A propos de Vencorex et de la « politique » française, les SCOP c’est bien mais la nationalisation et l’État c’est mieux… par Danielle Bleitrach

 

Au nom de la commission nationale économie sociale et solidaire du PCF ! ce lecteur d’histoire et societe souligne le fait que si les instruments juridiques préconisés par cette commission avait été adoptés il aurait été possible de sauver Vencorex. On peut aussi noter que la solution proposée par Fabien Roussel et les forces régionales rassemblées autour de la défense de cette entreprise stratégique, à savoir une nationalisation fut-elle temporaire aurait pu s’imposer. On voit au Royaume-Uni le fait qu’un gouvernement, pourtant pas particulièrement « progressiste », est capable de refuser par ce moyen la disparition de hauts fourneaux de la filière acier, jugés peu rentables au nom de la nécessité stratégique de l’acier britannique. Le véritable problème est politique et il renvoie à une situation française qui a à sa tête un pouvoir coupé de son électorat qui ne tient que parce qu’il a une opposition qui divise les travailleurs en deux factions apparemment irréconciliables sur des bases pseudos identitaires. Un pouvoir soumis de ce fait à toutes les pressions des marchés financiers et des marchands d’armes. Oui, il est important de changer la loi et de la rendre plus favorable à la gestion des travailleurs, mais il faut aussi considérer l’affaiblissement de la nation et de l’État. Le fait que ce gouvernement, ce président n’utilise même pas le droit existant et le bafoue pour nous livrer à l’UE et aux USA. C’est bien de créer des SCOP ou SCIP mais il faut également avoir un état et des choix budgétaires de cet état, qui crée les conditions de l’industrialisation comme de la paix et de la sécurité. Il ne s’agit pas d’opposer SCOP et nationalisations mais de bien comprendre comment la souveraineté, l’industrialisation doit savoir jouer de son atout essentiel, la mobilisation du travail contre le capital… (note de Danielle Bleitrach pour histoireetsociete)

Depuis 2010 la commission ESSPCF réclame le droit de préemption pour les travailleurs désirant reprendre leur entreprise en SCOP ou en SCIC dans un projet de proposition de loi (PPL ) bien étoffé lors d’une dizaine de débats à l’Assemblée nationale, avec des syndicats, des magistrats et avocats, des élus (entre autre André Chassaigne). La CGSCOP, le CESE avaient entre autres soutenu ce projet. La mention de ce droit de préemption figure dans le programme du NFP. Continuer la lecture de A propos de Vencorex et de la « politique » française, les SCOP c’est bien mais la nationalisation et l’État c’est mieux… par Danielle Bleitrach

« Le fémonationalisme est une ethnicisation du sexisme » par Magali Della Sudda, socio-historienne

Magali Della Sudda, autrice des « Nouvelles Femmes de droite », revient sur la notion de fémonationalisme, cette récupération de la cause des femmes par l’extrême droite dont le collectif Némésis est un exemple récent. La socio-historienne rappelle en quoi ces idéologies sont incompatibles avec le projet féministe, égalitaire et universaliste.

 

Le 8 mars, le collectif Némésis a pour la première fois de sa courte histoire constitué son propre cortège pour défiler lors de la Journée internationale des droits des femmes. La porte-parole de ce groupuscule d’extrême droite, Alice Cordier, le martèle : elles défendent « toutes les femmes »… malgré les nombreuses pancartes anti-immigration que ses militantes brandissent. Un double discours – clairement xénophobe – dans la droite ligne du « fémonationalisme », néologisme né il y a une dizaine d’années pour désigner cette instrumentalisation de la cause féministe par les nationalistes. Chargée de recherches au CNRS et membre de Centre Émile-Durkheim, la socio-historienne Magali Della Sudda revient sur la naissance de ce concept et l’évolution du discours de l’extrême droite sur les femmes.

Que désigne exactement le terme de fémonationalisme ? Continuer la lecture de « Le fémonationalisme est une ethnicisation du sexisme » par Magali Della Sudda, socio-historienne

Discours de Fabien Roussel au meeting de Vénissieux – 08 avril 2025 (Vidéo)

 

Publié le 09 avril 2025

Cher·es amis, cher·es camarades, cher·es concitoyen·nes,

Merci aux communistes de la Fédération du Rhône, à leur secrétaire départemental Benoit Roux. Merci à Marie-Christine Burricand, membre de notre exécutif national.

Merci pour ton accueil, ma chère Michèle Picard, Maire de Vénissieux, qui fait ici un travail incroyable, qui a toujours porté haut, et bien au-delà de sa ville, l’exigence de solidarité mondiale.

Merci à toi, Raoul Hedebouw, mon voisin du Nord que je croise souvent, pour ta participation et ta brillante analyse sur l’impérialisme américain.

Merci cher Yasser Ayoub, merci pour tes mots, la justesse de tes propos pour expliquer le combat du peuple palestinien. J’excuse l’absence de Madame l’ambassadrice de Palestine, S.E. Hala Abou Hassira, que tu représentes ce soir à nos côtés.

Merci à Arlette Cavillon, coprésidente du Mouvement de la Paix ici, pour cet appel à prendre conscience des menaces qui pèsent sur le monde, pour l’histoire depuis la Seconde Guerre mondiale dont tu as su témoigner avec la force de ton engagement et celle de ton mouvement, avec notamment à tes côtés les communistes dans la lutte contre le fascisme, pour le désarmement et pour un monde de paix.

Mes cher·es ami·es, mes cher·es camarades, mes cher·es concitoyen·nes,

Je vais vous dire qu’en venant ici, en voyant cette salle, je me suis dit : j’ai l’impression d’être en campagne. On repart en campagne !

Oui, je suis en campagne. Continuer la lecture de Discours de Fabien Roussel au meeting de Vénissieux – 08 avril 2025 (Vidéo)

Les estimations de vote, l’attelage de tête mais aussi le score de Roussel …

Si le Rassemblement National, quel que soit le candidat, arrive largement en tête sans véritable concurrent à la hauteur du score de Macron en 2022 qui faisait encore plus de 27 % (le plus en avance est Edouard Philippe entre 20 et 25%). Tous les autres candidats, y compris Melenchon sont sur le socle le plus étroit de leur personne et de leur fan club. Ce qui s’est passé ce dimanche à Paris a illustré ce jeu des présidentiables testant leur clientèle d’une manière caricaturale au vu d’un contexte international et de ses incidences sur le quotidien des Français. Ce qui est apparu est effectivement l’étroitesse de ces socles y compris celui de Marine le pen et Bardella. En ce qui concerne ce parti, malgré l’annonce des 15.000 présents, le relatif fiasco marseillais de la veille se confirme, ils n’étaient pas plus de 5000.

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Marine Le Pen, condamnée à 5 ans d’inéligibilité à effet immédiat, sa candidature à la présidentielle compromise

Dans l’affaire des emplois fictifs au parlement européen du FN/RN, Marine Le Pen et huit eurodéputés ont été reconnus coupables de détournement de fonds publics, a annoncé le tribunal ce lundi 31 mars, tandis que les douze assistants jugés à leurs côtés ont été déclarés coupables de recel. La cheffe de file du parti d’extrême droite a été condamnée à quatre ans de prison, dont deux ans ferme, et à cinq ans d’inéligibilité avec exécution immédiate. De quoi compromettre sa candidature en 2027. Les cadres du RN crient déjà au déni de démocratie.

 

C’était un verdict très attendu et qui, in fine, bouleverse le paysage politique français. Dans l’affaire des emplois fictifs au parlement européen du FN/RN, Marine Le Pen et huit eurodéputés ont été reconnus coupables de détournement de fonds publics, a annoncé le tribunal ce lundi 31 mars, tandis que les douze assistants jugés à leurs côtés ont été déclarés coupables de recel. La cheffe de file du parti d’extrême droite a été condamnée à quatre ans de prison, dont deux ans ferme, et à cinq ans d’inéligibilité avec exécution immédiate. Autrement dit à effet immédiat, même en cas d’appel. De quoi compromettre sa candidature à la prochaine présidentielle.

Communiqué du PCF Continuer la lecture de Marine Le Pen, condamnée à 5 ans d’inéligibilité à effet immédiat, sa candidature à la présidentielle compromise

ENTRETIEN. Fabien Roussel : « Notre modèle social ne doit pas payer la guerre en Ukraine »

N’étant pas abonné à Ouest France, le début de l’article est complété de la photos des deux pages que l’on peut lire aisément. Le positionnement politique est celui que l’on peut attendre d’un dirigeant communiste : l’adversaire principal est l’extrême-droite, la droite et Macron mais il dit aussi l’irritation de voir la gauche dans des affrontements sans issue et qui reste de fait dans la rhétorique de l’extrême-droite qu’elle prétend combattre. Sur l’Ukraine incontestablement il y a beaucoup de points commun, d’avancées et sur la question d’une défense nationale qui ne se limite pas à l’armement mais crée les conditions d’une indépendance économique en gros nous sommes d’accord. L’autonomie du parti ne se fait pas contre mais à travers l’originalité d’une position et ce qu’elle peut avoir de collectif. Il est évident que nous n’avons pas tout à fait la même analyse de Poutine et son gouvernement actuel et que se pose la manière dont la France peut se situer dans le grand bouleversement multipolaire et là le renvoi dos à dos de Poutine et de Trump est nettement insuffisant. Il suffit de lire le texte que nous publions aujourd’hui de la manière dont Poutine prévoit le développement de l’Arctique pour comprendre que nous sommes aux antipodes de Trump, je vous y renvoie  comme d’ailleurs à l’analyse publiée hier de Ziouganov sur le même sujet. D’un autre côté nous sommes tout à fait conscient comme le KPRF de la présence d’oligarques dans le parti et l’entourage de Poutine, mais nous faisons plus confiance dans le peuple russe et la manière dont il demeure très marqué par l’exigence du socialisme. Il est évident que Fabien Roussel, cet interview le confirme, est le seul qui conteste la politique du pouvoir et l’extrême-droite d’un point de vue de classe et de souveraineté nationale qui a toujours été celle des communistes. Si le peuple français s’y reconnait tant mieux. (note d’histoireetsociete)

« Racisme anti-Blancs », rivalités avec LFI, désaccords avec Bruno Retailleau et Manuel Valls, guerre en Ukraine et guerre commerciale avec les États-Unis, défense nationale, retraites, censure, candidature communiste à la présidentielle de 2027… Fabien Roussel, secrétaire national du Parti communiste français (PCF), répond aux questions de « Ouest-France ». Et règle ses comptes au passage.

Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, est également maire de Saint-Amand-les-Eaux (Nord). Ici, devant la tour abbatiale située sur la Grand’place.
Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, est également maire de Saint-Amand-les-Eaux (Nord). Ici, devant la tour abbatiale située sur la Grand’place. | STÉPHANE GEUFROI / OUEST-FRANCE Ouest-FranceStéphane VERNAY.

Il n’est plus député depuis la dissolution, battu par dans sa circonscription du Nord par un candidat Rassemblement national, mais il est toujours secrétaire national du Parti communiste français, maire de Saint-Amand-les-Eaux depuis le début de l’année, et il a des choses à dire sur le débat national et la situation internationale. Grand entretien avec Fabien Roussel, qui prépare un livre, Le parti pris du travail , à paraître le 24 avril, aux Éditions du Cherche Midi. Entretien.

Fabien Roussel, lundi, sur CNewsvous avez affirmé qu’il y a un « racisme anti-Blancs », une notion contestée par des sociologues mais mise en avant par l’extrême droite. Le premier secrétaire du Parti communiste que vous êtes regrette-t-il ses propos ?

Je sais que la notion de racisme anti-Blancs est utilisée par l’extrême droite pour tenter de nier le racisme dans sa construction historique liée à la colonisation. J’ai simplement voulu dire que toute insulte raciste doit être combattue, même si elle ne relève pas d’un système de domination. S’il est évident que je ne mets pas les choses sur le même plan, le racisme est une arme pour diviser le peuple. Je pense au rabbin d’Orléans qui a été agressé, à tous les jeunes stigmatisés pour la couleur de leur peau…

Cela vous a valu une déferlante de haine sur les réseaux sociaux. Comment l’expliquez-vous ? Continuer la lecture de ENTRETIEN. Fabien Roussel : « Notre modèle social ne doit pas payer la guerre en Ukraine »

Avec la fin de la trêve hivernale, la répression contre les locataires pauvres fait craindre des milliers d’expulsions

L’interdiction des expulsions locatives est levée ce lundi 31 mars. La perspective de leur reprise inquiète d’autant plus que le nombre de familles jetées de force à la rue a déjà augmenté de 26 % entre 2023 et 2024 et que la situation économique de nombreux ménages se dégrade.

 

C’est le retour de l’angoisse pour des dizaines de milliers de familles. La fin de la trêve hivernale, lundi 31 mars, signifie la reprise des expulsions locatives. L’inquiétude est d’autant plus forte que, depuis quelques années, leur nombre explose. Continuer la lecture de Avec la fin de la trêve hivernale, la répression contre les locataires pauvres fait craindre des milliers d’expulsions

Ian Brossat, le communiste qui entend succéder à Anne Hidalgo : mais comment est-ce tolérable, dit l’extrême-droite?

Ian Brossat, le communiste qui entend succéder à Anne Hidalgo : mais comment est-ce tolérable, dit l’extrême-droite?

Après Roussel, c’est Ian Brossat que l’on accuse de ne pas se conformer aux « conventions » : vous remarquerez à quel point ici comme pour la LFI, les arguments de fond se résument à l’indignation de l’existence des communistes. Après tout ce qu’on a dit sur eux, il existe encore des communistes, et ils poussent la folie jusqu’à défendre y compris en plein Paris le droit des travailleurs à ne pas être exclus d’un espace français… Des prolétaires dans le XVIe en dehors des concierges et encre, c’est un peu les chars de l’armée rouge avec de surcroit le péril jaune déjà là… Et ces gens n’ont pas le moindre doute, c’est ça l’extrême droite celle qui prétend défendre le petit peuple « blanc » en lui faisant haïr le petit peuple basané, et vice versa pour la LFI… Ce que prétend le PCF c’est en finir avec cet affrontement communautariste et poser pour tous les questions de classe… en tous les cas c’est le communisme tel qu’il nous a manqué ces derniers temps et nous sommes contents de le voir revenir. Sur cette ligne tomberont d’autres barricades que le pouvoir des marchés financiers et des marchands d’armes ont érigé autour d’eux et peut-être la masse des supporters de LFI et du RN rejoindra-t-elle le combat de classe antiraciste et pour l’émancipation des individus dans leur droit à aimer, à la dignité, et à pratiquer la religion de leur choix ou ne pas en avoir. (note de Danielle Bleitrach histoireetsociete)

par Jean-Philippe Feldman 28 mars 2025

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Dans quel pays civilisé autre que la France un communiste pourrait-il se présenter aux élections municipales de la capitale avec des espérances ? Continuer la lecture de Ian Brossat, le communiste qui entend succéder à Anne Hidalgo : mais comment est-ce tolérable, dit l’extrême-droite?

Face à la Haine, Défendons le Droit au Logement pour Tous

Castelsarrasin - Face à la Haine, Défendons le Droit au Logement pour Tous

Les militants communistes et amis sur le marché de Castelsarrasin.

Je tiens à dénoncer avec la plus grande vigueur les discours de haine et de division propagés par le Rassemblement National (RN). Alors que ce parti sème la peur en parlant de « ghettos de pauvres », la réalité est bien plus alarmante : la trêve hivernale touche à sa fin, et des dizaines de familles de Tarn-et-Garonne, y compris à Castelsarrasin et ses environs, risquent de se retrouver à la rue. Le nombre d’impayés a bondi de plus de 20% en 2024 et l’année 2025 s’annonce de très mauvaise augure. Continuer la lecture de Face à la Haine, Défendons le Droit au Logement pour Tous

La Fin de la Trêve Hivernale : Un Combat Crucial Contre les Expulsions (CNL)

Chaque année, la trêve hivernale offre un répit temporaire aux milliers de familles menacées d’expulsion en France. Cependant, ce fragile bouclier s’effrite lentement mais surement sous la pression de politiques de plus en plus répressives à l’égard des locataires en impayés et face à l’inaction de l’État dans la crise de la construction de logements sociaux.

Une Trêve Hivernale Menacée

La trêve hivernale, instaurée en 1956, interdit initialement toute expulsion entre le 1er décembre et le 15 mars. En 2008, elle a été élargie aux coupures d’énergie, empêchant les fournisseurs de priver les foyers de chauffage et d’électricité durant cette période. En 2014, la loi ALUR l’a prolongée jusqu’au 31 mars. Malgré ces avancées, la trêve hivernale est devenue une parenthèse de plus en plus fragile, notamment avec l’adoption de la loi Kasbarian-Bergé en 2023, qui facilite et accélère les expulsions pour impayés de loyer.

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Des milliers de familles risque de se retrouver à la rue ce printemps © Julien Sueres

 

La CNL en Première Ligne

La Confédération Nationale du Logement (CNL) est en première ligne pour défendre le droit au logement. Elle dénonce la financiarisation des politiques du logement social et la mise à mal de la mixité sociale. Eddie Jacquemart, président de la CNL, a souligné dans le rapport d’activité 2024 que « la nomination de Guillaume Kasbarian au ministère du Logement a immédiatement mis la CNL en alerte. » La CNL appelle à un changement radical des politiques du logement, notamment avec la création d’une Sécurité Sociale du Logement, le gel des loyers, et la réduction des charges locatives.

Mobilisation Contre les Expulsions

Le week-end des 29 et 30 mars 2025 sera marqué par des mobilisations partout en France contre les expulsions locatives. La CNL, aux côtés d’autres associations et syndicats, appelle à une mobilisation générale pour défendre l’idée « qu’Un toit, c’est un droit et c’est la loi ! ». Les manifestations visent à exiger l’arrêt des expulsions, de la spéculation et des démolitions de HLM, la baisse des loyers, la réquisition des logements vides, ainsi que la réquisition massive de logements sociaux.

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La CNL et de nombreuses autres organisations vont se mobiliser le 29 mars © Julien Sueres

Un Appel à l’Action

La lutte pour l’accès au logement pour tous reste d’une actualité brûlante. La CNL et ses alliés se mobilisent pour revendiquer haut et fort l’urgence d’un changement radical des politiques du logement. La manifestation du 29 mars à Paris, ainsi que d’autres rassemblements à travers le pays, sont des occasions cruciales pour faire entendre la voix des locataires et des familles menacées d’expulsion.

Eddie Jacquemart déclarait récemment lors de l’assemblée générale des présidents de fédérations de la CNL : « Nous avons réagi immédiatement en alertant l’opinion publique et en obtenant un avis défavorable du Conseil National de l’Habitat. » Cette réaction montre l’engagement de la CNL à défendre les droits des locataires face à des politiques qui menacent leur sécurité et leur stabilité.

La fin de la trêve hivernale marque un moment critique pour des milliers de familles en France. La mobilisation de la CNL et d’autres organisations est essentielle pour défendre le droit au logement et exiger des politiques plus justes et humaines. Rejoignez le combat et faites entendre votre voix pour un avenir où chaque personne aura un toit au-dessus de sa tête.

Illustration 3En Tarn et Garonne, la CNL se bat contre les expulsions © Julien Sueres