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TÉLÉCHARGER LE TRACT BATTRE L’EXTRÊME DROITE, RECONSTRUIRE UNE GAUCHE FORTE
À l’issue du premier tour, la France affronte un défi redoutable. Le duel E. Macron v/s M. Le Pen fait peser de lourdes menaces sur notre République. La responsabilité d’Emmanuel Macron et de sa politique au service de la minorité la plus riche du pays explique grandement l’impasse politique dans laquelle se trouvent aujourd’hui des millions de français. Nous dénonçons aussi fermement le mode de scrutin de l’élection présidentielle qui enferme les choix démocratiques dans des réflexes de vote utile et élimine de fait des candidats ayant rassemblé sur leur nom des millions de voix.
Battre l’extrême droite
Marine Le Pen et ses idées menacent les principes fondamentaux de notre République. Nous ferons tout pour la battre dans les urnes le dimanche 24 avril. Pour cela nous utiliserons le seul bulletin de vote à notre disposition pour empêcher que des millions de nos concitoyens soient discriminés, blessés, humiliés par des politiques racistes et xénophobes.
Une gauche rassemblée pour les législatives
Avec cette élection, les Français ont clairement placé la question du pouvoir d’achat au cœur de leur priorités. Et c’est à la gauche d’y répondre. Celle-ci progresse par rapport à 2017. À notre échelle, avec la campagne des Jours heureux, nous y avons participé. C’est un point d’appui qu’il nous faut faire fructifier en offrant notamment une perspective politique aux 12 millions de citoyens qui se sont abstenus. Avec les législatives, la gauche doit tout faire pour se rassembler et faire élire en son sein le maximum de députés possible. Car c’est à l’Assemblée que les lois sont votées.
C’est ce à quoi Fabien Roussel et le PCF s’attèleront dans les jours qui viennent.
Communiqué
Montauban, le 11 avril 2022

Le Parti communiste de Tarn et Garonne a pris acte du résultat des élections présidentielles au soir du 1er tour. Nous remercions les 3628 Tarn et Garonnais et Tarn et Garonnaise qui ont fait le choix de Fabien Roussel au cours de ce scrutin.
Sur le plan national, les résultats sont marqués encore une fois par une abstention forte. L’extrême droite en ressort renforcée et le vote « utile » a largement servi les trois candidats arrivés en tête au détriment de tous les autres.
Pour autant, à l’issue de ce premier tour, la gauche dans son ensemble enregistre un score historiquement faible. L’enjeu est de reconstruire et consolider une gauche forte et populaire en capacité de l’emporter demain dans le respect de toutes ses composantes.
Pour ce deuxième tour de l’élection présidentielle, les communistes Tarn et garonnais font le choix de la responsabilité en s’opposant à ce qu’un projet raciste et ultra libéral soit mis en œuvre au sommet de l’état.
Jamais les communistes ne banaliseront l’extrême droite et ses idées. C’est pourquoi nous appelons à battre Marine Le Pen dimanche 24 avril.
Pour le Secrétariat du PCF 82
Catherine PHILIPPE
Contact presse : Julien Sueres : j.sueres@gmail.com – 07 62 27 36 23

Ce vote utile ne servait à rien parce que celui qui en bénéficiait n’avait pas de réserve suffisante, qu’il s’était contenté de plumer la volaille sans susciter aucun élan, aucune dynamique dans ceux qui sont encore aujourd’hui écœurés, les couches populaires en particulier.
Ce qui n’est malheureusement pas le cas de l’extrême-droite dont on voit comme dans d’autres pays d’Europe qu’elle est la véritable bénéficiaire de questions désertées par la gauche depuis trop longtemps.
Parce qu’il prétendait jouer avec une situation sans l’aborder de front, ce vote utile ne permettait pas de gagner et il laisse la gauche affaiblie, divisée, désorganisée alors que l’abstention constitue la quatrième force qui comme l’extrême-droite ne cesse de grandir. Continuer la lecture de Et maintenant : quel bilan et que faire ? Contribution au débat de D. Bleitracht + Bilan d’un militant communiste
Le candidat communiste, sous la pression du « vote utile », n’atteint pas le seuil des 5 % un temps espéré. Désormais, il faut absolument faire front contre l’extrême droite, et enchaîner sans relâche sur la campagne des législatives, appelle le candidat communiste. Retrouvez en intégralité le discours de Fabien Roussel depuis le siège du parti communiste, à l’issue des résultats du premier tour de l’élection présidentielle.
Pour clôturer cette campagne du 1er tour ce soir à 23h30.
Revivez quelques temps forts. Juste pour le plaisir de revoir, de réécouter l’évolution de cette formidable campagne #pcfisback
Et bien sur le meeting de Toulouse
Présidentielle. L’abstention pourrait être en hausse, dimanche, selon les sondages. Pourtant, les bonnes raisons de se rendre aux urnes sont nombreuses.
L’abstention sera-t-elle le choix le plus partagé dimanche ? Avec des prévisions oscillant entre 28,5 et 30 %, « il existe un risque sérieux, le 10 avril, de dépasser le record du 21 avril 2002, à 28,3 % », pointe le directeur général de l’Ifop, Frédéric Dabi, qui souhaite toutefois rester prudent puisque « c’est un comportement électoral difficile à identifier parce que ce n’est pas valorisant de dire qu’on va s’abstenir ».
Après la première qualification du FN au second tour en 2002, un sursaut avait suivi en 2007 (16,23 %), mais depuis, de scrutin en scrutin, l’abstention est repartie à la hausse : 20,52 % en 2012 et 22,23 % en 2017. « Plus la participation sera faible, dimanche, plus se creuseront les inégalités de représentation en termes de territoire, d’âge et de classe sociale, ajoute le sociologue Vincent Tiberj. Ceux qu’on aura entendus, c’est la France qui va bien, des quartiers riches, des plus âgés… Au détriment de toutes les autres. » Mais il est encore temps de donner de la voix. Pour s’en convaincre, voici six bonnes raisons d’aller à la piscine seulement après avoir fait un petit tour au bureau de vote, dimanche. Continuer la lecture de Et si votre vote changeait vraiment la donne ?
Madame, Monsieur le Maire
Mesdames et Messieurs les adjoints-tes et conseillers-res municipaux
Au cours de ces dernières semaines, notre candidat Fabien Roussel a fait une formidable percée médiatique en portant haut et fort une voie radicalement différente dans une campagne présidentielle.
Cette différence, saluée par nombre d’observateurs, a mis en lumière notre ruralité, notre gastronomie, nos petites villes et nos villages. Les polémiques aidant, c’est le monde du travail, le monde des femmes et des hommes, celui de vos administrés-es qui a émergé autour de thèmes tels que le bon, le beau, le vrai, le nécessaire accessible pour toutes et tous. C’est l’essence même de votre commune, avec ces agriculteurs-trices, ces ouvriers-ères et employés-es, ces retraités-es, ces jeunes en quête d’avenir, de meilleurs salaires, de meilleures vies qui est au cœur des préoccupations de Fabien Roussel.
Le programme de Fabien Roussel, la France des Jours Heureux n’est autre que cette construction que nous voulons commune, un objectif de bonheur partagé.
Cette différence s’inscrit dans un attachement aux valeurs fondamentales de notre France, celles qui sont inscrites au fronton de vos mairies, celles auxquelles nous associons aussi une volonté de Paix en ces jours difficiles pour les peuples en guerre.
Cette différence est aussi l’exigence de la Laïcité sans faille.
Le programme porté par Fabien Roussel est chiffré, vérifiable et met en valeur nos territoires, outils de développement. Ces propositions portent le retour des services publics, le droit à la santé, à l’éducation, le transport, en instituant entre autres un impôt sur le capital des entreprises pour alimenter les budgets locaux. Un véritable bol d’air pour les finances locales !
Aujourd’hui, nous vous invitons à transmettre ce courrier à l’ensemble de votre conseil municipal et, comme le font déjà plusieurs de vos collègues, à répondre favorablement à notre appel à voter pour Fabien Roussel, à le faire savoir.
Nous vous savons attaché à votre commune, à votre territoire, avec vous nous pouvons ensemble construire un avenir meilleur.
Acceptez, Mesdames et Messieurs, l’expression de notre salut républicain.
Pour le Comité des Jours Heureux
Rodolphe PORTOLES et Guy DAIME
À quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle, le 10 avril, le candidat communiste Fabien Roussel nous a reçus dans son bureau, situé au dernier étage du siège du Parti communiste français, pour un entretien à découvrir en intégralité dans l’Humanité Magazine, le 7 avril. « Ne votez pas en fonction du second tour, votez pour vos idées, pour des réformes heureuses car on en a tellement besoin » , souligne le député du Nord, qui a réussi à populariser sa campagne des « Jours heureux ».
Enjeu de campagne Alors que le gouvernement et la droite foncent tête baissée pour conditionner le revenu de solidarité active à des heures d’activité ou de bénévolat, les allocataires, premiers concernés, rappellent que ce dispositif souffre déjà de nombreuses insuffisances.

« J e ne suis pas pour l’esclavagisme ! » a lancé Emmanuel Macron. Après le tollé provoqué par son intention, s’il est réélu, de conditionner le revenu de solidarité active (RSA) à 15 ou 20 heures de bénévolat par semaine, le candidat à la présidentielle s’est senti obligé de préciser que si ces heures « sont un travail », elles devraient être « rémunérées au Smic ». La ministre du Travail Élisabeth Borne est arrivée à la rescousse en précisant que ces contreparties seraient « des formations ou des immersions en entreprise ». Si l’exécutif tente de se démarquer de la proposition de Valérie Pécresse, prônant une activité de 15 heures par semaine au service de la collectivité, la logique de culpabilisation des allocataires et de mise au travail forcé est la même.
Pour Guillaume Allègre, économiste à l’OFCE, cette mesure est absurde : « Poser une conditionnalité en termes d’insertion professionnelle est stigmatisant pour les plus pauvres. Selon plusieurs études, la conditionnalité sous peine de sanction a deux conséquences possibles : une sortie vers le bas, avec moins de recours à la prestation, et une sortie vers le haut, vers un travail plus précaire que celui que l’on aurait trouvé si on avait un peu attendu. Cela pourrait générer des trappes à emplois précaires. En revanche, on sait que si les personnes sont volontaires pour entrer dans un dispositif, comme c’est le cas pour les contrats d’engagement jeunes, cela peut produire des effets. » Selon Pierre Garnodier, secrétaire général de la CGT chômeurs, cette annonce du locataire de l’Élysée pourrait aussi viser « à recaser les personnes jugées les moins employables par les entreprises. Comme celles-ci refusent d’embaucher, on impose donc du bénévolat aux allocataires ».
Au-delà des discours électoralistes droitiers, le dispositif né en 2008, devenu un véritable filet de sécurité pour 1,9 million de foyers, est perfectible. Un rapport de la Cour des comptes, paru en janvier dernier, pointait ses faiblesses, comme le non-recours qui concerne un tiers des bénéficiaires potentiels, mais aussi une réduction limitée de la grande pauvreté, un accompagnement insuffisant et une insertion professionnelle difficile.
Sans discontinuer depuis 2010, 65 % des bénéficiaires vivent en dessous du seuil de pauvreté, soit une part quatre fois plus élevée que la population générale, selon la Cour des comptes, qui note que le revenu protège toutefois contre la très grande pauvreté. Insuffisant pour vivre décemment, le RSA incite à la reprise rapide d’un emploi. S’il est versé sous condition des revenus du foyer, obtenir ou conserver l’allocation relève parfois du parcours du combattant.
Domiciliée dans les Landes, Sophie (1), 47 ans, en invalidité à 80 % à cause d’une polyarthrite rhumatoïde, ne comprend toujours pas dans quel engrenage elle a mis le doigt. Au chômage, son mari fait une demande de RSA. « Le département m’a alors demandé de me remettre au travail. Une assistante sociale m’a même traitée de fainéante ! On m’a envoyé une offre pour bosser dans un Ehpad alors que je ne peux pas rester debout », dénonce-t-elle. Les coups de pression et les galères s’enchaînent. Parce que son compagnon a touché 70 euros de droits d’auteur en omettant de les déclarer, le RSA est suspendu trois mois. En retour, 2 300 euros de remboursement leur sont exigés. Sans attendre, Sophie est aussi convoquée devant la commission disciplinaire du département, financeur du RSA. L’allocation est suspendue une nouvelle fois car elle n’a pas trouvé de travail. À deux sur sa pension d’invalidité de 440 euros avec 600 euros de loyer, Sophie se sent plonger : « On croule sous les dettes. Je m’attends bientôt aux coupures d’électricité. Mon compagnon cherche un job activement mais c’est le désert ! On avance au jour le jour. »
C’est l’autre maillon faible du RSA. 40 % des bénéficiaires ne disposent pas d’un contrat d’accompagnement, censé être obligatoire pour formaliser les engagements entre l’État et la personne. Comme le pointent les sages de la rue Cambon, lorsqu’il existe, celui-ci est « souvent inadapté aux difficultés spécifiques des allocataires ». Les RSistes suivis par Pôle emploi bénéficient ainsi de moins d’une prestation par an, de type atelier ou formation. Même constat pour ceux pris en charge par les départements. Au final, 18 % des allocataires ne sont pas du tout orientés vers un organisme de suivi. Comme l’observe Guillaume Allègre, « l’accompagnement peut être positif si les gens sont intéressés par ce qu’on leur propose, quand on leur apporte un soutien réel en termes de formation mais aussi de santé, par exemple ».
Au RSA depuis 2004, Joëlle, ancienne commerçante, ne sait plus en quelle langue exprimer ses besoins auprès de Pôle emploi et du conseil départemental. Depuis 2017, cette quinquagénaire basée à 35 kilomètres de Châteauroux (Indre) et touchant 497 euros d’allocation n’a plus de véhicule. Coincée, elle ne peut répondre aux offres ponctuelles de distribution d’annuaires ou de plis électoraux comme cela a été le cas pendant des années. « J’ai remué ciel et terre pour trouver des financements afin d’acheter une voiture. On me refuse l’accès à un microcrédit social parce qu’il ne me restait rien à la fin du mois, soupire Joëlle, dont l’absurdité de la situation n’a pas de limites. Pôle emploi m’a dit que je pourrais louer un deux-roues quand j’aurai une promesse d’embauche. Je tourne en rond comme ça depuis cinq ans. »
Alors que son accompagnement individuel est quasi inexistant et jamais réalisé par le même conseiller, Joëlle a en revanche été rappelée à l’ordre pour respecter ses devoirs. Contrôlée à l’automne 2021, son allocation a été suspendue quelques mois pour insuffisance d’actes de recherche d’emploi. Sourde à ses difficultés, l’ex-ANPE lui a proposé, la semaine passée, d’intégrer Parcours emploi compétences, chose qu’elle ne peut toujours pas accepter faute de… moyen de transport.
Selon la Cour des comptes, l’accès à l’emploi reste plus difficile pour les allocataires. Le taux de retour vers un travail (3,9 % par mois en 2019) est bien inférieur à celui de la moyenne des chômeurs (8,2 %) et les reprises sont en général plus précaires. Ainsi, sept ans après l’entrée au RSA, seuls 34 % ne sont plus bénéficiaires et ont un job (stable pour un tiers d’entre eux). « Si le système ne fonctionne pas, c’est aussi parce qu’il n’y a pas assez d’emplois, souligne Guillaume Allègre, de l’OFCE. Le taux de chômage reste élevé, autour de 7 %. Sans compter que les personnes les moins qualifiées voient les postes leur passer sous le nez au profit des plus qualifiées. »
Karim, 43 ans, au RSA depuis 2011, affiche un beau CV et un diplôme d’école de commerce. Spécialisé dans les métiers de l’emploi et de la formation, il a pourtant passé la plupart de son temps sans contrat, ces dix dernières années. « Mon problème principal est que les entreprises ne veulent pas recruter des demandeurs d’emploi de longue durée, assure-t-il. À cette discrimination d’inemployabilité s’ajoute celle liée aux origines. Lors de mes recherches, on m’a demandé de changer plusieurs fois de prénom. Le gouvernement devrait envisager de mettre la pression sur les sociétés, plutôt que de vouloir nous asservir avec du bénévolat obligatoire. » Hyperactif dans sa quête de travail, postulant tous azimuts, il voit aussi la gestion de son quotidien occuper une place importante de son temps : « Il faut faire un choix entre manger et se loger ! tranche Karim. Je vais déjeuner tous les midis chez mes parents pour m’alimenter. On se casse la tête sur la flambée des prix au quotidien. On somatise sur sa propre précarité quand toute la société nous renvoie une image de lâche. Le RSA ne m’aide pas à m’insérer mais à survivre. Ma dignité, c’est de tenter de résister au rouleau compresseur. »
La Cour des comptes préconise l’augmentation de la couverture de la population cible, l’application des droits et des devoirs réciproques, ainsi qu’une responsabilisation accrue des départements et une réforme du financement. De son côté, Guillaume Allègre estime nécessaire le relèvement du niveau de l’allocation. « Si les transferts sociaux sont élevés en France, les minima sociaux sont, eux, dans la moyenne européenne, rappelle-t-il. Pour réduire le non-recours, il faudrait aussi simplifier le formulaire. Le RSA devrait également être ouvert aux moins de 25 ans. » Les candidats de gauche à la présidentielle, Fabien Roussel, Jean-Luc Mélenchon ou encore Anne Hidalgo, proposent justement, sous différentes modalités, une extension aux jeunes. « Mais, tant qu’il n’y a pas de plein-emploi, nous serons dans le partage de la misère », conclut l’économiste.
Associer des heures d’activité au versement du RSA : la proposition est déjà expérimentée depuis quelques années en Alsace, pour un résultat très limité. En 2016, le conseil départemental du Haut-Rhin avait voté l’obligation pour tout bénéficiaire d’effectuer sept heures de bénévolat par semaine, avant de remplacer l’obligation par une incitation. Cinq ans après, seuls 1 298 allocataires sur 43 000 en Alsace sont engagés dans le programme, soit seulement 3 % d’entre eux. Si la collectivité européenne d’Alsace (CEA) ne communique pas sur ses effets sur l’insertion professionnelle, les acteurs associatifs estiment que cette politique offre à certains l’opportunité de « mettre le pied à l’étrier ». Léa Bally, assistante sociale, rappelle cependant que le dispositif n’est pas accessible à tous. « Les personnes qui vivent des situations difficiles, des problèmes familiaux, de santé, de logement ne sont pas forcément en capacité » d’y prendre part.