Législatives 2024 : « Nous appelons à la constitution d’un nouveau front populaire », annoncent les partis de gauche

Malgré une campagne européenne parfois houleuse, les formations progressistes entendent répondre à la demande de rassemblement venue du peuple de gauche. Les négociations ont débuté le 10 juin et doivent aboutir avant dimanche 16 juin. Dès lundi soir, le principe d’un « nouveau front populaire » a été acté ainsi que la volonté de « soutenir des candidatures uniques dès le premier tour » autour d’un « programme de rupture ». Reste à s’accorder sur ces candidatures et les « mesures à engager dans les 100 premiers jours du gouvernement ».

 

Depuis dimanche soir, 21 heures, une question taraude les électeurs du camp progressiste. Ils sont nombreux à avoir partagé leurs inquiétudes teintées d’espoir sur les réseaux sociaux : la gauche saura-t-elle s’unir pour affronter ensemble les périlleuses législatives des 30 juin et 7 juillet ? Le temps presse, les candidats ont jusqu’au dimanche 16 juin à 18 heures pour se manifester auprès des services de l’État.

Dès lundi soir un premier pas de géant a été franchi, après une journée de négociations marathon. « Nous appelons à la constitution d’un nouveau front populaire rassemblant dans une forme inédite toutes les forces de gauche humanistes, syndicales, associatives et citoyennes », ont annoncé les communistes, les socialistes, les insoumis et les écologistes, ainsi que Place publique, Génération.s et GRS, dans un communiqué commun publié dans la soirée. « Nous souhaitons porter un programme de ruptures sociales et écologiques pour construire une alternative à Emmanuel Macron et combattre le projet raciste de l’extrême droite », ajoutent les formations de gauche qui s’engagent à « soutenir des candidatures uniques dès le premier tour » dans « chaque circonscription ». Reste à s’accorder sur ces candidatures et sur les « mesures à engager dans les 100 premiers jours du gouvernement ». Continuer la lecture de Législatives 2024 : « Nous appelons à la constitution d’un nouveau front populaire », annoncent les partis de gauche

Les communistes appellent à la formation d’un nouveau Front Populaire (Communiqués local et national)

Les communistes appellent à la formation d’un nouveau Front Populaire

La République telle que nous la connaissons est aujourd’hui menacée. En passant la barre des 30% aux élections européennes le Rassemblement National a totalement anéanti le peu de crédibilité qu’il restait de la politique menée par Macron. Deux quinquennats de casse sociale d’une intensité inédite ont poussé une majorité de français, et particulièrement en Tarn et Garonne, à sanctionner le Président Emmanuel Macron. Au pied du mur, celui-ci s’apprête désormais à donner les clés du pouvoir à l’extrême-droite. L’heure est d’une extrême gravité !

Réunis ce dimanche soir, les communistes de la section de Castelsarrasin, Moissac et Pays de Serres, prennent leurs responsabilités et se battront jusqu’au bout pour empêcher l’arrivée de l’extrême-droite au pouvoir. Plus que jamais il est urgent de réussir à rassembler le plus largement possible toutes les forces politiques et sociales de notre territoire pour bâtir un large rassemblement des forces de gauche progressistes, un nouveau front populaire, sans hégémonie, dans le respect de la diversité citoyenne.

Les militants communistes désignent Julien Sueres chef de file du PCF pour la 2ème circonscription en vue des élections législatives du 30 juin prochain. Ils le chargent avec la direction du PCF d’engager, dans les plus brefs délais, des discussions avec l’ensemble des forces de gauche du territoire afin de construire une candidature unitaire capable de rassembler largement nos concitoyens.

Castelsarrasin le 9 juin 2024 à 23h30


Construisons un front populaire pour l’avenir de la République et de la France.

Le Parti communiste français échange aujourd’hui avec toutes les forces vives de la gauche et du mouvement social.

Fort de son histoire, il met toute son énergie pour construire le front populaire large, capable de porter un espoir à gauche et de battre l’extrême droite.

Forces politiques de gauche et écologistes, forces syndicales, associatives, rassemblons-nous autour d’un pacte pour la France avec les mesures indispensables capables de répondre aux urgences sociales, écologiques et de paix. Construisons des candidatures uniques à gauche dans chaque circonscription pour une alternative à Emmanuel Macron et au Rassemblement national.

Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, Le 10 juin 2024.


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Européennes 2024 : en meeting à Marseille, « rien n’est joué » pour La liste « Gauche Unie » + Video du Meeting

Léon Deffontaines a tenu son dernier grand meeting de campagne à Marseille, ce dimanche 2 juin. L’occasion de mobiliser les troupes militantes pour la dernière ligne droite de sa campagne pour « le monde du travail ».

 

Marseille (Bouches-du-Rhône), envoyé spécial.

« Tant que le coup de sifflet final n’a pas retenti, rien n’est joué. » Il reste une semaine de campagne et, pour les communistes, pas question de baisser la garde. Sigrid Gérardin, en deuxième position sur la liste conduite par Léon Deffontaines, mobilise donc pour la dernière ligne droite. Fabien Roussel insiste à son tour : « Chaque voix va compter. » Dans la friche de la Belle de Mai, les communistes ont battu le rappel.

Au moins 2 000 personnes font la queue une demi-heure avant l’ouverture des portes, tandis que les bus venus des villes des Bouches-du-Rhône et des départements alentour déposent militants et sympathisants venus écouter Léon Deffontaines pour ce dernier grand meeting. Quelque part, c’est aussi un peu l’heure du bilan de cette campagne, même si rien n’est joué d’ici le 9 juin. Continuer la lecture de Européennes 2024 : en meeting à Marseille, « rien n’est joué » pour La liste « Gauche Unie » + Video du Meeting

Quels risques l’extrême droite fait-elle peser sur l’Europe ?

En débat avec Sigrid Gerardin, syndicaliste, 2ème de la liste Gauche Unie pour le Monde du travail

Après leur prise de pouvoir dans certains pays (Italie, Hongrie), ses forces politiques cherchent à engranger de nouvelles positions au sein du Parlement européen, en menaçant les droits et les progrès conquis par les luttes sociales et environnementales.

L’extrême droite européenne a le vent en poupe. Déjà au pouvoir dans 5 des 27 États membres, certaines projections la feraient passer de 17 % à 25 % de sièges au Parlement européen. Une ascension liée à sa banalisation médiatique, la « dédiabolisation » de ses idées, et un discours faussement « social ». La future influence qu’elle peut avoir et surtout les alliances qu’elle renforcera avec la droite menacent de remettre en cause les progrès obtenus pour l’environnement et pour les droits de l’homme, les droits sociaux et ceux des minorités, en matière de libertés et de protection de la biodiversité notamment.

Les mouvements d’extrême droite sont en bonne place pour renforcer leur présence au Parlement européen. De quelle façon peuvent-ils modifier les équilibres actuels de l’Union européenne et quelles avancées menaceraient-ils en priorité ? Continuer la lecture de Quels risques l’extrême droite fait-elle peser sur l’Europe ?

Européennes 2024 : à Bruxelles, le RN défend la préférence patronale

Au Parlement européen, l’extrême droite, perméable aux lobbies, reste, malgré les grands discours, en défense du marché et des grandes entreprises. Et fait ainsi barrage à toute velléité de taxations du capital.

L’extrême droite a lancé son opération séduction des patrons. Pour rassurer le capital, Jordan Bardella écume, pendant sa campagne des européennes, les raouts patronaux où il développe son projet économique. Soit quelques phrases creuses sans propositions concrètes mais qui ont au moins le mérite de dessiner le sous-texte idéologique.

« Le décideur ne sait pas mieux que le chef d’entreprise », lance par exemple, le 19 mars, la tête de liste du Rassemblement national devant la conférence des PME. « Au parlement européen, l’extrême droite a systématiquement la position la plus libérale qu’on puisse trouver, plus que la droite du PPE », résume le parlementaire écologiste Claude Gruffat. Continuer la lecture de Européennes 2024 : à Bruxelles, le RN défend la préférence patronale

RN : dénoncer l’imposture sociale

Dans tous les pays de l’Union européenne, l’extrême droite progresse, emporte des élections, participe à des gouvernements, ou influe sur la vie et le débat politique dans de nombreux. Le risque est donc bien réel à l’échelle de l’Europe, et dans de nombreux pays dans le monde, de voir l’extrême droite conquérir le pouvoir.

C’est la raison pour laquelle le PCF a mis sur pied un groupe de travail d’analyse et de riposte, tant sur le fond, combattre les idées d’extrême droite, que sur les enjeux électoraux et politiques. Continuer la lecture de RN : dénoncer l’imposture sociale

Hors-série : contre l’extrême droite, le combat sans concession (l’Humanité)

Votes au service du capital et contre les droits des travailleurs, des femmes, des LGBT et des étrangers, connivences avec des groupuscules violents et racistes, résistance à son emprise en Europe… Dans un hors-série exceptionnel tiré du travail de ses journalistes depuis plus d’un an, « l’Humanité » donne les clés pour comprendre et résister à la bête immonde.

Combattre l’extrême droite. Cet impératif, abandonné par de nombreux acteurs politiques et médiatiques, est ancré dans l’ADN de l’Humanité. Alors que la liste du Rassemblement national, menée par Jordan Bardella, est créditée d’au moins 30 % dans les sondages pour les élections européennes du 9 juin, il apparaît plus que jamais nécessaire de diffuser les outils pour mener cette lutte au mieux. Continuer la lecture de Hors-série : contre l’extrême droite, le combat sans concession (l’Humanité)

Parlement européen : contre les minorités, le RN revient aux fondamentaux

Immigrés, racisés, LGBTQI + et même personnes en situation de handicap : derrière la dédiabolisation, les votes du RN au Parlement européen rappellent la véritable nature de ce parti.

La mandature des eurodéputés du Rassemblement national a été marquée par leur discours anti-migrants, leur refus de reconnaître les discriminations et le racisme structurel, et une opposition à tout progrès pour les droits des personnes LGBTQI +. Y compris vis-à-vis des personnes en situation de handicap, le RN ferme les yeux. Ses parlementaires se sont abstenus concernant un rapport pourtant consensuel sur « l’égalité des droits pour les personnes handicapées ». Le rejet des différences reste bien l’ADN du RN.

1. Immigration : des députés dans la caricature

Élus sur cette thématique en 2019, les eurodéputés RN n’ont pas relâché leurs efforts dans cette mandature pour mener bataille contre ce que Jordan Bardella appelle « l’immigrationnisme européen ». Le président du parti comme Jean-Paul Garraud, leur référent sur le sujet à Strasbourg, prétendent, discours après discours, que « pour l’Union européenne, l’immigration est un projet ». Jusqu’à « encourager la submersion de nos nations », a aussi plaidé le député RN Jean-Lin Lacapelle dans une prise de parole rappelant la théorie raciste du « grand remplacement ». Continuer la lecture de Parlement européen : contre les minorités, le RN revient aux fondamentaux

Assan Lakehoul : « La laïcité est un combat de gauche »

Violemment attaqué sur les réseaux sociaux, Assan Lakehoul, secrétaire général du MJCF, répond à ses agresseurs. Le retour des religieux parmi la jeunesse est, selon lui, la source des violences.

« Arabe de service », « collabeur », « cousin de Damien Rieu »… Le secrétaire général des Jeunes communistes (MJCF), Assan Lakehoul, est l’objet de violentes attaques sur les réseaux sociaux après avoir dénoncé deux influenceurs religieux intégristes, l’un catholique, l’autre musulman. Il dénonce un clivage dangereux et regrette qu’une partie de la gauche abandonne le combat pour la laïcité.

Quel était votre objectif en dénonçant les influenceurs religieux ? Continuer la lecture de Assan Lakehoul : « La laïcité est un combat de gauche »

Après l’action du Rassemblement national et des syndicats agricoles à Valence-d’Agen, la presse attaquée In DDM

NDLR de MAC:

Ne pas céder à la Haine du RN

Suite aux attaques contre le journal de la Dépêche, les communistes souhaitent exprimer leur solidarité aux journalistes et correspondants-tes de la rédaction.

Parfois en désaccord avec les contenus et la ligne éditoriale de la Dépêche, les communistes de Castelsarrasin/Moissac/Valence/Lomagne ont souvent été écartés des colonnes du journal. Néanmoins, tout en étant critiques, ils n’en sont pas moins attachés à la liberté de la presse et les attaques éhontées à caractère fasciste de l’extrême droite et de ses satellites contre le journal sont condamnables. L’attitude de Mme la députée et de ses affidés est indigne d’une représentante de la nation.

Cet épisode à la suite du harcèlement subit par le maire de Montjoi est symptomatique et donne un avant-gout de la « démocratie » version Rhaine. Les militants communistes et progressistes en font l’expérience à chaque confrontation ou ils subissent mépris, insultes parfois menaces de la part de frontistes bien loin de la « dédiabolisation » affichée dans les médias nationaux.

Nous ne céderons pas !

Et nous ne cesserons d’alerter sur le discours haineux de ces tenants d’un nationalisme mortifère qui sont au service des puissances de l’argent en instrumentalisant les peurs et les colères !

 


 Le samedi 2 mars 2024, sur la place Nationale à Valence-d’Agen, les organisateurs d’une manifestation agricole ont posé pour une photo en compagnie de Marine Hamelet, députée RN de la 2e circonscription, et des responsables locaux du parti.
Le samedi 2 mars 2024, sur la place Nationale à Valence-d’Agen, les organisateurs d’une manifestation agricole ont posé pour une photo en compagnie de Marine Hamelet, députée RN de la 2e circonscription, et des responsables locaux du parti. DDM, archives – Michel Bony

Suite à la publication, dans notre édition du 3 mars 2024, d’un article rendant compte d’une manifestation agricole sur le marché de Valence-d’Agen à laquelle s’étaient joints des responsables du Rassemblement national, les présidents de trois syndicats (FDSEA, JA et Coordination rurale) ont adressé une lettre ouverte à la rédaction de La Dépêche du Midi. Les termes utilisés et le ton menaçant exigent que nous nous exprimions.

Par recommandé arrivé le 3 avril 2024 à la rédaction du Tarn-et-Garonne, à Montauban, La Dépêche a reçu une lettre ouverte de l’intersyndicale agricole, cosignée par Damien Garrigues, président de la FDSEA, Benjamin Checchin, président des JA 82, Christian Schievene et Benoît Cransac, coprésidents de la Coordination rurale.

Ces responsables syndicaux protestent contre un article publié le 3 mars 2024 (et mis en ligne le 2 mars 2024 sur notre site internet) dans notre édition papier sous le titre « RN et syndicats agricoles la main dans la main ».

Parce que la presse est libre, nous avons fait notre métier et rendu compte factuellement de ce qui s’est passé, sur la voie publique, comme en témoignent les photos que nous avons publiées.

Dans ce papier, nous nous contentions d’informer nos lecteurs sur l’action menée par un certain nombre d’agriculteurs, sous la bannière des trois syndicats cités ci-dessus, en compagnie de la députée RN de la 2e circonscription et des responsables locaux du parti d’extrême droite qui s’étaient retrouvés le samedi 2 mars en milieu de matinée sur le marché de Valence-d’Agen, place Nationale.
Parce que la presse est libre, nous avons fait notre métier et rendu compte factuellement de ce qui s’est passé, sur la voie publique, comme en témoignent les photos que nous avons publiées.

A lire aussi : « Les masques tombent » : le Rassemblement national et des syndicats agricoles s’affichent ensemble sur un marché du Tarn-et-Garonne

À la suite de cet article, nous avons reçu un courrier au ton menaçant. Ses cosignataires considèrent que « le journal La Dépêche du Midi cherche à faire pression sur le mouvement des agriculteurs du Tarn-et-Garonne » et que « diviser, caricaturer, politiser, menacer, injurier et mentir sont devenus la ligne éditoriale de ce journal ».

Ainsi, ils voient dans la publication du 3 mars « un article diffamatoire à l’encontre d’un responsable de la FDSEA » qui, pourtant, était bel et bien sur place.
Faut-il rappeler que les photos publiées n’ont absolument pas été volées mais prises sur la voie publique, place Nationale à Valence-d’Agen ? Cette même scène de photo posée a du reste été mise en ligne le jour même par la députée RN Marine Hamelet, et reprise sur la page Facebook du Rassemblement national de Tarn-et-Garonne venu en opération de tractage sur le marché de Valence dans le cadre de la campagne des élections européennes.

Journal fier de son indépendance, « La Dépêche » trouve face à elle des personnes qui lui contestent le droit de rendre compte des faits.

La rédaction s’indigne du contenu de cette « lettre ouverte » dans laquelle est contestée la liberté de la presse. En 153 ans d’histoire, « La Dépêche du Midi » en a vu d’autres. Elle est née avec la République, en 1870. Depuis cette date, elle défend les valeurs républicaines de liberté, d’égalité, de fraternité et de laïcité. Journal fier de son indépendance, « La Dépêche » trouve face à elle des personnes qui lui contestent le droit de rendre compte des faits.

On s’étonnera que les signataires de la lettre ouverte contestent aussi le contenu d’un article, en date du 5 mars 2024, dans lequel nous rendions compte du congrès des JA 82, la veille à Montauban, ayant porté Benjamin Checchin à la présidence du syndicat, succédant à Jean-Baptiste Gibert. Si cet article avait vraiment « prêté au président des propos politiques qu’il n’a pas tenus », pourquoi, depuis sa parution le 5 mars, l’intéressé n’a jamais contacté la rédaction pour lui demander de les rectifier ?

Les signataires du droit de réponse préfèrent manier l’anathème en donnant pour consigne à « tous les agriculteurs et membres de l’intersyndicale de ne plus communiquer avec La Dépêche du Midi et ses filiales tant que des excuses de la rédaction ne seront pas présentées ».

La Dépêche continuera à être au soutien de nos agriculteurs et, comme elle l’a fait depuis le début du mouvement de colère des paysans, à relater les faits dont elle a connaissance, à livrer des éléments de réflexion et de compréhension à ses lecteurs et à donner la parole à celles et ceux qui la demandent.

En tout cas, La Dépêche du Midi ne cédera ni aux menaces, ni au chantage, ni à la violence. Elle continuera à être au soutien de nos agriculteurs et, comme elle l’a fait depuis le début du mouvement de colère des paysans dans le Tarn-et-Garonne et ailleurs dans la région, à relater les faits dont elle a connaissance, à livrer des éléments de réflexion et de compréhension à ses lecteurs et à donner la parole à celles et ceux qui la demandent et ont des revendications légitimes à porter pour l’avenir de leur métier et de leurs exploitations.

Choqué par ce qui ressemble bien à une tentative d’intimidation et d’entrave à la liberté de la presse, le responsable d’édition, au nom de l’ensemble des journalistes de la rédaction du Tarn-et-Garonne, affirme avec force que rien ni personne ne le détournera de la mission adossée à beau métier de journaliste : informer.