Journée Mondiale de la Trisomie 21 (Vidéo)

Aujourd’hui, Dimanche 21 mars, c’est la Journée Mondiale de la Trisomie 21 pour sensibiliser le public et pour défendre les droits, l’inclusion et le bien-être des personnes trisomiques
Alors tu mets des chaussettes depareillées !
Merci à Mathilde, sa maman , à Marion et à toutes et tous… Fier de mon ancienne élève!

De Jaurès à Lénine, que faire de la Commune ?

Image extraite du film «La Commune (Paris, 1871)», film historique français en deux parties de Peter Watkins, 2000. © DocAnciens/docpix.fr

Image extraite du film «La Commune (Paris, 1871)», film historique français en deux parties de Peter Watkins, 2000. © DocAnciens/docpix.fr

La génération des militants politiques et du mouvement ouvrier, celle de la II e et jusqu’à la création de la III e Internationale, qui a suivi celle des communards, tirent des enseignements différents de l’expérience écrasée dans le sang.

Une des grandes questions qui se pose aux courants socialistes à la fin du XIX e siècle pourrait se résumer ainsi : que faire de la Commune ? Écrasée en mai 1871, sa mémoire est investie par de nombreux socialistes et anarchistes qui voient en elle une expérience politique unique. Elle s’achève, certes, sur un terrible échec, mais les communards exécutés sont célébrés comme des martyrs tombés au combat.

En France, bien sûr, où les survivants de la Commune (Louise Michel, Benoît Malon, Édouard Vaillant…) ou leurs soutiens en région (tel Jules Guesde qui était à Montpellier au moment des événements) vont jouer un rôle important dans la construction des divers courants socialistes. Mais aussi parmi de nombreux groupes militants dans toute l’Europe. Ainsi, le 18 mars est l’occasion de rappels, chaque année, des actions glorieuses des communards. Continuer la lecture de De Jaurès à Lénine, que faire de la Commune ?

150 ans de la Commune. Toutes «descendantes de pétroleuses», par Mathilde Larrère

Mathilde Larrère, historienne. © Magali Bragard

Mathilde Larrère, historienne. © Magali Bragard

À la veille de l’insurrection parisienne, le féminisme se réveille doucement mais sûrement de sa traversée du désert impérial. D’un coup, on défend le droit à l’instruction, au divorce, au travail… Un récit de l’historienne Mathilde Larrère.

« Citez-moi un nom qui vous évoque la Commune de Paris… – Louise Michel ! » Non seulement on raconte de moins en moins la Commune uniquement au masculin, mais le communeux le plus célèbre… est une femme !

Des révolutionnaires à part entière

Mais si les communeuses sont désormais reconnues comme des révolutionnaires à part entière, encore faut-il les réintégrer pleinement dans l’histoire des luttes féministes.

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Pour que vive la Culture… A Moissac comme ailleurs! Rassemblement

Aux coups terribles portés par la crise sanitaire sur l’ensemble de la vie culturelle et artistique, à la disparition de toute politique culturelle publique depuis tant d’années, s’ajoutent les choix de certains élus comme ceux du maire lepéniste de Moissac de contrôler, de surveiller et donc de réduire l’activité et les initiatives artistiques et culturelles à leur version la plus rabougrie.

Parce que nous n’acceptons pas que les activités culturelles dans la cité résultant pour beaucoup de l’engagement, du dynamisme et du libre-choix d’associations et de citoyens  soient victimes de bas calculs populistes et électoralistes.

Parce que nous refusons cette vision d’une culture ramenée au seul divertissement organisé et dicté par la loi du marché.

Parce que l’accès de tous à l’art sous toutes ses formes, aux œuvres, aux créations de qualité doit devenir la règle pour une véritable démocratisation de la culture, gage du vivre ensemble.

Nous convions toutes celles et ceux épris de liberté et de droit pour tous à une culture de grande qualité de se rassembler

samedi 20 mars à 11h,  devant l’Abbatiale de Moissac.

Parmi les 1ers signataires de ce courrier initié par le CODEX 82 figurent les organisations départementales ou locales suivantes :

ATTAC 82, CGT 82, France Insoumise 82, FSU 82, LDH 82, Montauban Citoyenne, PCF 82, NPA 82, RESF 82, Solidaires 82, Union Antifasciste 82

Disparition de Yann Le Pollotec. Le PCF perd son spécialiste de la révolution numérique

Yann Le Pollotec, l’initiateur des états généraux de la révolution numérique, organisés chaque année par le Parti communiste, a succombé ce mardi au Covid.

Le Parti communiste français a perdu, ce mardi, l’un de ses dirigeants à la pointe du combat pour la « révolution numérique ». Yann Le Pollotec, membre de sa direction nationale depuis le début des années 2000, est décédé des suites du Covid à l’âge de 59 ans. « Yann va beaucoup manquer à ses camarades du Blanc-Mesnil (…). Membre de la direction départementale, il va manquer aux communistes de Seine-Saint-Denis, par qui il était unanimement apprécié, ont salué Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, et Pierre Laurent, président du Conseil national, dans un communiqué commun. Il va aussi beaucoup manquer au siège du Parti, où sa perpétuelle bonne humeur, sa bienveillance à l’égard de tous, sa disponibilité et son humanisme étaient un vrai plaisir pour chacune et chacun au quotidien. »

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Dans le Sud-Ouest, des milliers de porcs, deux présidents, et un ancien camp de concentration … in REPORTERRE + Lettre de MER

Celia Izoard (Reporterre)

Dans le Tarn-et-Garonne, l’extension d’une porcherie industrielle là où furent internés des républicains espagnols à la fin des années 1930 rencontre une farouche résistance. D’une part, pour la préservation de ce lieu de mémoire ; de l’autre, contre l’élevage intensif, qui soulève ici un parallèle historique plus que morbide.

Lundi 15 mars, Emmanuel Macron se rendra à Montauban, dans le Tarn-et-Garonne, pour une rencontre au sommet avec Pedro Sánchez, président du gouvernement espagnol. Ce sera certainement pour les deux chefs d’État l’occasion de se recueillir sur la tombe de Manuel Azaña, président de la République espagnole de 1936, mort en exil à Montauban en 1940, un an après la défaite contre Franco.

Emmanuel Macron ne le sait peut-être pas, mais il s’apprête à mettre le pied dans une situation où il pourrait lui être difficile de célébrer tranquillement la mémoire de l’Espagne républicaine. Depuis quelque temps, sur les marchés du Tarn-et-Garonne, surgissent des personnes affublées de masques de cochon qui entonnent à pleine voix les célèbres chants de la Guerre d’Espagne : El ejército del Ebro! Rum balarum balarum bam bam! Cette vision loufoque reflète en miroir l’obscénité d’un projet qui voit le jour à trente kilomètres de Montauban : un élevage intensif de porcs sur un ancien camp d’internement de républicains espagnols.

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La Fête du Cochon. Chronique 7 de Marcel Duvel

 « Un futur dirigeant politique ne peut se dispenser de senraciner dans une culture et une histoire pour simprégner de linconscient du peuple, de sa mentalité et de ses moeurs en vue de lui donner un cap auquel il adhérera. » Cette sentence extraite d’un texte que Marion Maréchal a publié sur le site web de l’ISSEP, le centre de formation qu’elle dirige, Romain Lopez peut entièrement la prendre à son compte.

Romain Lopez, le maire de Moissac, a d’ailleurs fait ses armes en politique auprès de l’ex-députée Rassemblement National. Et en ce début de mars 2021, il s’est senti prêt à donner un cap à son peuple moissagais en décidant que désormais la ville de Moissac assurera directement sa programmation culturelle. Déjà lors de la rupture unilatérale de la convention qui liait la ville à Arène Théâtre, le maire annonçait qu’il avait « d’autres ambitions culturelles pour Moissac » (sic). Quelques mois plus tôt, c’était le Festival des Voix qu’il voulait remettre au pas, contre la volonté des autres villes impliquées dans le projet.

Au sein de sa formation politique, les exemples de main mise sur la culture ne manquent pas. Il pourra s’inspirer du maire d’Orange qui avait imposé des livres nationalistes et révisionnistes à la bibliothèque municipale. Ou de celui de Marignane qui avait décidé d’exclure la presse de gauche des rayons de la médiathèque. Ou de celui de Vitrolles qui avait fermé brutalement et illégalement un café-théâtre au prétexte d’éliminer une programmation musicale trop «cosmopolite » à son goût.

Mais pour faire adhérer le peuple, les mairies RN aiment rassembler leurs habitants lors de fêtes populaires qui glorifient les valeurs ancestrales de la France. Hénin-Beaumont a son festival « Les Médiévales » qui rend hommage au passé de la ville, Mantes-la-Ville a son « Festi’ville » qui chaque année célèbre un thème qui fleure bon l’ancien régime (celui d’avant 1789), et Hayange a sa « Fête du Cochon » qui veut rassembler autour des bonnes vieilles traditions françaises.

Romain Lopez prépare une nouvelle formule de la Fête du Chasselas qui sera emblématique de sa nouvelle programmation culturelle. J’ai du mal à cacher mon impatience…

Marcel Duvel

The Voice : Luc Laversanne, la voix des partisans

De sa voix grave et profonde, Luc Laversanne a interprété l'hymne de la Résistance devant 5,4 millions de téléspectateurs. © Lionel Guericolas/ITV/B233

De sa voix grave et profonde, Luc Laversanne a interprété l’hymne de la Résistance devant 5,4 millions de téléspectateurs. © Lionel Guericolas/ITV/B233

Samedi soir, sur le plateau de l’émission de TF1, le tromboniste de 30 ans a entonné le Chant des partisans. Et appelé humblement à plus d’amour et de solidarité.

Il est si rare d’entendre l’Histoire – la grande – résonner sur TF1 un samedi soir. Mais ce sont bien les mots écrits par Joseph Kessel et Maurice Druon qui ont touché les 5,4 millions de téléspectateurs du télé-crochet The Voice : «  Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines/Ami, entends-tu ces cris sourds du pays qu’on enchaîne. » Ici magnifiquement interprétés par Luc Laversanne, ces deux vers du Chant des partisans, l’hymne de la Résistance, auront suffi pour que Marc Lavoine, fils de communistes, se retourne :  « Grâce à ces chansons, on comprend d’où l’on vient et où on doit aller », a salué le coach, visiblement ému, autant par « l’engagement » du jeune homme de 30 ans que par sa voix grave et profonde.

Icon VideoVoir la vidéo de sa prestation.

« Il me semble important de rappeler aux jeunes générations qu’on a un passé et qu’il faut s’y intéresser », a expliqué Luc Laversanne à 20 Minutes, pour justifier cet audacieux choix de chanson dont « les paroles correspondent à ce que l’on vit en ce moment ». Et son vécu personnel et difficile permet d’éclairer l’intensité de sa prestation : « J’ai vécu une enfance normale, mais à l’âge de 19 ans, j’ai eu beaucoup de mal à vivre mon homosexualité dans ma famille », s’est-il livré. Se sont ensuivi six années à vivre dans la rue à « survivre comme (il) pouvait ». Alors, sous les projecteurs de The Voice, il est humblement venu dire que « cette période est compliquée », donc « aidez-vous les uns et les autres et surtout aimez-vous ».

Un instituteur communiste en Algérie: et maintenant le film!… Par Alexis Sempé

Et maintenant le film ICI

Grâce à la découverte d’archives totalement inédites appartenant à Gaston Revel, le téléspectateur découvrira l’Algérie à la fin des années trente telle qu’elle se révèle à ce jeune instituteur français. Il comprendra le dépaysement et l’isolement de l’instituteur du bled dans les années difficiles de la Deuxième Guerre mondiale. Il mesurera la vigueur et l’âpreté des combats politiques et syndicaux menés par un militant du parti communiste algérien de l’après-guerre et la violence des tensions qui accompagnent la marche à l’indépendance et à la construction du nouvel État algérien. Fait unique et exceptionnel en Algérie, lors des élections municipales de 1953, Gaston Revel est élu à Bougie (Constantinois) dans le deuxième collège électoral réservé aux seuls musulmans. Gaston Revel, un instituteur en Algérie est un film qui éclaire de l’intérieur l’Algérie de 1936 à 1965, trente années décisives sous un regard totalement inédit.

Réalisateur Pierre Mathiote

 

Et le Livre (Alexis Sempé)

En 1936, Gaston Revel entre à l’Ecole Normale d’Alger, où l’on est censé lui apprendre à « éduquer l’indigène ». C’est aussi l’époque où il commence à s’intéresser à la politique : il est attiré par le Front Populaire, puis par l’anarchisme espagnol, qu’il cite en exemple de réussite sociale. Au cours de son service militaire, enfin, il approche pour la première fois le communisme.

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A l’école de la Commune de Paris de Jean-François Dupeyron (Par Daniel Amedro)

Jean-François Dupeyron
A l’école de la Commune de Paris
L’histoire d’une autre école
Editions Raisons et passions, 2020, 310 pages, 18,96 €

La Commune de Paris fête son 150e anniversaire en 2021. Sa pensée éducative et son action effective en matière scolaire sont encore très peu connues car le modèle dominant de l’histoire scolaire française les oublie systématiquement.

Pourtant, la première laïcisationdes écoles publiques fut l’œuvre de la République de Paris dès le 2 avril 1871. De même, celle-ci, dans les conditions extrêmement difficiles que lui imposa le second siège de Paris, entama la construction d’une école inspirée par la pensée pédagogique des divers socialismes du XIXe siècle. La notion d’éducation intégrale fut au cœur de cette approche d’une éducation nouvelle, qui voulait «  qu’un manieur d’outil puisse écrire un livre, l’écrire avec passion, avec talent, sans pour cela se croire obligé d’abandonner l’étau ou l’établi  ».

Cet ouvrage se consacre à l’étude de l’œuvre scolaire de la Commune de 1871 et propose de réhabiliter une histoire pédagogique presque totalement méconnue  : celle qui va des projets pédagogiques ouvriers dès les années 1830 au projet syndical d’école rouge de la jeune CGT avant le premier conflit mondial, en passant par l’école nouvelle élaborée par la Commune.

C’est donc la conception et l’histoire d’une autre école qui nous sont présentées ici : ni l’école étatique des «  républicains d’ordre  », ni l’école confessionnelle des congrégations religieuses, mais une école émancipée construite par et pour le peuple.

Jean-François Dupeyron est enseignant-chercheur en philosophie de l’éducation à l’Université de Bordeaux. Membre de l’équipe de recherche SPH (Sciences, Philosophie, Humanités), il travaille sur les questions d’école et d’éducation.

Librairie Publico
45 rue Amelot – 75011


Extrait:

La requête de la société L’Education Nouvelle à la Commune de Paris le samedi 1er avril 1871 à l’Hôtel-de-Ville

Le JORF en date du dimanche 2 avril 1871 en parle en ces termes :

« Les délégués de la société l’Education Nouvelle ont été reçus hier par les membres de la Commune, auxquels ils ont remis une requête conçue en ces termes :

A la Commune de Paris,

Considérant la nécessité qu’il y a, sous une République, à préparer la jeunesse au gouvernement d’elle-même par une éducation républicaine qui est toute à créer ;

Considérant que la question de l’éducation, laquelle n’est exclusive d’aucune autre, est la question mère, qui embrasse et domine toutes les questions politiques et sociales, et sans la solution de laquelle il ne sera jamais fait de réformes sérieuses et durables ;

Considérant que les maisons d’instruction et d’éducation entretenues par la commune, ou par le département ou par l’Etat, doivent être ouvertes aux enfants de tous les membres de la collectivité, quelles que soient les croyances intimes de chacun d’eux ;

Les soussignés, délégués de la société l’Education Nouvelle, demandent d’urgence, au nom de la liberté de conscience, au nom de la justice :

Que l’instruction religieuse ou dogmatique soit laissée tout entière à la direction libre et à l’initiative des familles, et qu’elle soit immédiatement et radicalement supprimée, pour les deux sexes, dans toutes les écoles, dans tous les établissements dont les frais sont payés par l’impôt ;

Que ces maisons d’instruction et d’éducation ne contiennent aux places exposées au regard des élèves ou du public aucun objet de culte, aucune image religieuse ;

Qu’il n’y soit enseigné ou pratiqué, en commun, ni prières, ni dogmes, ni rien de ce qui est réservé à la conscience individuelle ;

Qu’on n’y emploie exclusivement que la méthode expérimentale ou scientifique, celle qui part toujours de l’observation des faits, quelle qu’en soit la nature, physiques, moraux, intellectuels ;

Que toutes les questions du domaine religieux soient complètement supprimées dans tous les examens publics, et principalement dans les examens pour brevets de capacité ;

Qu’enfin les corporations enseignantes ne puissent plus exister que comme établissements privés ou libres.

La qualité de l’enseignement étant déterminée tout d’abord par l’instruction rationnelle, intégrale, qui deviendra le meilleur apprentissage possible de la vie privée, de la vie professionnelle et de la vie politique ou sociale, la société l’Education Nouvelle émet en outre le vœu que l’éducation soit considérée comme un service public de premier ordre ; qu’en conséquence elle soit gratuite et complète pour tous les enfants des deux sexes, à la seule condition de concours pour les spécialités professionnelles.

Enfin, elle demande que l’instruction soit obligatoire, en ce sens qu’elle devienne un droit à la portée de tout enfant, quelle que soit sa position sociale, et un devoir pour les parents ou pour les tuteurs, ou pour la société.

Au nom de la société l’Education Nouvelle, les délégués nommés dans la séance du 26 mars à l’Ecole Turgot :

Henriette Garoste, rue Saint-Paul, 43 ; Louise Lafitte, rue Saint-Paul, 43 ; J. Manier, rue du Faubourg Saint-Martin, 148 bis ; J. Rama, rue Caroline, 11 ; Rheims, rue d’Hauteville, 33 ; Maria Verdure, rue Sainte-Marie-du-Temple, 8.

« Il a été répondu aux délégués que la Commune était complètement favorable à une réforme radicale de l’éducation dans le sens qu’ils indiquaient ; qu’elle comprenait l’importance capitale de cette réforme, et qu’elle considérait la présente démarche comme un encouragement à entrer dans la voie où elle était résolue à marcher ».

L’analyse de Daniel Amédro pour mieux comprendre l’importance de l’école en ce 150ème anniversaire de la commune (Temps de lecture, en dehors de l’ouvrage de Jean-François Dupeyron, 25 minutes) en fichier PDF à ouvrir en cliquant ci-dessous