Le 5 avril, l’Humanité aux côtés du Secours populaire français… Découvrez le programme

Fidèle à sa longue tradition de solidarité et aux valeurs pacifistes et humanistes qui l’animent depuis sa création, le journal l’Humanité remettra, mardi 5 avril prochain, au Secours populaire français (SPF) le fruit de la collecte de dons, engagée, le 9 mars, auprès de ses lectrices et lecteurs, afin de contribuer à l’action conduite sur le terrain par le SPF pour venir en aide aux réfugié.es dans les pays proches de l’Ukraine.

La remise de ces dons, d’un montant conséquent, se fera à l’occasion d’une soirée exceptionnelle ouverte au public sur réservation, à laquelle participeront de nombreuses personnalités du monde politique, associatif, culturel et syndical. Découvrez le programme.

AU PROGRAMME  DE LA SOIREE

Table-ronde « Comprendre le conflit. Faire taire les armes »

Avec :

Anna COLIN LEBEDEV, enseignante-chercheuse, spécialiste des sociétés postsoviétiques,

Francis WURTZ, député européen honoraire,

Vadim KAMENKA, journaliste à l’Humanité envoyé spécial en Ukraine

Iryna DMYTRYCHYN, historienne, traductrice et maître de conférences à l’Institut national des langues et civilisations orientales, spécialiste de l’Ukraine (sous réserve)

Des témoignages

Une famille ukrainienne réfugiée en France et Marie-Christine VERGIAT, ancienne députée européenne, Vice-Présidente de la Ligue des droits de l’Homme

Culture et solidarité

Laurent GAUDÉ, écrivain, Prix Goncourt 2004,

Olivier RABOURDIN, comédien

Philippe MARTINEZ, secrétaire général de la CGT,

 et un tour de chant de GARANCE

Remise des dons de l’Humanité au Secours populaire français

Henriette STEINBERG, secrétaire générale du Secours populaire français, et Fabien GAY, directeur de l’Humanité

Cliquez pour vous inscrire et participer

Castelsarrasin. Le Secours Populaire au chevet de 70 familles

Dernière association de notre série, le Secours populaire est très actif sur le territoire. Grâce à lui, de nombreuses familles reçoivent un soutien.

L’activité du Secours Populaire de Castelsarrasin est centrée autour de l’épicerie solidaire. « Nous avons des donateurs, qu’ils donnent de l’argent ou des objets. Ce soutien est assez stable. Nous avons aussi quelques bénéfices du vestiaire, ouvert à tous. Les denrées proviennent de la fédération et de l’aide européenne. Nous effectuons aussi des ramasses, notamment auprès des supermarchés locaux, qui sont plutôt généreux, et des opérations « Caddie », comme récemment à Intermarché et ce samedi à Leclerc. Pour les bénéficiaires, rien n’est gratuit, même si les prix sont modiques. C’est une façon de préserver leur dignité, c’est l’esprit du Secours Populaire », explique Thérèse Rouch-Pasquet. Continuer la lecture de Castelsarrasin. Le Secours Populaire au chevet de 70 familles

L’artiste Banksy a financé un bateau pour sauver des migrants in Courrier Inter.

 

Publié le 27/08/2020 – 21:38

Selon le quotidien londonien The Guardian, l’artiste britannique aurait financé et décoré une embarcation qui aurait déjà sauvé plusieurs personnes en mer. Le bateau serait en ce moment même en Méditerranée.

Le navire “secret” s’appelle Louise Michel. “En hommage à une féministe anarchiste française”, précise The Guardian. Ce jeudi 27 août, le journal britannique a dévoilé une information singulière. En effet, selon les informations du média londonien :

Le street artiste britannique, Banksy, a financé un bateau pour sauver les réfugiés qui tentent de rejoindre l’Europe depuis l’Afrique du Nord. Celui-ci est parti en secret le 18 août du port espagnol de Burriana, près de Valence, et se trouve maintenant en Méditerranée où il a secouru, jeudi, 89 personnes en détresse, dont 14 femmes et quatre enfants.” Continuer la lecture de L’artiste Banksy a financé un bateau pour sauver des migrants in Courrier Inter.

SPF de Castelsarrasin: Témoignage d’une donatrice

Témoignage d’une donatrice au Secours Populaire de Castelsarrasin.

J’ai assisté à la dernière Assemblée générale du Comité de Castelsarrasin et les compte-rendu que j’ai pu en lire ne traduisent pas le malaise que j’ai ressenti ce soir-là. Aussi, ai-je souhaité témoigner de l’atmosphère de la réunion.

A ma grande surprise, l’AG s’ouvre sous la conduite de la trésorière qui a rassemblé toutes ses forces pour mener à bien la tenue de la réunion et assurer une transition induite par la démission du secrétaire J. Sueres, fait que j’ignorais, n’ayant pas lu La Dépêche du jour.

L’ordre du jour traditionnel de l’AG fut respecté (bilan des activités entravées par les conditions sanitaires, rapport moral, bilan financier avec quelques lignes de dépenses alourdies et enfin quelques actions en perspective telles que l’aide aux devoirs). Mais j’ai aussi entendu la trésorière déplorer la disparition des archives et quelques difficultés relationnelles dans la gestion du groupe. Elle a aussi insisté sur la nécessité de rétablir la charte du bénévolat, fondement de toute association.

Un certain malaise se dégageait malgré la discrétion des propos. Mais l’intervention de l’ancienne secrétaire, Annie Bordignon, 20 ans de bénévolat au SPF, reconnue pour son honnêteté et son dévouement à la cause des plus démunis, a révélé le cheminement qui a conduit à la crise actuelle : sa succession entravée par la secrétaire fédérale du 82, l’éviction masquée de l’ancienne trésorière, le chamboule-tout dans le vestiaire, la bibliothèque vidée, la rupture avec le CCAS… D’où le découragement de plusieurs bénévoles.

Et pourtant le secrétaire démissionnaire ne s’était-il pas engagé avec enthousiasme et ardeur dans cette action de bénévolat, n’hésitant pas à inviter ses colistiers de la séquence électorale de 2020 à afficher leur sympathie et leur générosité pour Le Secours Populaire Français ? Aucune prise de parole de sa part ce soir là pour expliquer son départ, justifier sa position, regretter ses erreurs et regretter d’avoir blessé certaines personnes.

L’AG s’est conclue par l’élection De Thérèse Rouch-Pasquet, nouvelle secrétaire expérimentée dans le domaine associatif entourée d’un bureau recomposé. Un nouvel épisode s’ouvre pour le comité de Castelsarrasin. Souhaitons lui une activité apaisée et fructueuse dans l’intérêt des bénéficiaires toujours plus nombreux en raison des difficultés économiques croissantes.

Françoise Tardin

Castelsarrasin. Secours populaire : une équipe de direction renouvelée in DDM

Une réunion présidée par la trésorière Ghislaine Roussy-Mayanobe./ Photo DDM Marc Zulian

Le Secours Populaire a tenu son assemblée générale au terme de deux années marquées par la crise sanitaire.

Le comité du Secours Populaire de Castelsarrasin a tenu son assemblée générale à la salle Marcelle-Duba. Une réunion organisée dans des circonstances exceptionnelles. Après les démissions successives de plusieurs membres du bureau, dont le secrétaire général Julien Sueres, c’est la trésorière du comité Ghislaine Roussy-Mayanobe qui a présidé l’assemblée générale, en présence de Nadia Betin, adjointe aux affaires sociales, Driss Khaïza, directeur du CCAS et Francette Noël Frauciel, responsable du Secours Populaire du Tarn-et-Garonne. Continuer la lecture de Castelsarrasin. Secours populaire : une équipe de direction renouvelée in DDM

La CCAS-énergie ouvre ses centres de vacances aux étudiants

https://journal.ccas.fr/wp-content/uploads/sites/6/2021/02/101480_-_Covid_Accueil_de_beneficiaires_etudiants_a_Cap_dAgde.jpg

Quatre lieux gérés par les actions sociales des agents de l’énergie sont mobilisés, depuis quelques semaines, pour offrir un temps de répit aux jeunes frappés par les mesures anti-covid du gouvernement.

C’est dans leur ADN depuis toujours : répondre par la solidarité aux situations de crise qui touchent la société. Les électriciens-gaziers de la CCAS (les actions sociales des entreprises de l’énergie – N.D.L.R.) ont décidé, depuis le début du mois de février, d’ouvrir plusieurs de leurs centres de vacances aux étudiants frappés par les mesures gouvernementales anti-covid. Elles sont, pour un très grand nombre d’entre eux, synonymes d’isolement, de précarité, de détresse psychologique et de rupture dans le cursus universitaire.

« On a appris fin janvier que les colonies de vacances ne pourraient pas se tenir, explique Nicolas Cano, président CGT de la CCAS. L’ombre d’un nouveau confinement planait et on entendait de plus en plus parler de la crise qui traverse le monde étudiant. Certains de nos centres étaient prêts à recevoir du monde. On a donc décidé d’ouvrir celui du Cap d’Agde (Hérault), dans un premier temps, puis trois autres à partir de la mi-février. »

Prévenus par un courrier d’information adressé aux ayants droit de la CCAS, plusieurs centaines d’étudiants, enfants d’agents de l’énergie ont, en moins d’une semaine, répondu à l’appel. Une occasion inespérée, pour beaucoup, de rompre avec la situation imposée par les couvre-feux et la fermeture des universités, d’autant que chaque étudiant, fils ou fille d’agent électricien-gazier, peut inviter un ou une ami non bénéficiaire des actions sociales de la CCAS.

« On a également passé un accord avec le Secours populaire français pour accueillir d’autres jeunes, ajoute Patrick Coulet, président de la CMCAS Languedoc. Dans le centre du Cap d’Agde déjà plus de 250 étudiants se sont inscrits. Ils bénéficient d’un hébergement gratuit et d’une restauration saine et équilibrée. Grâce aux infrastructures existantes, dans le respect de gestes barrières, ils peuvent suivre leurs cours, à distance, de façon collective. Ils ont également la possibilité de profiter des activités sportives et culturelles proposées par le centre mais aussi devenir acteur de ce temps passé dans le centre en proposant des initiatives. » Une belle manière de lutter contre la morosité de cette période peu propice aux échanges et interactions normalement inhérents à la vie étudiante.

Pour l’heure, aucun contact n’a été établi avec le ministère de l’enseignement supérieur. « On n’a pas l’habitude d’attendre l’État pour être volontaire en situation de crise, précise Vanessa Flechet, attachée de presse au sein de la CCAS. Depuis toujours, nos centres sont ouverts l’hiver aux mal-logés. Nous l’avons fait aussi pour accueillir des réfugiés lors du démantèlement de la jungle de Calais ou encore au début de la crise sanitaire pour les soignants et les personnes atteintes du Covid sans lieu pour s’isoler. »

Depuis le 12 février, en plus de celui du Cap d’Agde, le centre d’Anglet, dans le département des Pyrénées-Atlantiques, celui des Sables d’Olonne, en Vendée et de Kaysersberg, dans le Haut-Rhin, sont désormais ouverts pour héberger des étudiants. « Pour l’instant, nous devons mener cette action jusqu’à la mi-mars mais nous espérons l’étendre aussi longtemps que possible », précise Patrick Coulet. Et Nicolas Cano d’ajouter : « Nous n’excluons pas d’ouvrir les portes d’autres centres, dans les prochaines semaines. »

Emilien Urbach

Discours du centenaire du PCF – jeudi 17 décembre 2020

 

Mesdames et Messieurs, Cher·e·s ami·e·s, Cher·e·s Camarades,

Nous voilà réunis pour célébrer les 100 ans d’existence du Parti communiste français.

A cause de la pandémie, du confinement, nous avons dû annuler de nombreux rendez-vous. Certains sont reportés en 2021.

D’autres sont maintenus, comme la superbe exposition d’affiches qui ont jalonné notre histoire, réalisée grâce au concours de la Fondation Gabriel-Péri, présidée par Alain Obadia et que vous découvrirez sur le net avec l’ensemble du programme.

Merci à Guillaume Roubaud-Quashie pour avoir piloté ces festivités.

Je remercie également, pour cet anniversaire exceptionnel, les membres de la direction du PCF présents en visio et ici physiquement en nombre restreint, Pierre Laurent, président du Conseil national, Marie-George Buffet, ancienne secrétaire nationale, les présidents de groupe à l’Assemblée nationale et au Sénat, André Chassaigne et Eliane Assassi, Patrick Le Hyaric, directeur de l’Humanité, mes collègues parlementaires, les responsables nationaux des organisations de jeunesse, Léon Deffontaines, secrétaire national du MJCF, les membres du comité exécutif et ceux du conseil national.

Merci à vous et bienvenue à toutes celles et ceux qui nous rejoignent.

Il n’est pas commun de fêter l’anniversaire d’un parti. Encore moins quand il a 100 ans. Et, entre nous, ces 100 ans, on ne les fait pas ! Continuer la lecture de Discours du centenaire du PCF – jeudi 17 décembre 2020