir la bourgeoisie réactionnaire de la protection de ses puissants amis états-uniens et la confronterait seule à son propre peuple, dans la continuité de la Commune de Paris et de la Libération de 1945, c’est pour cela qu’elle la craint. Alors, comme un canard sans tête, comme le Roi de Bohême à Crécy nous dit Danielle, les bourgeoisies européennes, la française en tête, continuent à tout sacrifier à la guerre contre la Russie : les 1350 milliards pour contenter Trump et obtenir le droit de poursuivre l’agonie de l’Ukraine et les dépenses folles d’armement (US) alors que partout les Ukrainiens désertent refusant cette guerre qu’on leur impose. Il faudra donc beaucoup plus d’argent que le budget Bayrou. Ce n’est qu’un début. Préparons et organisons. (note de Franck Marsal pour Histoireetsociété)

La semaine du 18 août 2025, l’Union africaine a officiellement approuvé la modification de la carte de l’Afrique, qui, depuis le XVIe siècle, est représentée selon la projection de Mercator. Cette projection augmente artificiellement la taille de l’Europe et de l’Amérique du Nord, et réduit celle du continent africain à environ la moitié de sa taille réelle.

Continuer la lecture de Oyez braves gens, Fabien Roussel veut nationaliser les banques, de l’anticommunisme comme une illusion d’optique… aveuglante… par Danielle Bleitrach

Mais où sont donc passés les Duplomb la joie???

NDLR de MAC: au cœur de l’été, la polémique avait enflé quand Fabien Roussel avait depuis le camping de ses vacances « osé » parler du sucre  pour une recette de pain perdu… Une lecture plus pointue de cet épisode aurait été salutaire à bien des détracteurs!

Où sont donc passés les prétendus défenseurs des paysans, ceux qui occupent tout le côté droit de l’hémicycle nous faisant croire qu’il fallait d’urgence « lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur ».

Les agriculteurs sont en ce moment en train de subir au moins trois événements qui montrent que ce n’est pas le manque de pesticides qui les plombe, mais le trop de capitalisme. 

Parlons d’abord des betteraves. Le premier groupe sucrier, Téréos,  ferme trois sucreries. Une à Abbeville (Somme), une autre à Vic (Aisne) et la troisième à Marconnelle (Pas-de-Calais). Au bout, près de 240 salariés vont perdre leur emploi et des dizaines de paysans vont arrêter la production de betterave à sucre.

Pourquoi ? Non pas pour les raisons que prétendait réparer la fameuse loi Duplomb mais en raison d’un règlement européen de 2005 que j’avais durement combattu au Parlement européen. Celui-ci oblige la France à réduire sa production de sucre d’au moins 6 millions de tonnes. La France n’ayant réduit sa production que de 2,1 millions de tonnes,  une réunion du Conseil des ministres de l’Union européenne en 2007 enjoint  à notre pays d’appliquer la directive afin de permettre à des pays tiers d’exporter leur production sucrière vers l’Union européenne sans aucun droit de douane. À ceci s’ajoute une délibération de l’Organisation mondiale du commerce au profit du Brésil, de la Thaïlande et de l’Australie demandant à l’Union européenne de ne plus soutenir sa production sucrière.

Cette splendeur du capitalisme et ses joies du « marché ouvert où la concurrence est libre » a conduit le même groupe Téréos qui licencie en France à s’implanter au Brésil où il fabrique du sucre de canne qu’il exporte en Europe. Mais où est passé le sieur Duplomb qui n’y trouve rien à redire…

Prenons un second exemple : Le groupe laitier Lactalis qui bénéficie de 18,6 millions d’euros d’aides publiques selon le rapport de la commission d’enquête sénatoriale rédigé par Fabien Gay, mais compresse les prix du lait à la production, éjecte des producteurs de nos régions de sa collecte. Après s’être implanté au Brésil au printemps, ce groupe a acquis au mois de juin, le groupe laitier américain Général Mills. Et, il vient d’acquérir la semaine dernière une entreprise laitière en Nouvelle-Zélande pour une valeur de deux milliards d’euros. Autrement dit, Lactalis, comme Téréos, veulent profiter à plein des traités de libre-échange pour grossir leurs profits tout en étouffant nos producteurs, avec le projet d’importer du lait et des produits laitiers, du sucre, des biocarburants fabriqués à partir des grandes fermes-usines dans les pays du Pacifique.

On cherche en vain, à ce propos, les protestations indignées de Monsieur Duplomb et ses amis qui veulent « lever les contraintes au métier d’agriculteur ».

La pire des « contraintes au métier d’agriculteurs » est bien l’insertion de l’agriculture dans l’économie capitaliste mondialisée.

Prenons un dernier exemple : Le prix du blé acheté à la ferme frôlait les 300 euros la tonne en 2022. Il n’est plus aujourd’hui qu’à 180 euros la tonne. Le coût de production moyen d’une tonne est estimé selon les exploitations aux alentours de 220 euros. Le producteur de blé perd donc de l’argent en travaillant.

Que disent, ici encore, Monsieur Duplomb et sa clique protégeant les parasites lovés au cœur du système. Rien. Silence.

Et par ailleurs, continuer à attiser  le  conflit avec le gouvernement algérien, comme le fait M. Retailleau, va faire de nombreuses victimes parmi nos producteurs de blé car l’Algérie achetait jusque-là, la moitié de notre production. Voilà qui coûte si cher aux paysans, sans que, Boualem Sansal ne voit s’entrouvrir la porte de sa geôle ?

Paysans, les gouvernants mentent. Votre ennemi ce ne sont pas les normes, mais la voracité des prédateurs capitalistes.


Image by Wolfgang Ehrecke from Pixabay.

 

Quand on travestit la réalité, c’est que l’on n’est pas à l’aise avec sa propre histoire. (PCF82)

Une fois de plus, le maire RN de Moissac tente de falsifier l’histoire pour salir le mouvement ouvrier et détourner ’attention des véritables enjeux qui préoccupent les habitants.

En affirmant que le Parti communiste français serait « entré en collaboration » le 23 août 1939, il se rend coupable d’un grave révisionnisme historique. La réalité est connue et documentée : le PCF a dès le début des années 30 appelé à lutter contre le fascisme.

Stratégie du Front Populaire, aide matérielle et militaire aux républicains espagnols, appels à la mobilisation militaire lorsque la menace allemande se fit sentir, tandis que le gouvernement capitulard en place, composé de personnalités d’extrême droite, laissait les nazis envahir la Tchécoslovaquie et ne cherchait qu’un prétexte pour interdire le PCF en août 1939.

C’est le PCF alors dans la clandestinité, qui dès l’occupation nazie a organisé la résistance armée, dans les usines, dans les campagnes et dans les maquis, au prix de milliers de vies de militants et de dirigeants fusillés, déportés, exécutés. Le Parti communiste a été, avec ses militants, l’organisateur de la colonne vertébrale de la Résistance intérieure, ce qui lui valut à la Libération le titre de « Parti des 75 000 fusillés ».

Opposer ce mensonge grossier à la mémoire de celles et ceux qui ont donné leur vie pour la liberté, c’est insulter leur sacrifice et piétiner la vérité historique.

Que le Rassemblement National, héritier des courants politiques qui collaborèrent avec Vichy et les nazis, ose aujourd’hui accuser le PCF de collaboration relève d’un cynisme sans bornes.

La droite à Saint Raphaël enlève la stèle du résistant FTP-MOI communiste Léon Landini. L’extrême droite de Moissac, qui ose tout, va t-elle maintenant faire de même avec la stèle hommage à Jean Louis Demeurs, membre de la section PCF de Moissac, sous lieutenant commandant de la 8eme compagnie de l’AS, combattant de la Libération de Moissac (NDLR de MAC: et adjoint communiste dés 1971) ?

Nous appelons l’ensemble des républicains à dénoncer cette falsification de l’histoire. Face à l’extrême droite, nous continuerons d’honorer la mémoire des résistants et de défendre les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité.

Montauban le 27 aout 2025,  PCF82

Lettre de Fabien Roussel à François Bayrou sur la loi Duplomb

Monsieur le Premier Ministre,

Les débats autour de la loi Duplomb et sa censure partielle par le Conseil constitutionnel montrent l’urgence d’une politique ambitieuse de la France qui conjugue santé, environnement et souveraineté alimentaire.

Nos concitoyens sont profondément inquiets et nos agriculteurs ne parviennent plus à vivre dignement de leur travail. C’est le résultat de la concurrence déloyale de pays ne respectant pas les mêmes règles que les nôtres et de décennies de démantèlement des filets de sécurité publics (prix garantis, quotas laitiers et sucriers, signature de traités de libre-échange…). Continuer la lecture de Lettre de Fabien Roussel à François Bayrou sur la loi Duplomb

Ce que propose Fabien Roussel est la seule chose sensée, il y manque encore une chose: un parti à la hauteur d’une telle ambition…… (+ vidéo UEP Montpellier)

Nous publions en vidéo l’ensemble du discours et ce résumé mérite l’attention de tous et bien au-delà des partis, pas sans eux, pas contre eux mais avec le peuple français qui doute du monde politique et a besoin d’avoir autour de lui, avec lui des gens qui lui ressemblent et qui donne la force de leur conviction et de leur exemple à ceux qui s’estiment non sans raison abandonnés… Et que surtout on ne nous refasse pas les coup de tous les « régimes socialistes passés, présents, sont des vrais horreurs mais moi je serai parfait promis, juré… C’est sans hostilité le discours des trotskistes qui partout les a conduit à 2%, nous y sommes est-ce qu’on continue? On a mieux à faire… je ne fais pas partie du fan club de Fabien Roussel, nous avons des divergences qui n’ont pas disparues mais le courage politique et le désintéressement a toujours ma sympathie par rapport à ceux qui jugent sur le bord de la route… (note de danielle Bleitrach)

Le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, aux Universités d'été du parti à Montpellier le 23 août 2025

Le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, aux Universités d’été du parti à Montpellier le 23 août 2025© GABRIEL BOUYS

Le Parti communiste (PCF) va proposer un « pacte pour la France » prônant « un plan d’investissement de 500 milliards d’euros sur cinq ans », « au service du climat et de la réponse aux urgences sociales », a déclaré samedi son secrétaire national Fabien Roussel. Continuer la lecture de Ce que propose Fabien Roussel est la seule chose sensée, il y manque encore une chose: un parti à la hauteur d’une telle ambition…… (+ vidéo UEP Montpellier)