Par moment je me demande si le communiste français qui croit encore qu’il existe une issue politique dans l’état où se trouve le peuple français ne mènent pas un combat desespéré. Les communistes, les moins pires, ceux qui demeurent bienveillants, attentifs à la souffrance réelle des êtres humains, aux frigo vides autant qu’à l’humiliation des gens stigmatisés, sont si loin de mesurer la férocité de l’adversaire, Ils sont si impuissants, on a détruit leur organisation, leur formation, ils n’ont plus de presse crédible… Mais il n’y a rien d’autre qui ne soit pas lutte des places, clientélisme y compris raciste, antisémite, division gratuite… Les seuls qui effectivement ont l’amour du savoir, du développement scientifique et technique et agissent pour qu’il soit mis au service de l’humanité. Ceux qui se sont toujours battu pour le droit à la santé mais aussi pour l’énérgie nucléaire civile, pour les salaires décents et pour les technologies qui soulagent la peine du travail… Encore un effort camarades pour être moins naif, redevenir aussi durs que quand vous combattiez les fascisme sous toutes ses formes parce que ceux que vous prétendez défendre ne se font eux plus d’illusion et la moindre caissière d’un supermarché ne croit pas en l’allégement de sa peine et de son temps de travail par l’IA. (note de danielle Bleitrach pour histoireetsociete)
COMMUNIQUE DE PRESSE
Sommet sur l’IA : Placer l’IA au service de l’humanité nécessite d’autres choix ! (PCF)
Le sommet organisé les 10 et 11 février par Emmanuel Macron sur l’intelligence artificielle (IA) s’inscrit davantage dans une logique de communication pour séduire les investisseurs privés qu’il ne permettra à la France et à l’Europe de construire une stratégie visant le développement d’une IA éthique au service de l’humanité. Continuer la lecture de PCF : Placer l’IA au service de l’humanité nécessite d’autres choix !
Entre 2005 et 2025, le nombre d’enfants en situation de handicap scolarisé dans un établissement scolaire a quadruplé : il est passé de 100 000 en 2006 à plus de 400 000 en 2022. La loi de 2005 stipule que « tout enfant ou adolescent en situation de handicap doit être inscrit dans l’école ou l’établissement le plus proche de son domicile, lequel constitue son établissement de référence » avec un dispositif d’accompagnement si nécessaire, pour lui permettre de suivre sa scolarité dans les meilleures conditions. Les AESH sont devenus le deuxième métier de l’Éducation nationale, avec 78 816 agents (en équivalents temps plein) en 2023, en hausse de 90 % depuis 2013. Les défis et difficultés comme les souffrances restent nombreuses dans l’école. Un état des lieux.


L’EPS « assure l’inclusion, dans la classe, des élèves à besoins éducatifs particuliers ou en situation de handicap », si l’on en croit les programmes scolaires du cycle 4. C’est la seule discipline qui y est mentionnée pour un bénéfice n’allant pas de soi. Il passe notamment par des actions conjuguant une attention à construire du commun entre les élèves et à prendre en compte leurs singularités. Avant d’aborder le rapport entre ces deux aspects dans une perspective inclusive, quelques mots sur des références guidant la réflexion.

Le SNPDEN- UNSA tire la sonnette d’alarme lors d’une conférence de presse du 31 janvier : seulement 10% des établissements ont tous leurs personnels nommés ou remplacés. Il manque au moins 1 enseignant dans 2/3 des établissements d’après une enquête flash du syndicat majoritaire des personnels de direction.




