Castelsarrasin – Les communistes mobilisés contre la réforme des retraites + adhésion

Castelsarrasin - Les communistes mobilisés contre la réforme des retraitesLes communistes se sont mobilisés ce 31 janvier pour manifester contre la réforme des retraites poussée par le gouvernement.

 

Aux côtés des milliers de Tarn et garonnais rassemblés pour battre le pavé dans les rues de Montauban, les communistes rejettent ce projet de réforme.

« Effectivement, même si le gouvernement nous infantilise et répète à l’envie que nous devons être « responsables », une majorité des Français ne sont pas des enfants. Ils ont bien compris l’arnaque et le piège qui leur est tendu », explique ainsi Maximilien Reynes Dupleix, secrétaire de la section PCF de Castelsarrasin, Moissac et Pays de Serres.

« Tout le monde a entendu les préconisations du conseil d’orientation des retraites. Loin d’être un ramassis de gauchistes, ce conseil a expliqué qu’il n’y a aucun danger financier au sujet des caisses de retraites », détaille le dirigeant communiste. Pour lui « si c’est l’affaire d’une dizaine de milliard d’euros », il faut l’opposer aux centaines de milliard distribués aux entreprises depuis des années, « souvent sans contrepartie », ou encore « aux milliards échappent aux impôts via les mécanismes d’évasion fiscale ». Continuer la lecture de Castelsarrasin – Les communistes mobilisés contre la réforme des retraites + adhésion

Retraite: L’intersyndicale donne rendez-vous les 7 et 11 février + CR de la DDM

Fort des 2,8 millions de manifestants ce mardi, les syndicats unanimes contre la réforme des retraites comptent intensifier la mobilisation, en battant le pavé notamment le week-end pour diversifier les formes d’action.

Le bras de fer se poursuit entre l’intersyndicale unie contre le projet de réforme des retraites et l’exécutif qui estime toujours « non-négociables » aussi bien le recul de l’âge légal de départ, de 62 ans à 64 ans, que l’accélération du passage de 41 à 43 annuités de cotisations afin d’atteindre une pension sans décote. Renforcés par cette deuxième journée de mobilisation qui a rassemblé encore plus d’opposants que lors du 19 janvier (2,8 millions au total, contre 2 millions), les leaders syndicaux avaient rendez-vous ce mardi soir au siège de Force ouvrière pour donner une suite au mouvement social qui s’inscrit désormais sur les mêmes bases que celui historique de 1995, déjà contre une réforme des retraites. Continuer la lecture de Retraite: L’intersyndicale donne rendez-vous les 7 et 11 février + CR de la DDM

Scandale démocratique: la majorité accorde la motion référendaire au RN

Assemblée nationale Les députés d’extrême droite ont emporté un tirage au sort décidé avec leur appui par la majorité, en dépit du règlement, pour savoir qui du RN ou de la Nupes pourrait présenter sa motion référendaire sur la réforme des retraites. Une décision « politique inacceptable et sans fondement réglementaire » dénoncée par la gauche. 

Un « scandale », un « choix honteux », « une décision politique inacceptable prise sans fondement réglementaire » … Les députés de gauche n’ont pas de mot assez fort pour dénoncer l’arbitrage de la conférence des présidents de l’Assemblée nationale, ce mardi, de passer par un tirage au sort – emporté par l’extrême droite – pour déterminer laquelle des motions référendaires de la Nupes ou du RN sur la réforme des retraites pourrait être présentée, en séance, le 6 février.

Le président communiste du groupe GDR, André Chassaigne, avait déjà alerté la présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet, par un courrier la semaine dernière, pour s’assurer que la motion déposée par la Nupes serait bien celle prise en compte. Car la procédure de tirage au sort est largement contestable au regard du règlement de l’Assemblée. Continuer la lecture de Scandale démocratique: la majorité accorde la motion référendaire au RN

Retraite: Un vrai Tsunami contre cette réforme injuste… (Portfolio vidéos)

Partout en France et en Occitanie

Dans le Tarn-et-Garonne, des milliers de manifestants réunis à Montauban

Gers : des milliers de manifestants contre la réforme à Auch

Revivez les images de la manifestation à Toulouse

Retrouvez le film des manifestations à Albi et à Tarbes

Revivez le film de la manifestation à Cahors

Mobilisation en hausse à Rodez selon les syndicats, mais pas pour la police

Des milliers de manifestants ont défilé à Castres

À Agen, des milliers de manifestants contre la réforme

Les jeunes se mobilisent… Voila pourquoi

 

 

Mardi, c’est TSUNAMI!

Rendez-vous massivement à 10h00 place des fontaines à Montauban Mardi 31 janvier pour imposer le retour à la retraite à 60 ans avec 37,5 annuités de cotisations….

 

Les communistes optent pour la continuité

Avec 81,92 % des voix, une majorité d’adhérents du PCF ont choisi, en vue de leur congrès, le texte d’orientation proposé par la direction actuelle emmenée par Fabien Roussel plutôt que la proposition alternative.

 

Pas de séisme en vue au PCF

Appelés à voter ce week-end pour choisir leur texte d’orientation dans la perspective de leur congrès à Marseille début avril, les communistes se sont prononcés à 81,92 % des suffrages exprimés en faveur de la « base commune de discussion » proposée par la direction actuelle. Contrairement au dernier congrès de 2018, où trois textes alternatifs avaient été déposés et où l’un d’eux l’avait emporté pour la première fois de l’histoire de la formation, une seule proposition alternative était cette fois en lice – signé à la fois par les anciens secrétaires nationaux Pierre Laurent et Marie-George Buffet, des parlementaires comme Elsa Faucillon ou Stéphane Peu, des maires, des responsables locaux, et soutenu au total par un millier de militants. Ce texte, intitulé « Urgence de communisme – ensemble pour des victoires populaires », recueille 18,08 % face à « L’ambition communiste pour de nouveaux jours heureux », adopté en décembre dernier par le conseil national (CN) du PCF et soutenu par son secrétaire national, Fabien Roussel. En quatre ans, la majorité du candidat à la présidentielle s’est renforcée avec le renfort de certaines fédérations importantes comme celles des Bouches-du-Rhône (87 % pour le texte du CN), de la Gironde (92 %) ou des Hauts-de-Seine (66 %) tandis que la participation au vote s’est élevée à 70,79 %.

Parmi les 42 000 adhérents à jour de cotisations qui pouvaient participer au scrutin, Eugénie Graf et Michel Cucheval ont poussé la porte du local du PCF de Lille (Nord) vendredi soir, sur le coup de 17 heures. Ici, le texte du conseil national « au regard des discussions » avait de bonnes chances d’être « majoritaire dans la fédération », selon les pronostics de la secrétaire départementale du Nord, Karine Trottein. Et c’est l’option qu’ont choisie les deux militants, qui ont glissé leur propre bulletin dans l’urne après avoir confié les neuf enveloppes de vote par correspondance collectées dans l’après-midi dans leur cellule de Lomme, commune associée à Lille. La principale motivation de leur choix ? La question stratégique, sur laquelle les deux textes ne proposaient pas la même démarche, en particulier vis-à-vis de la coalition de gauche formée aux législatives.

« La Nupes est certainement un bon outil entre les mains des parlementaires pour harmoniser les votes de la gauche, mais sa création ne s’est pas faite avec la population », pense Michel Cucheval. « Enclencher un mouvement majoritaire et créer un rapport de forces doit se faire avec les victimes du capitalisme, poursuit ce prof de maths à la retraite, membre du PCF depuis 1973. Cela suppose un renforcement de l’activité du parti, essentiellement pour convaincre les abstentionnistes de voter et les électeurs du RN de revoir leur position. Cela prendra du temps et de l’énergie, mais c’est la seule voie. »

De son côté, Eugénie Graf, salariée en invalidité dans un centre d’appels, voit dans la Nupes « un outil ponctuel pour l’élection »  : « Je ne tiens pas à ce que le PCF y fonde son identité. Notre projet économique est cohérent, ce que je ne retrouve pas dans d’autres formations. Le nucléaire est aussi un point de divergence. Et la valeur travail, à mon avis, est importante. Je ne suis pas contre le droit à la paresse, mais une fois qu’on a le travail. » Parmi les 87 inscrits de ce bureau, Martine Devynck, qui a longtemps travaillé à la mairie de Lille, fait à son tour son entrée. Elle vote également pour le premier texte, pas convaincue par « l’urgence » revendiquée par le projet alternatif, mais elle confie aussi quelques critiques. « Nous ne sommes pas les meilleurs, nous avons fait des erreurs. Sur le féminisme, les violences exercées contre les femmes, nous avons longtemps été à côté de la plaque. La prise de conscience vient un peu tard », estime-t-elle.

Apporter « une perspective à la colère de tous ces gens dégoûtés de la politique »

Autant de questions qui ont également traversé les échanges des communistes du 20e arrondissement parisien, réunis pour un débat de près de deux heures jeudi soir avant que sonne l’heure du vote. À la tribune improvisée, la responsable locale Raphaëlle Primet présente le texte du conseil national, qu’elle soutient, parce qu’il s’agit notamment, à ses yeux, d’être « à la fois unitaire et de mener le rapport de forces », pour apporter « une perspective à la colère de tous ces gens dégoûtés de la politique ».

À ses côtés, l’ancien secrétaire national Pierre Laurent, adhérent de la section, défend la démarche d’« Urgence de communisme ». « Bien que la société se pose la question du dépassement du capitalisme, notre niveau d’influence reste bas. C’est le grand paradoxe de la période. L’idée de communisme a été abîmée par le XXe siècle, nous devons en porter une vision nouvelle et la faire vivre au présent », expose-t-il, insistant sur le rassemblement, car, à défaut, « nous risquons soit que perdure la politique de Macron, soit la victoire du RN ».

Un point qui anime le débat. Dans la salle, Boris se dit ainsi favorable au texte du conseil national notamment parce qu’il « parle beaucoup plus de comment convaincre les gens plutôt que d’alliances », celles-ci condamnant à « toujours être pris dans la logique du vote utile », selon lui. « La situation est tellement urgente qu’on n’est pas dans une configuration où on peut se payer le luxe de se poser la question d’avoir un candidat à chaque fois et faire, peut-être, 5 % », estime, pour sa part, Charlotte, qui n’a envie ni « de se faire bouffer par FI », ni « d’un repli sur nous-mêmes ».

Partisans d’un texte ou de l’autre, les militants pointent aussi des questions à approfondir.

À l’instar de Nicolas, qui a choisi – comme près de 75 % des 129 votants de la section – le texte de la direction, qu’il estime porteur d’« une ambition à poursuivre avec enfin une visibilité » du PCF, mais qui voudrait voir davantage interrogé « le projet de société : quelles transformations de l’économie, quels nouveaux rapports de production, et comment on franchit le cap pour les obtenir ».

S’il affirme une orientation, le vote de ce week-end ne clôt pas les débats. La « base commune de discussion » choisie par les adhérents du PCF doit désormais être amendée d’abord dans les sections, puis les fédérations, courant mars, et enfin à Marseille début avril. D’ici là, un autre chantier doit s’ouvrir dès le week-end prochain avec un nouveau conseil national, notamment consacré à la révision des statuts du Parti.

PCF, 39ème Congrès: les communistes ont choisi + texte à télécharger

NDLR de MAC : Malgré de fortes pressions plus particulièrement dans notre département et dans certaines fédérations, les communistes souverains et riches de leur pratique démocratique ont amplifié  le vote du conseil national en votant massivement pour la base commune « L’ambition communiste pour de nouveaux Jours heureux » déjouant ainsi les pronostiques mortifères des « observateurs » qui mènent campagne contre le PCF et son secrétaire national depuis de longs mois. Un texte de base qui sera amendé, enrichi dans le cadre du processus menant au congrès de Marseille en Avril prochain. Maintenant au travail dans la clarté, le débat et l’expression des  communistes!

 

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Le communiqué National

 

Résultat du vote des communistes pour le choix de la base commune du 39e Congrès du PCF

Les 27, 28 et 29 janvier, 42 237 communistes à jour de leurs cotisations et ayant adhéré au PCF il y a plus de trois mois, devaient choisir le texte de base commune de discussion pour le 39e congrès du PCF.

29 898 de ces électrices et électeurs inscrit·es ont voté, soit 70,79 % des inscrit·es.

Il y a eu 686 bulletins blancs ou nuls, et 29 212 suffrages exprimés.

Cette participation montre la vitalité militante et démocratique du PCF.

La proposition de base commune adoptée par le Conseil national, « L’ambition communiste pour de nouveaux Jours heureux », a obtenu 23 930 suffrages, soit 81,92 % des exprimés.

Le texte alternatif « Urgence de communisme » a réuni 5 282 suffrages, soit 18,08 % des exprimés.

En application de nos statuts, le texte « L’ambition communiste pour de nouveaux Jours heureux » devient donc la base commune de discussion dont tou·te·s les communistes vont désormais se saisir pour la travailler, l’enrichir de tous les débats et du mouvement social en cours, des contributions et amendements. Ce travail, nous le mènerons avec l’ensemble des communistes lors de nos congrès de sections et de fédérations jusqu’au congrès national qui se tiendra du 7 au 10 avril à Marseille.

Paris, le 29 janvier 2023.

La commission de transparence des débats du 39e Congrès du PCF.


En Tarn et Garonne

Inscrits et à jour de leurs cotisations 196, votants 142 soit 72,44%

Blancs et nuls 5 soit 3,52 %

Exprimés 137 soit 96,47%

Texte 1: « L’ambition communiste pour de nouveaux Jours heureux »                                  80 soit 58,39%

Texte 2: « Urgence de communisme »                                                                                57 soit 41,61%


Texte choisi

Projet de Base Commune L’ambition communiste pour de nouveaux «Jours heureux»

L’enrichissement record des milliardaires en temps de crise et de guerre

Un rapport annuel d’Oxfam démontre l’enrichissement indécent des plus riches. Depuis 2020, les 1 % les plus aisés ont capté les deux tiers des richesses produites à travers la planète. Un profit sans précédent et d’autant plus révoltant que de nouvelles mesures d’austérité se préparent pour le plus grand nombre.

La fortune de Bernard Arnault a bondi de 100 % en deux ans, son patrimoine équivaut à celui de 20 millions de Français, soit le tiers de la population. © Come Sittler/REA

La fortune de Bernard Arnault a bondi de 100 % en deux ans, son patrimoine équivaut à celui de 20 millions de Français, soit le tiers de la population. © Come Sittler/REA

En plein 53e Forum économique de Davos, où débarquent en jets et en masse grands patrons, oligarques et dirigeants politiques pour «améliorer l’état du monde», Oxfam propose un nouveau rapport baptisé «La loi du plus riche», toujours plus accablant, sur l’insoutenabilité des inégalités. Dans cette publication désormais annuelle, l’ONG s’efforce de trouver les plus impressionnantes comparaisons pour montrer l’indécence des grandes fortunes.

Et cette année est un bon cru, Oxfam en a concocté plusieurs très efficaces. Ainsi, après deux années de crise sanitaire et économique, le patrimoine de Bernard Arnault vaut celui de 20 millions de Français, soit près d’un tiers de la population du pays. Ou encore, si une personne avait gagné 2 millions d’euros à chaque édition du Loto depuis l’armistice de 1918, elle n’aurait même pas la moitié de la fortune du PDG de LVMH. «Les milliardaires ont été les premiers gagnants de la réponse au coronavirus. À eux seuls, les 10 premiers milliardaires français ont engrangé 189 milliards d’euros depuis 2020, assez pour couvrir les factures de gaz, d’électricité et de carburant de tous les ménages français pendant deux ans», renchérit Quentin Parrinello, porte-parole d’Oxfam France et coauteur du rapport, principalement sur son volet français. Continuer la lecture de L’enrichissement record des milliardaires en temps de crise et de guerre

Si les ubérisés étaient requalifiés en salariés, près d’un milliard en plus dans les caisses de retraite

NDLR de MAC: les communistes de Castel/Moissac/Pays de Serres/Beaumont travaillent et se forme sur la question des salaires et de la part socialisée qu’il contient pour affuter leurs arguments sur auto-entrepreneuriat et les ubérisations en tout genre. Le grand gagnant de cette situation est le Capital.

 

L’Humanité a calculé ce que cela rapporterait à la solidarité nationale, et au système des retraites, si les faux indépendants, travailleurs des plateformes, étaient requalifiés en salariés.

 © GEORGES GOBET/AFP

Le « en même temps » macronien est un art que le gouvernement pousse jusqu’au raffinement. Pour justifier sa réforme des retraites, l’exécutif se plaint des prévisions de déficit du régime général. Or, en même temps et en digne héraut de la « Start up nation », il s’en prend méthodiquement au salariat, principale source de financements de nos retraites via les cotisations, en défendant les Uber et compagnies qui rêvent de transformer les travailleurs en autoentrepreneurs, sans cotisations sociales ni patronales à verser.

39ème Congrès du PCF: Pour une ambition communiste et de nouveaux jours heureux !

Par Julien Sueres

 

L’année 2023 est importante pour les militants et militantes du Parti Communiste Français car nous allons tenir notre 39ème congrès. Par-dessus tout, souhaitons que ce soit une étape qui rassemble les communistes, et c’est avant tout pour cela que j’appelle à voter pour la base commune présentée par la majorité de la direction nationale. Le texte soutenu par Fabien Roussel et intitulé « L’Ambition Communiste pour de Nouveaux Jours Heureux ». C’est une base commune qui permet de nous rassembler autour des grandes idées qui nous sont chères, une base pour éviter le risque de la division, ou pire, du retour en arrière.

Elle propose au parti communiste de passer un cap.

Nous sortons depuis 4 ans de moments de crises importants, face à la pandémie, face la guerre, face à l’urgence climatique, face à la crise énergétique. Et puis nous avons mené tous ensemble une belle campagne des présidentielles. Nous avons fait le choix, nous les communistes, à 82% d’avoir un candidat à l’élection présidentielle. Aujourd’hui, certains camarades remettent en cause ce choix. Ils proposent un retour en arrière. Pour ma part, je crois au contraire que nous devons poursuivre le chemin emprunté depuis 4 ans avec un renforcement du parti, des cadres rajeunis dans beaucoup de nos grandes villes, départements et régions, une influence plus importante dans le débat politique qui nous permet d’avoir des rassemblements efficaces. Et nous avons posé un certain nombre de questions qui font écho à la société française. Nous sommes actuellement dans un mouvement de grève et de mobilisation important, contre la réforme des retraites.

Le rôle du parti, le rôle de Fabien Roussel a été très important pour que toutes les forces politiques de gauche agissent de concert pour soutenir l’intersyndicale et ne cherchent pas à le fissurer ou le devancer.

Cette question du rôle du parti communiste français est au cœur des débats que propose le texte de la base commune, d’un point de vue national, européen et international, et notamment sur le rapport du monde au travail. Ces jours-ci, c’est bien la France du travail qui a dit non à Emmanuel Macron, une France du travail qui regroupe les étudiants, les retraités, les privés d’emploi, les actifs du public et du privé, ceux qui habitent dans les grandes villes et ceux qui vivent dans les zones rurales et semi-rurales. C’est cette ambition que porte la base commune défendue par la direction nationale, et qui est proposée au choix des communistes, et c’est bien ce choix que j’espère les communistes feront massivement lors du vote ce week-end. Mobilisons-nous, allons voter et faisons voter le plus grand nombre de camarades pour assurer un résultat sans équivoque à Fabien Roussel et son équipe. L’heure n’est pas aux divisions, nous avons besoin d’un parti communiste fort, rassemblé sur des idées porteuses et qui poursuive le combat engagé depuis 4 ans.

Les 27, 28 et 29 janvier, votons ! Votons pour une ambition communiste et de nouveaux jours heureux !